Tentez la micro-sieste fermez les yeux, détendez vous pendant environ 10 minutes : l'effet sera toujours bénéfique. La respiration comme la sophrologie peuvent être d'une aide précieuse pour récupérer. Sur du court terme, un aliment ou une boisson peut vous donner un regain d'énergie, à ne pas utiliser à long terme.
Bien que nous soyons capables de dormir plus longtemps après une privation de sommeil, par exemple en faisant des grasses matinées les week-ends, il n'est pas possible de compenser chaque heure de sommeil perdue.
Mais nos capacités à rattraper le sommeil perdu dépendent de notre privation chronique de sommeil. Si vous avez accumulé une importante « dette de sommeil » depuis un certain temps, il peut être difficile de récupérer.
Outre l'humeur, la qualité et la quantité de sommeil diminuent : les siestes plus courtes, des réveils en majorité en pleurs, un sommeil plus agité, une transition entre les cycles plus difficile… C'est aussi ça une dette de sommeil!
S'il n'est pas réellement possible de rattraper des heures de sommeil perdues, plusieurs astuces permettent de se reposer et de récupérer de l'énergie en cas de dette de sommeil, par exemple : S'endormir plus tôt. Éviter les grasses matinées. Faire la sieste.
Résultat : le manque de sommeil s'accumule avec le temps. Les conséquences sont souvent de la fatigue, une perte de vigilance et d'efficacité, une perturbation de l'horloge circadienne, un décalage difficile à rattraper, une augmentation de la consommation de calories, et des risques pour la santé.
Une sieste compensatrice d'une à deux heures pendant la journée permet de compléter la nuit et de palier à ces « dettes de sommeil ». Afin d'optimiser le temps de vos siestes compensatrices, mettez toutes les chances de votre côté : Ne surchargez pas votre emploi du temps, réservez-vous du temps pour dormir.
Pour la plupart d'entre nous, la durée idéale de la sieste est de 10 à 20 minutes, de préférence entre 12 h et 15 h. Si possible, buvez une boisson contenant de la caféine tout de suite avant. Faire la sieste peut s'avérer un complément sain à une saine hygiène du sommeil.
Cette pénible sensation est due à un réveil contraint en plein milieu d'un cycle de sommeil. « Quand on fait une sieste trop longue la journée, surtout si on n'a pas assez dormi avant, on peut traverser un petit épisode de sommeil lent profond, l'épisode où le cerveau est ralenti.
Quand faire la sieste ? Durant la journée, aux premiers signes de somnolence ou de « coup de barre », mieux vaut ne pas lutter. En règle générale, la sieste se fait juste après le repas de midi. Son nom vient d'ailleurs du latin sexta, pour désigner la sixième heure du jour.
Voici comment résorber une dette de sommeil : Se coucher plus tôt que ce dont on a l'habitude. Veiller à faire des nuits d'environ 8 heures toute la semaine, et pas seulement le weekend. Faire une sieste de 20 minutes, pas plus tous les jours.
Pour se lever à 7h, il faut se coucher soit à 1h du matin, soit à 23h30, soit à 22h. Pour se lever à 6h30, il faut se coucher à minuit et demi, à 23h ou à 21h30.
Le reflux gastro-oesophagien, l'hyperthyroidie, des douleurs nocturnes ou encore certaines maladies respiratoires comme l'asthme sont également ds causes possibles d'insomnies.
Pour les personnes qui se couchent aux alentours de 23h, le sommeil avant ou juste après minuit est plus réparateur. Mais si le sommeil démarre plus tard, à 1h ou 2h du matin, l'information reste la même : c'est le début de la nuit qui nous permettra de récupérer au mieux et de supporter les privations de sommeil.
Prévenir la fatigue du réveil : le moment de se coucher
Il faut seulement veiller à respecter votre besoin de sommeil, variables d'une personne à l'autre. Par exemple, si 7 heures de sommeil vous suffisent et que vous devez vous lever à 6 heures, couchez-vous vers 22h45-23 heures.
Le sommeil lent profond, qui se caractérise par une activité cérébrale lente, est plus réparateur et survient que dans les deux à trois premiers cycles de sommeil soit avant 2 heures du matin pour un coucher avant minuit.
À terme, un sommeil insuffisant ou de mauvaise qualité, contribue à une surproduction d'hormones. Ces dernières favorisent l'augmentation de la tension artérielle et du mauvais cholestérol (LDL). Elles perturbent le métabolisme du glucose, ce qui peut conduire à un diabète de type 2, voire à une obésité.
Dormir l'après-midi vous semble une drôle d'idée et pourtant, cela permet de récupérer alors ne vous en privez pas ! Qu'elle soit flash, courte ou plus longue, elle est toujours relaxante et réparatrice. Elle réduit le stress, améliore la mémoire et la concentration...
Dormir après un repas
Si la sieste est salvatrice pour se requinquer, juste après le déjeuner, ce n'est pas le moment idéal. Faire une sieste pendant la digestion entraîne en effet, inconfort, ballonnements et problèmes de somnolence.
Les réveils en milieu de nuit concernent la majorité des insomniaques. En cause, d'après les experts, des troubles comme l'apnée du sommeil, un reflux gastro-oesophagien, les bouffées de chaleur liées à la ménopause ou l'envie d'uriner chez les hommes âgés ayant des problèmes de prostate.
Hypersomnie en relation avec un trouble médical
De nombreuses maladies et troubles médicaux peuvent nuire au sommeil et entraîner des hypersomnies. Le diabète par exemple, l'hypothyroïdie, le cancer etc. C'est aussi le cas des tumeurs cérébrales, des encéphalites, des traumatismes crâniens.
D'une durée de 20 minutes environ (entre 15 et 30 minutes au maximum), elle est avant tout relaxante. Il s'agit d'un épisode de sommeil lent léger qui entraîne dans le cerveau la production d'ondes relaxantes bienfaisantes et qui permet de récupérer sans sombrer dans le sommeil profond.
Pourquoi alors fermons-nous les yeux pour dormir ? Selon les experts, le fait de fermer les paupières permet d'hydrater l'oeil et de protéger sa surface. A l'inverse, lorsqu'on dort les yeux ouverts, les yeux s'assèchent et sont susceptibles de s'infecter car ils reçoivent plus de poussières.