Pratiquer une activité physique régulière est fortement recommandé pour être en bonne santé, mais cela ne permettra pas de réduire le gaspillage alimentaire. De ce fait, l'une des premières solutions pour prévenir la surconsommation alimentaire est de manger moins mais mieux, tout simplement.
Mais cette consommation de masse a aussi entraîné des effets néfastes sur l'homme et sur sa santé (problèmes sanitaires, marginalisation des petits producteurs, dégradations des conditions de travail, chômage dû aux délocalisations, etc.), ainsi que sur l'environnement (pollution, épuisement des ressources naturelles, ...
Mais, malheureusement, la société de consommation a aussi beaucoup d'inconvénients : Tout d'abord, il y a le gaspillage alimentaire et la pollution. Par exemple, selon le site Planetoscope, les français gaspillent 1,2 à 6 millions de tonnes de nourriture soit de 2 à 100kg d'aliments comestibles par personne.
L'anticonsommation, également appelé anticonsumérisme, désigne le mouvement sociopolitique opposé à la consommation et au consumérisme, qui critique les effets d'une économie de marché sur l'individu et de la société de consommation en général.
Quelles limites à la consommation de masse voire l'hyper consommation ? La société de consommation est aveugle, il n'y a pas de croissance et de développement économique infinis possibles sur une planète dont les ressources sont limitées.
La société de consommation résulte du besoin de croissance économique engendré par le capitalisme et son corollaire, l'accumulation du capital.
"Des recherches ont montré que les individus qui accordent le plus de valeur à la consommation et à la possession sont, presque toujours, moins heureux. Leur niveau d'estime de soi est plus bas, la qualité de leurs relations aussi, et ils présentent un risque plus élevé de dépression et d'anxiété", souligne-t-elle.
Ainsi, il arrive parfois que les gens consomment à l'excès pour fuir leur tristesse, parce qu'ils se sentent seuls, parce qu'ils vivent diverses frustrations. D'autres vont se mettre à faire des achats parce que leurs relations avec autrui ne sont pas satisfaisantes ou parce qu'ils n'ont aucune estime pour eux-mêmes.
Le concept de société de consommation renvoie à l'idée d'un système économique et social fondé sur la stimulation systématique d'un désir de profiter des biens de consommation et de services de façon toujours plus importante.
Une des conséquences les plus spectaculaires de l'« excès de marketing » est la croissance anarchique des déchets d'emballages ménagers, qui représentent le tiers en poids et la moitié en volume des 18 millions de tonnes annuelles de déchets ménagers en France.
La société de consommation éloigne donc tout spectre de pénurie et introduit un élément de confort et de bien-être matériel qui ne laisse pas indifférent l'homme moderne, qui n'envisage plus de se passer de l'équipement de base nécessaire à tout ménage.
Les aspects positifs de la société de consommation sont : le développement de la grande distribution : une abondance des biens de consommation alimentaires et durables, une mise à disposition de ces biens au plus grand nombre; une vie facilitée par l'apparition de nouvelles machines d'électro-ménager; le développement ...
1. Sèche-linge. Avec une consommation annuelle moyenne de 370 kWh par ménage, le sèche-linge se place en tête de ce classement…
énergivore adj. Qui consomme beaucoup d'énergie.
Ce qui nous rend vraiment heureux, c'est d'abord la relation à autrui, c'est valoriser et être valorisé, écouter et être écouté, bref, aimer et être aimé. Et surtout ne pas nous comparer aux autres.
Certains psychologues et scientifiques ont catalogué ce trouble comme chérophobie, une nouvelle et étrange phobie qui nous empêche d'accéder au bonheur. La chérophobie peut se définir comme la peur inexplicable qu'ont certaines personnes à atteindre un état positif.
L'impulsion déterminante de la société de consommation est la Révolution industrielle. Celle-ci a permis de produire à bas coût des marchandises et de démocratiser l'accès à un ensemble de biens autrefois réservés à une élite.
CONSOMMER entraîne en soi une pollution importante, puisque les emballages des produits achetés finissent à la poubelle. Ils s'ajoutent, en plus, aux déchets lors de la production par les entreprises. Ce n'est pas tout, il faut bien souvent se déplacer à bord d'un véhicule pour aller acheter l'objet convoité.
La formule de « société de consommation » serait de Jean-Marie Domenach (1922-1997), directeur de la revue Esprit, au tout début des années 1960.