Tout d'abord, remerciez votre N+1 d'avoir pensé à vous pour cette promotion. C'est un témoignage de confiance qu'il vous faut reconnaître et apprécier. Ensuite, annoncez votre refus et expliquez-en les raisons. Veillez à être clair sur le message, tout en mettant les formes dans la façon de le présenter.
1 – Ta candidature n'a pas été retenue pour le poste que tu souhaitais. Et ce, pour les raisons suivantes : “……………”. Ce que j'aimerais voir avec toi, c'est comment tu peux travailler un ou deux de ces points pour postuler une autre fois avec de plus de chances de succès.
J'ai bien reçu votre proposition d'embauche pour le poste de XXX et vous remercie de la confiance que vous me témoignez. Après avoir longuement réfléchi, j'ai le regret de décliner votre offre car elle ne correspond pas en tout point à mon projet professionnel.
« Refuser un poste n'est pas un exercice simple mais à l'instar d'une entreprise qui choisit un candidat, un talent a tout à fait le droit de refuser une offre. Si c'est bien fait, cela ne vexera personne » assure Olivier de Neuville, Directeur de Division Robert Half à Lyon.
La promesse vaut contrat de travail. Ce ne serait que d'un commun accord qu'ils pourraient y renoncer. L'employeur et le salarié peuvent effectivement se rétracter avant la signature de la promesse, dans ce cas, il n'y a plus de rencontre de leurs volontés et les parties reprennent leur liberté.
Tout d'abord, remerciez votre N+1 d'avoir pensé à vous pour cette promotion. C'est un témoignage de confiance qu'il vous faut reconnaître et apprécier. Ensuite, annoncez votre refus et expliquez-en les raisons. Veillez à être clair sur le message, tout en mettant les formes dans la façon de le présenter.
Dites non dès que possible. Le plus rapidement vous indiquez votre refus, le plus il sera facile pour le destinataire de le recevoir avec l'espoir de recevoir des «oui» de ses autres invités. Remerciez la personne de vous avoir invité. Si vous avez un autre engagement, mentionnez-le au début de votre conversation.
Pour refuser poliment : Chère Madame / Cher Monsieur, Je tiens à vous remercier de l'opportunité que vous m'offrez et du temps que vous m'avez consacré, notamment durant l'entretien. Bien que votre entreprise m'ait séduit·e par son·sa XXXXX, j'ai accepté un poste ailleurs correspondant davantage à mes aspirations.
Madame / Monsieur, Je vous remercie une nouvelle fois de la considération que vous avez apporté à ma candidature pour le poste de [intitulé du poste]. Je vous envoie ce mail pour vous informer que je ne pourrai malheureusement pas honorer notre rendez-vous qui était prévu le [date et heure].
Soyez concis, remerciez-les de l'intérêt qu'ils ont porté envers votre candidature et exposez de façon authentique et professionnelle les raisons de votre refus (ex. vous avez eu une autre offre qui concordait à votre désir de développer X compétences, le poste est plus près de chez vous, etc.).
“Madame X / Monsieur X, Nous avons bien reçu votre candidature et nous vous remercions de l'intérêt que vous portez à notre entreprise. Cependant, après une étude approfondie de votre candidature, nous sommes au regret de vous informer que nous ne pouvons pas y donner une suite favorable.
Contentez-vous de dire « Non, je ne peux pas » ou « Non, je ne veux pas ». En justifiant de suite votre refus, vous pouvez compliquer la situation, vous emmêler les pinceaux et vous mettre tout seul dans l'embarras. De plus des justifications à outrance entraînent la méfiance. Mieux vaut rester concis donc.
# 1 : Dites-le de vive voix
Vous devez assumer votre non et pour cela, le dire en face à face. Bannissez le mail et répondez lorsque vous êtes seul(e) avec la personne et mettez-vous dans une posture d'égal(e) à égal(e). Pas question que l'un soit assis et l'autre debout.
Il ne faut jamais laisser la colère prendre le dessus, car elle ne résoudra pas votre problème, elle ne fait que l'empirer. Être calme et admettre le refus avec respect est le meilleur moyen pour y faire face. Sachez qu'il peut y avoir une bonne raison pour que votre promotion soit refusée.
L'employeur doit obtenir l'accord du salarié pour un changement de poste, une mutation à l'étranger ou une augmentation de la durée du travail. Il peut cependant changer seul les conditions de travail.
Au choix. Les fonctionnaires bénéficiaires d'une promotion interne sont choisis par l'administration parmi ceux qui remplissent les conditions fixées par le statut particulier du corps ou cadre d'emplois d'accueil.
La proposition d'embauche faite par un employeur est soit une offre de contrat de travail, soit une promesse unilatérale de contrat de travail. L'offre de contrat de travail peut être librement refusée. La promesse unilatérale de contrat de travail peut également être refusée, mais dans un délai prévu au préalable.
L'employé travaille sans réelle contrainte et il peut démissionner à tout moment sans aucune obligation envers l'employeur. Pour l'employeur, sans signature d'un contrat, il n'est pas obligé de déclarer son employé. Il peut également licencier son employé à tout moment.
La promesse d'embauche signée par les deux parties est un engagement réciproque de l'employeur mais également du futur salarié. À partir du moment où elle est acceptée par le candidat, elle lie l'employeur à son futur salarié. Son existence est opposable aux deux parties.