décédé, disparu, tué. – Littéraire : défunt, feu, trépassé.
Qui a cessé de vivre, décédé. Hors d'usage.
➙ mort ; décéder, disparaître, s'éteindre, expirer, périr, succomber, trépasser ; familier clamser, claquer, crever ; → casser sa pipe.
Contraire : existence, naissance, vie.
➙ défunt, feu, trépassé ; s'oppose à vivant. Il est mort depuis longtemps. ➙ décédé.
Définition de mortellement adverbe
➙ à mort. D'une façon intense, extrême. Il était mortellement pâle.
Votre mort est une des pièces de l'ordre de l'univers; c'est une pièce de la vie du monde ». Fuir la mort étant se fuir soi-même, bien mourir est être soi-même jusqu'au bout, en notre pleine conscience et identité. Socrate ne disait pas autre chose. Naître c'est s'engager à mourir.
1. Perte définitive par une entité vivante (organe, individu, tissu ou cellule) des propriétés caractéristiques de la vie, entraînant sa destruction. 2. Cessation complète et définitive de la vie d'un être humain, d'un animal : Annoncer la mort d'un ami.
Les verbes décéder et mourir ont un sens en commun, mais ils ne sont pas interchangeables dans tous les contextes pour autant : décéder signifie « cesser de vivre », s'applique aux personnes et est surtout employé dans la langue administrative, alors que mourir signifie aussi « cesser de vivre », mais peut s'appliquer ...
Maure - mort - mord - mords - mors - cours. La langue française regorge de mots qui se ressemblent par leur graphie (homographes) ou par leur prononciation (homophones), mais qui n'ont pas la même signification. Ce sont des homonymes et ils sont tous de véritables pièges orthographiques pour les non-initiés.
MORT1, subst. fém. MORT2, MORTE, part. passé, adj.
Dans la mythologie nordique, la déesse de la mort est la déesse Hel. Elle règne sur un monde qui porte son nom dans lequel vivent les morts. Le nom de la déesse est à l'origine du mot hell qui, en anglais, signifie enfer.
mort latin mors mortis - LAROUSSE.
Définition de obituaire adjectif et nom masculin
adjectif Relatif au décès. ➙ mortuaire.
mort n. Être humain qui a cessé de vivre.
La mort nous délivre des tourments du monde sensible, les maladies, la douleur… et c'est pourquoi « le corps est le tombeau de l'âme » (sôma sêma) (Cratyle). Au fond, à la mort, on n'enterre que le corps. Pour les vrais philosophes, la mort, explique Platon, n'est donc que la libération de l'âme.
La mort physique est la séparation de l'esprit et du corps mortel. La chute d'Adam a amené la mort physique dans le monde (voir Moïse 6:48 ). Grâce à l'expiation et à la résurrection de Jésus-Christ, toute l'humanité ressuscitera et sera rachetée de la mort physique.
Ce n'est qu'à partir de 9 ans environ que l'enfant comprend le caractère définitif et inéluctable de la mort, mais aussi son caractère universel : tout le monde meurt un jour. Cette compréhension nouvelle peut être source d'angoisses, que la parole va aider à apaiser.
La mort est essentielle au sens et à la valeur de la vie humaine telle qu'elle est expérimentée par les individus et les communautés. La mort ne donne pas sens à la vie mais elle procure l'arrière-fond sur lequel la vie est vécue.
En quoi consiste notre relation à la mort ? Nulle opposition entre vie et mort n'est à même d'en rendre compte, plutôt s'agit-il d'une inclusion. Pour le sujet, la vie qu'il fera sienne procède d'une perte qui la détache de l'organique. C'est une perte durable et ineffaçable, logée au cœur du vivant.
En effet, tout organisme biologique est génétiquement programmé pour mourir. Les cellules se dégradent progressivement, ne se renouvelant plus suffisamment pour assurer la survie de l'organisme. La mort représente ainsi la fin complète et définitive de la vie biologique chez un être vivant.
La mort est l'état irréversible d'un organisme biologique ayant cessé de vivre. Cet état se caractérise par une rupture définitive dans la cohérence des processus vitaux (nutrition, respiration…) de l'organisme considéré.
Historiquement trois formes de morts cellulaires ont été décrites uniquement sur des critères morphologiques : la nécrose, l'apoptose et l'autophagie. A ce jour, deux types de morts s'opposent la mort cellulaire accidentelle (nécrose) et la mort cellulaire régulée (plus de 12 différentes).
Forme d'adjectif
Masculin pluriel de mort.