Le stress familial, la maltraitance, les critiques dévalorisantes fréquentes et les échecs répétés au cours de la vie diminuent l'estime de soi. Mentionnons aussi le manque de conscience de soi et de buts, le schéma de perfectionnisme et l'habitude à la procrastination.
Une personne avec une faible estime de soi se dit bien des choses négatives comme se critiquer soi-même, ses actions ou ses capacités. Elle se moque très méchamment d'elle-même, se rabaisse, doute d'elle-même, ou se blâme quand quelque chose échoue.
L'estime de soi, c'est la reconnaissance de sa propre valeur. La confiance en soi, c'est la reconnaissance de ses propres compétences. L'affirmation de soi, c'est la capacité à s'exprimer et à défendre ses droits sans empiéter sur ceux des autres.
Le besoin d'estime se définit par un besoin d'accomplissement personnel et de confiance en soi. L'individu souhaite accomplir des choses suscitant le respect de ses proches, de ses connaissances, mais aussi d'inconnus. Ces actions peuvent être d'ordre professionnel, sportif ou encore financier.
Les principales causes de cette sous-estimation sont donc psychologiques. En effet, l'être humain a besoin de sentir que son monde est organisé et prévisible, et qu'il peut répondre à ses besoins. Penser qu'il vit dans un monde où l'incertitude n'existe pas ou peu le rassure.
L'absence de confiance en soi vient d'un manque ou d'un besoin non comblé, généralement vécu dans notre passé. Il n'est pas toujours aisé d'identifier ce besoin, mais cela peut aider à comprendre d'où vient la perte de confiance en soi.
La peur de la critique.
C'est l'une des peurs les plus répandues à l'origine d'une déficience de la confiance en soi. La principale cause de cette peur est que vous êtes trop concentré et préoccupé par le regard des autres et leur opinions . Du coup, vous ressentez un sentiment d'insécurité.
Derrière le complexe d'infériorité d'origine psychologique ("Je suis nul") se cachent des problèmes d'estime de soi, avec surestimation des autres (vus comme plus beaux, plus intelligents, plus courageux...).
Une personne qui manque de confiance en elle-même s'expose ainsi à passer à côté de sa vie, incapable de concrétiser ses aspirations, ou faire face à son avenir. Lorsque la personne s'isole complètement, elle risque de s'enliser dans un état dépressif, lequel, dans les cas extrêmes, peut conduire au suicide.
Comment arrêter de se sous-estimer ? - Quora. Je dirais que pour arrêter de se sous-estimer, il faut apprendre à se faire confiance et être bienveillant avec soi-même. Lorsqu'on se sous-estime, nous sommes traversés par des pensées négatives telles que " je ne vais pas y arriver" ou " je n'ai pas les capacités".
Différents facteurs influencent le niveau de confiance que nous pouvons avoir envers nous-mêmes : l'affirmation de nos besoins et de nos opinions, la reconnaissance des autres, le sentiment de sécurité et l'acquisition de compétences.
La confiance en soi n'est pas innée : elle s'acquiert. Apprenez à gérer votre anxiété, à valoriser vos accomplissements, à agir avec confiance en vous et à y croire. Des habilités acquises. La confiance en soi est un mélange d'habilités, et non une simple qualité.
La confiance est un pari que nous faisons, au delà d'une recherche de bénéfices-risques dans une situation, il se base sur notre intuition sur nos expériences anciennes, sur le besoin que nous avons de faire confiance pour aboutir à nos projets, sur une motivation à être en lien.
Comment voulez-vous avoir de l'estime pour vous-même si vous ne respectez pas qui vous êtes ? Ayez de la reconnaissance pour vous-même, ce que vous faites et ce que vous ferez. N'attendez pas après les autres pour vous donner de la valeur parce que vous attendez de la reconnaissance.
Recherchant ce qui se cache derrière ces motivations, il met au jour cinq (groupes de) besoins fondamentaux : les besoins physiologiques, les besoins de sécurité, les besoins d'appartenance et d'amour, les besoins d'estime et le besoin d'accomplissement de soi.
Pour rappel les besoins fondamentaux sont d'ordre physique, social et mental. On tend à satisfaire nos besoins. S'ils ne sont pas satisfaits, l'organisme et par extension l'individu va ressentir un état de manque.