Participez à la conversation, n'ayez pas peur de prendre la parole. Montrez-vous à l'écoute et réceptif de leurs blagues, même les plus gênantes. Il serait embêtant de laisser s'immiscer un malaise lorsque beau-papa tente de faire une blague (même si elle n'était pas très drôle). Alors riez, riez fort.
Le plus souvent se met en place une habitude. Pour nommer ses beaux-parents, il existe six possibilités : appeller sa belle-mère par son nom de famille, par son prénom, par « belle-maman », par « maman », par « mamie » ou « mémé », ou éviter.
Soyez gentil et affectueux envers votre conjointe et montrez-leur que vous avez une bonne relation X Source de recherche . Évitez de vous quereller avec elle, de la harceler ou de la rabaisser en présence de ses parents. Si vous avez quelque chose à faire, prévoyez de le faire quand vous serez seul.
Traitez votre beau-père et votre belle-mère comme vous traiteriez votre père et votre mère X Source de recherche . Traitez vos beaux-frères et belles-sœurs comme vous traiteriez vos propres frères et sœurs. Soyez aimable, cordial et naturel avec eux. Soyez honnête et communiquez de façon ouverte.
La chemise doit impérativement être bien ajustée. Vous pouvez avoir le plus beau tissu du monde, mais si la chemise est trop ample ou au contraire qu'elle vous boudine, l'effet escompté ne sera pas en rendez-vous. Misez de préférence sur une chemise sur-mesure.
Évitez les recettes trop épicées ou trop pimentées. Ça serait bête que votre belle-mère s'étouffe en plein milieu du repas, quand même. Pensez généreusement, mieux vaut en avoir trop que pas assez ! Au pire, s'il vous en reste, vous le mangerez demain en faisant un debrief du dîner avec votre moitié.
Tenez-vous prête à esquiver les sujets chauds! Côté look, optez pour du BCBG dominical aux couleurs neutres et évitez les couleurs flashy, les décolletés plongeants et les jupes trop courtes.
« Dès le début, il est important de fixer des limites à sa belle-famille, nous avertit Élisabeth Couzon, psychologue clinicienne. Il ne faut pas avoir peur de mettre un cadre autour de ces relations qui peuvent rapidement devenir toxiques : osez affirmer vos besoins, ne vous sacrifiez pas.
Donner clairement la priorité à son partenaire par rapport à sa famille. C'est le principe clef pour une relation harmonieuse avec la belle-famille : chaque partenaire doit donner la priorité à son conjoint par rapport à ses parents et sa famille. En réalité, le problème ne vient souvent pas de la belle-famille.
Posez-lui des questions.
Tout comme vous, votre belle-mère se soucie du bienêtre de la personne que vous avez épousée et chacune de vous fait partie de la vie de l'autre par le biais de votre autre moitié. Prenez le temps de poser des questions à votre belle-mère sur sa vie. Intéressez-vous à elle et à ce qu'elle fait.
Lorsque le patriarche parle, on l'écoute attentivement et on évite de le contredire. C'est un peu faux-cul, certes, mais on évite les tensions inutiles. Et surtout, ne pas trop fayoter, les pères détestent ça ! Si la conversation dévie sur un sujet qui fâche, la politique, la religion ou autre... Stoppez net !
C'est un passage obligatoire dès qu'une relation devient sérieuse. Après plusieurs mois de bonheur conjugal, votre chéri(e) vous propose de rencontrer ses parents. Pour un déjeuner dominical ou pendant tout un week-end, vous allez intégrer une famille qui n'est pas la vôtre, qui a ses codes et son fonctionnement.
Avant de rencontrer votre belle famille, prenez le temps d'essayer de connaître tout le monde en discutant avec votre partenaire. Après l'évènement, parlez calmement avec lui de ce qui vous tracasse, de ce qui vous fait mal. Faites-lui part de vos problèmes, mais il n'a pas à faire un choix entre vous et sa famille.
Ainsi, la belle-mère peut être appelée « maman » pour certains tandis que d'autres préférons la nommer par son prénom ou la gratifier du titre de « tata », « tante » ou de « tatie ».
Si vous êtes dans cette situation, la première chose à faire est de discuter ouvertement avec votre conjoint. Même s'il est incapable de faire face frontalement à sa famille, il faut qu'il comprenne que cela met en péril votre couple, que vous avez besoin qu'il soit là pour vous et qu'il vous faut agir.
Le mieux est d'être soi-même et ne pas faire semblant, car tôt ou tard ça se remarquera. Tentez de chercher despoints communs avec votre belle-soeur: hobbies, intérêts, goûts musicaux, quoi que ce soit qui vous permette de lancer des sujets de conversation où votre copine ne soit pas le centre d'attention.
De la même manière, vous avez peut-être du mal à supporter vos beaux-parents du fait qu'ils critiquent sans cesse votre manière d'éduquer vos enfants. Ils vous trouvent trop laxiste, ou au contraire trop stricte, ou pire encore, ils vous contredisent devant vos bambins et vous décrédibilisent devant eux.
Ne pas répondre du tac au tac
Quand on a une belle-famille qui a pris l'habitude de dire tout ce qu'elle pense à haute voix, et en particulier de critiquer à peu près tout ce qu'on fait, on a envie de répondre aussi sèchemment pour ne pas se laisser faire.
Soyez vous-même. Même si les parents de votre petit ami ne vous aiment pas autant que cela, cela ne veut pas dire qu'il n'y a aucun espoir pour la relation. Essayez de faire en sorte que tout se passe bien et sans doute, ils tenteront également de faire de même. Il n'y a rien de pire que de vouloir en faire trop.
Portez des vêtements dans lesquels vous vous sentez bien, à l'aise, et qui vous ressemblent. Inutile de chercher à ressembler à quelqu'un d'autre. Évitez les vêtements trop sexy, comme les robes trop courtes, les mini-jupes très moulantes, les hauts trop décolletés… à moins que ce ne soit votre style bien sûr.
Posez-lui des questions sur la façon dont elle a élevé ses enfants, ou sur son métier, sur sa façon de concilier vie de famille et vie professionnelle. Deux avantages à cela : une proximité possible avec elle, mais aussi un terrain de confiance.