Rester actif (loisir) même en période de repos
Il faut donc penser à créer des brèches de créativité, ruser et maintenir son cerveau dans une activité simple, récréative, qui sollicitera autrement votre tête, comme faire une activité physique ou écouter de la musique.
Pour ça, la façon la plus efficace de se reposer est de se trouver une activité mentale intermédiaire, qui nous permette de nous concentrer de façon simple sur une tâche précise. » À chacun de trouver l'activité qui lui correspond : puzzle, lecture, balade, jardin, sudoku, coloriage… « L'important est de faire quelque ...
Inspirez par le nez pendant environ deux secondes, sentez votre ventre qui se remplit d'aide, puis poussez doucement dessus pendant que vous expirez lentement. Répétez l'exercice jusqu'à l'endormissement.
La réflexion excessive peut avoir pour origine le doute de soi ou un manque d'estime de soi, elle peut être liée au stress et à l'anxiété, ou encore être le résultat de traumatismes passés ou d'expériences négatives dans la vie.
Une méthode efficace consiste à pratiquer la respiration profonde avec les poumons vides. Asseyez-vous confortablement et videz complètement vos poumons en expirant lentement par la bouche. Ensuite, inspirez profondément par le nez en sentant l'air remplir vos poumons.
Si les perturbations du sommeil ont des origines diverses, beaucoup sont dues à une mauvaise gestion du stress avec une tendance à la rumination mentale. Inversement, quand le sommeil fuit obstinément le dormeur, l'anxiété et son cortège de pensées anxiogènes sont au rendez-vous.
2. Dormir la tête à l'Est et à l'Ouest. Le Feng Shui et le Vastu Shastra préconisent tous les deux de privilégier une orientation de la tête vers l'Est. Cela serait propice à la relaxation, favoriserait les rêves, améliorerait le sommeil et rendrait nos nuits bien plus réparatrices.
Un effort mental intense et prolongé provoque en effet l'accumulation d'un sous-produit de l'activité des neurones, le glutamate, dans certaines zones du cortex préfrontal latéral, une région qui gouverne nos fonctions mentales supérieures. Or ce glutamate en excès altère le fonctionnement de nos neurones.
Tentez la micro-sieste fermez les yeux, détendez vous pendant environ 10 minutes : l'effet sera toujours bénéfique. La respiration comme la sophrologie peuvent être d'une aide précieuse pour récupérer. Sur du court terme, un aliment ou une boisson peut vous donner un regain d'énergie, à ne pas utiliser à long terme.
Repos physique
Le repos actif, quand à lui, peut être exercé lors d'une activité qui restaure le corps, comme le yoga, les étirements ou le massage thérapeutique. Si le repos passif reste le plus réparateur, il est intéressant d'inclure une certaine forme de repos actif dans sa routine 2 à 3 fois par semaine.
Ce problème courant peut être résolu grâce à quelques gestes apaisants qui permettent de détendre les tensions musculaires et d'aider l'esprit à s'apaiser. La respiration, les souvenirs heureux, l'écriture, les techniques visuelles ou quelques gouttes d'huile essentielle de lavande peuvent suffire.
Quand vous ressacez, ruminez, vous entretenez votre stress et votre cerveau est en état d'alerte. L'hyperexcitation cognitive causée par le stress est alors incompatible avec le lâcher prise propice au sommeil. Ces pensées, cohérentes et agaçantes, interfèrent dans le processus d'endormissement.
Faites un effort conscient chaque jour pour ramener votre cerveau à une pensée neutre (voire positive si possible) et éviter d'être aspiré par le négatif. Prenez cinq minutes le matin au levé pour méditer et respirer afin de diminuer votre hyperactivité cérébrale.
Trouver le bouton STOP, et changer le film qui tourne un peu trop souvent en boucle dans notre tête. Ralentir, mettre sur pause ses pensées qui ont une fâcheuse tendance à s'inviter, y compris au milieu de la nuit, alors que nous n'avons qu'une seule aspiration: celle de DORMIR, de nous REPOSER, de RECUPERER.
Le plus souvent, cette forme d'asthénie est due à une dépression, à des troubles anxieux, à une phase dépressive d'un trouble bipolaire ou à des troubles du comportement alimentaire (anorexie mentale plus particulièrement).
Dans la majorité des cas, c'est le stress qui est responsable d'un mauvais sommeil. Si la difficulté à s'endormir persiste, les causes peuvent être multiples telles qu'un trouble d'origine mentale ou psychologique (une dépression par exemple) ou une maladie chronique.
C'est une "pensée involontaire" et répétitive, qui serait une tentative, mise en échec, de réponse à une détresse psychologique, à une douleur morale. Elle se traduit par une lamentation répétitive focalisée sur les symptômes de la détresse et/ou sur ses causes et conséquences possibles ou supposées.
Selon la clinique Mayo, aux États-Unis, “les pics de rire, surtout ceux qui sont accompagnés de rire, augmentent le rythme cardiaque et la pression artérielle. En d'autres termes, le rire libère la tension ou augmente le flux sanguin vers le cœur et les autres organes vitaux.
Rien de tel qu'une activité physique régulière pour sortir d'un état anxieux ! Pratiquer un sport, idéalement 30 minutes par jour, est une méthode efficace pour évacuer les tensions accumulées. Outre son effet libérateur, l'exercice physique procure une sensation de bien-être général.
L'overthinking, littéralement “penser trop”, se traduit par un torrent d'émotions et de pensées négatives qui persistent dans le cerveau de l'individu. État d'hésitation permanent, l'overthinking impacte le quotidien et le bien-être de celui ou celle qui en est victime.