A partir d'exercices très simples, vous pouvez travailler votre cheval pour le rendre plus réactif et attentif à vos aides. A partir de l'arrêt, faites une pression brève et légère de vos jambes pour partir au pas. Dans votre tête, soyez déterminé mais ne modifiez pas pour autant votre position.
Les transitions (entre allures et au sein d'une allure) sont excellentes pour muscler un cheval, en particulier les transitions rapprochées. C'est également un super moyen de dynamiser un cheval froid à la jambe.
Mettez votre monture clairement au travail, enchainez les figures de manège, quitte à avoir l'impression de lui donner le tournis. Si le niveau de votre cheval le permet, travaillez sur deux pistes, c'est aussi un bon moyen de trouver le bon rythme et de se concentrer.
Idéalement, le cheval doit avoir sa ligne du dessus tendue, ce qui implique une bonne impulsion. Il cède dans sa bouche et son encolure, de façon à ce que sa nuque soit le point le plus haut (chanfrein vertical). Le contact que le cavalier a par l'intermédiaire de ses rênes est alors constant et moelleux.
Il s'agit simplement d'effectuer un cercle au trot ou au galop et de laisser filer ses rênes sur un quart ou une moitié du cercle. Le cheval devant chercher à étendre son encolure vers le bas pour conserver le contact avec la main. La qualité du contact y est primordiale. Il doit être franc, mais souple !
Le bon cheval de saut d'obstacles doit être naturellement très respectueux des barres. Cela veut dire qu'il est très attentif a ne pas toucher les obstacles, qui se donnera les moyens en sautant bien au dessus pour s'assurer de ne pas faire de “faute” en renversant l'obstacle.
Les sauts au pas sont extraordinaires pour muscler l'arrière main de votre cheval. Par rapport aux sauts au trot ou au galop, les sauts au pas ont cet avantage de nécessiter beaucoup plus de force à cause de l'absence de vitesse à l'abord.
Plier les coudes lorsque le cavalier est assis et les tendre quand il se lève, tout en avançant le nombril en direction des mains et non l'inverse. Les bras ainsi articulés permettent aux mains de ne plus aller de haut en bas et sont alors fixées par rapport à la bouche du cheval.
L'ajout de magnésium (sous forme hautement assimilable comme le chlorure de magnesium) est le traitement classique chez le cheval stressé, comme chez l'homme, car c'est un minéral essentiel au bon fonctionnement des systèmes nerveux et musculaire.
Pour bien assouplir ton cheval tu peux déjà commencer par le faire marcher. De dix à vingt minutes selon les chevaux pour bien l'échauffer. Ensuite, commence par le faire galoper tête en bas. Reste en suspension pour lui faire la vie facile au début et laisser ses muscles se mettre en place sans effort.
Exercice #3 – Les sauts de puce
Les sauts de puce sont très bons pour faire travailler les abdominaux grâce aux flexions-extensions très rapides et rapprochées.
Les chevaux très près du sang sont extrêmement sensibles. Ils ressentent toutes les émotions que vous pourrez leur transmettre. Ainsi, si vous êtes crispé(e) parce que vous avez du mal à maitriser votre monture, et que vous commencez à monter en pression, cela risque d'empirer les choses.
avant de le monter. Cependant, il est également possible qu'il agisse ainsi, lorsque vous lui demandez le galop, pour manifester son refus d'obéissance. Dans cette hypothèse, il y a un manque d'impulsion caractérisé, c'est-à-dire un refus de se mettre à la disposition du cavalier.
La fatigue peut être l'un des premiers signes de souffrance, le cheval a l'air triste. La maladie évolue généralement avec d'autres symptômes comme un amaigrissement, des fourbures et la pousse excessive des poils.
L'équinophobie ou hippophobie est une peur ou une panique d'origine psychologique, à l'égard des chevaux.
Soyez progressif, et ne lui en demandez pas trop d'un coup au risque d'obtenir une forte réaction de fuite et de renforcer sa peur. Contentez-vous de peu, et récompensez beaucoup avant de redemander. Restez rênes longues. En effet moins le cheval est tenu dans les moments de peur, plus il est rassuré.
Les peurs à cheval
Certains cavaliers ont également peur de l'échec : ils angoissent en imaginant ne pas réussir à réaliser un exercice. D'autres sont anxieux à l'idée de mal faire et d'abimer leur cheval et de lui faire mal.
Cependant, adoptée durant quelques minutes, cette position peut permettre de débloquer la situation notamment chez des cavaliers qui n'auraient pas perçu les répercutions de leur position sur l'attitude du cheval. Il est inutile de chercher à avoir un cheval en place si le cavalier ne parvient pas à fixer ses mains.
Etirer vers l'arrière (la rétraction) : mettez-vous dans le même sens que votre cheval. Prenez le membre en mettant une main au dessus du genou et l'autre au niveau du paturon. Amenez doucement le membre vers l'arrière et vers le bas, comme si vous souhaitiez lui faire toucher le sabot postérieur.
Il ressemble davantage au dessin. Il a de la masse musculaire, car ses efforts sont davantage « explosifs » : intense, mais sur une durée « courte » (quelques minutes). On se rapproche de la morphologie du gymnaste humain.
Pour cela, le cheval va devoir arrondir son encolure en venant pousser sa nuque par dessus son bout du nez. En étirant ainsi sa tige vertébrale, dans la décontraction, il va induire la décontraction de son dos, et le remonter.