Vivre en conscience de soi, c'est accepter d'être responsable de sa vie mais également de tout ce qui nous arrive. C'est être à l'écoute de la vie à travers nos 5 sens. C'est rayonner sa lumière intérieure en maîtrisant ses angoisses, ses blessures et ses croyances limitantes.
Accepter ses émotions, oser les ressentir et savoir les nommer, permet d'en prendre le contrôle par la pensée consciente et volontaire. En conclusion, l'émotion est le radar qui fait prendre conscience d'un événement bien plus que la simple pensée rationnelle.
La pleine conscience peut être pratiquée de deux façons : Formelle : en prenant un temps d'arrêt en position assise ou debout pour méditer. Informelle : en portant l'attention sur chaque instant de l'activité quotidienne réalisée.
La conscience immédiate et la conscience réfléchie, la connaissance du monde, la connaissance de soi.
L'intensité de la tension peut déclencher une prise de conscience spontanée, suivie d'une transformation radicale. Heureusement, la souffrance n'est pas indispensable à la prise de conscience.
Mettez une main à hauteur des yeux, paume face à soi et focalisez le regard sur un point au centre. Tout en relâchant le corps et en restant focalisé, demandez à l'inconscient d'avancer la main jusqu'au visage par des mouvements lents et saccadés, comme si elle était aimantée par le visage.
La conscience serait limitée au seul sous-ensemble des informations qui auraient été attendues, observées. Au mieux, les informations non attendues seraient des représentations fragmentaires des informations originales.
La Pleine Conscience (mindfuness en anglais) est la conscience qui se manifeste lorsque l'on porte attention intentionnellement et de manière non jugeante sur l'expérience du moment présent. La Pleine Conscience s'entraîne par la méditation formelle et des pratiques informelles.
Une efficacité prouvée sur la durée
« La pleine conscience consiste à apprendre à maintenir son attention sur le moment présent et à la rediriger quand elle s'échappe. Or, l'attention est comparable à un muscle, affirme Estelle Fall. Plus on médite, plus on médite bien et longtemps. »
Dès 18 mois, l'enfant développe en effet une conscience de soi en concert avec celle d'autrui. Ce développement est l'expression d'une coconscience de soi où l'enfant devient conscient de lui-même dans sa dépendance aux autres, de même qu'en fonction et au travers du regard d'autrui.
Pour justement que la conscience de soi soit une maitrise, il faudrait qu'elle soit une force, or cela ne semble pas être le cas. La véritable force est en réalité notre volonté de nous maitriser, à ne pas céder aux désirs et aux pulsions qui à nouveau, nous entraineraient dans l'inconscient.
L'HYPNOSE. En instaurant une plus grande suggestibilité, l'hypnose favorise les changements positifs. Elle permet l'accès à un état modifié de conscience reliant le cerveau gauche rationnel (lié au mental et à l'analytique) et le cerveau droit émotionnel (lié à l'intuition, à la créativité, à l'imagination…).
L'inconscient dans le discours analytique
Il suffit de lire Freud : ses trois grands ouvrages des années 1900 en détaillent les premiers signes, rêve, lapsus et acte manqué, sans oublier encore leurs affinités avec le mot d'esprit.
Les causes de l'inconscience
- Traumatiques : suite à une chute au sol ou de l'agrès, un choc sur l'agrès… - Médicales : suite à un malaise ou une hypoglycémie - Toxiques (rare) : fuite de gaz, explosion atomique, radioactivité…
1- La méditation et la visualisation
Quand nous nous détendons plus profondément, nous devenons un mélange du subconscient et du conscient, jusqu'à ce que les deux finissent par s'unir et transcender dans un état de super-conscience.
Des expériences récentes ont ainsi montré que la pensée pouvait exercer une action causale sur le cerveau. Ainsi en va-t-il du sujet qui, plongé dans le noir et protégé de toute sensation, doit détecter un attouchement à peine perceptible sur l'un de ses doigts.
Il est possible d'induire, par l'hypnose ou le magnétisme, l'extériorisation de la conscience. À l'aide de la méditation qui relaxe le corps et la pensée, la transe peut être activée.
Le problème difficile de la conscience concerne donc la conscience phénoménale qui n'est autre qu'un point de vue en première personne se traduisant par quelque chose qui est ce que cela fait : ce que cela fait d'être moi, ce que cela fait d'avoir des émotions, des sensations, des expériences sensibles, visuelles etc.
La conscience est un pouvoir de connaissance de soi, du monde et du bien et du mal. Un savoir qui accompagne mon être, mes pensées en général. Si on prend un être inconscient comme un dormeur, il est comme un objet puisqu'il ne se représente ni le monde, ni lui-même.
Vers 4 ou 5 ans, l'enfant commence à voir les conséquences de ses gestes et il prend conscience que certains comportements sont acceptés dans certaines situations, mais interdits dans d'autres.
Vivre sans souci de la morale ou de manière immorale est cependant possible, mais ne permet pas de conclure à l'absence de conscience morale ni d'instinct moral.