Rendez-vous sur le formulaire disponible sur www.filae.com/prisonniers et saisissez le nom de la personne que vous rechercher.
Rechercher un déporté sur le site de la Fondation pour la mémoire de la Déportation. Ce site a pour vocation de recenser toutes les personnes parties de France pour cause de déportation de répression. Il répertorie actuellement plus de 89 000 personnes, dont environ 10 % de femmes.
Les adresses utiles : Service historique de la Défense, château de Vincennes, 94306 VINCENNES cedex. SHD Centre des archives du personnel militaire (CAPM), caserne Bernadotte, place de Verdun, 64023 PAU cedex. SHD Division des archives des victimes des conflits contemporains, rue Neuve du Bourg l'Abbé 14307 CAEN cedex.
Le Service du travail obligatoire (STO) fut, durant l'occupation de la France par l'Allemagne nazie, la réquisition et le transfert vers l'Allemagne de centaines de milliers de travailleurs français contre leur gré, afin de participer à l'effort de guerre allemand que les revers militaires contraignaient à être sans ...
C'est en 1942-1943 que le Service du travail obligatoire (S.T.O.) a été organisé par une série de lois promulguées par le gouvernement de Vichy, à la demande des autorités allemandes.
Seuls 50 000 ouvriers partirent, de gré ou de force. Le 4 septembre 1942, Pétain fait alors passer une loi, qui conduit au départ de 250 000 travailleurs en six mois ! Le 16 avril 1943, Pierre Laval créa le Service de travail obligatoire (STO).
Georges Bidault, qui a succédé à Jean Moulin à la tête du CNR, a également joué un rôle très important au sein de la résistance. On peut aussi citer, parmi les grands héros, Henri Frenay, André Dewavrin (appelé le colonel Passy), ou encore Pierre Brossolette.
La résistance intérieure française, appelée en France la Résistance, englobe l'ensemble des mouvements et réseaux clandestins qui durant la Seconde Guerre mondiale ont poursuivi la lutte contre l'Axe et ses relais collaborationnistes sur le territoire français depuis l'armistice du 22 juin 1940 jusqu'à la Libération en ...
Forces françaises de l'intérieur (FFI) : Le 1er juin 1944 le CFLN (voir définition) regroupe les diverses formations militaires de la Résistance (Armée Secrète, groupes francs, Francs-Tireurs et Partisans, etc.) en créant les Forces françaises de l'Intérieur.
Si l'idéologie raciale nazie visait principalement les Juifs, elle s'étendait aussi aux Tsiganes, aux Slaves et aux Noirs. Les Juifs étaient perçus comment des ennemis de par leur “race” ; et furent soumis à des arrestations et des internements arbitraires. A partir de 1941, ils furent systématiquement assassinés.
FFI → Forces françaises de l'intérieur. FFL → Forces françaises libres.
1. Personne internée dans un camp de concentration. 2. Personne qui était condamnée à la peine de déportation.
Comment faire ? Aux archives départementales,vous trouverez cette information en Série R : Affaires militaires. Sur internet, certains sites d'archives départementales permettent de consulter le répertoire alphabétique et les registres matricules (voir la carte).
Un incontournable : le site Mémoire des Hommes
Le Ministère de la Défense a numérisé de nombreux documents d'archives. Sur ce site, le généalogiste a la possibilité de consulter plusieurs bases de données sur les soldats français, de l'Ancien Régime à nos jours.
Les registres de matricules militaires
Les sources les plus fiables pour déterminer le parcours et le régiment d'un ancêtre pendant la Grande Guerre sont les registres de matricules militaires. Pour la période couvrant la Première Guerre Mondiale, ces registres ont été numérisés dans la plupart des départements.
sabotages, armes dans le maquis : préparation à la libération ou gêne de l'ennemi. Sont contre l'occupant, contre Vichy et sa politique...
4 : quels sont les risques encourus par les résistants ? (2 pts) Cette affiche allemande indique que les Résistants encourent la peine de mort et les travaux forcés.
Figure phare de la Résistance lors de la Seconde Guerre mondiale, Jean Moulin est le plus jeune préfet de France en 1937. Il s'opposa à l'occupant allemand dès 1940 et créa, sous l'égide du général de Gaulle, le Conseil National de la Résistance.
par Hitler (22 juin 1941) que le P.C. clarifie ses positions. Il essaie de briser son isolement en créant son propre mouvement de résistance, le Front national de lutte pour l'indépendance de la France (F.N.). Il tente, non sans difficultés, d'engager ses groupes d'action dans les attentats contre l'occupant.
Le 26 août 1944, acclamé par les Parisiens, le général de Gaulle descend les Champs-Élysées avec, derrière lui, ses fidèles de la première heure. Des combattants appartenant à la Résistance française luttent dans les rues de Paris, en 1944, pour libérer la ville après quatre années d'occupation allemande.
Pour les auteurs, il faut résister : « nous sommes responsables de ce que nous ne faisons pas ». Pour eux les formes de résistance sont multiples et leur convergence est efficace. Plus la résistance est précoce et forte plus elle a de chance d'aboutir.
Le 16 février 1943, le régime de Vichy met en place le service du travail obligatoire (STO), qui oblige les Français de certaines classes d'âge à aller travailler en Allemagne.
La Milice française est créée par le régime de Vichy le 20 janvier 1943. Constituée d'environ 30 000 membres (dont 15 000 actifs), cette organisation paramilitaire a pour mission principale de lutter contre les mouvements « terroristes » de la Résistance.
Forces françaises libres (FFL) : formées par de Gaulle au cours de l'été 1940, les FFL regroupent d'abord des unités rapatriées de Dunkerque, de Narvik et de l'armée du Levant, rejointes par quelques soldats et civils (tels les pêcheurs de l'île de Sein) de métropole qui ont réussi à parvenir jusqu'en Angleterre.