Pour en revenir à la réponse au refus, vous vous demandez sans doute comment commencer votre message si vous ne pouvez pas aborder la question des motifs de refus. La réponse est simple : dites tout simplement merci. Non pas merci d'avoir reçu une réponse négative, mais merci pour ce qu'il a pu vous apporter.
Exemple de réponse à un refus de candidature
Cher [Nom du recruteur], Je vous remercie de m'avoir informé de votre décision de recrutement. Bien que je sois déçu de ne pas avoir été sélectionné pour le poste, j'ai été ravi de l'opportunité de pouvoir discuter avec vous et de découvrir votre entreprise.
Notre conseil Cadremploi : pour augmenter vos chances d'obtenir une réponse, appelez le recruteur ou envoyez-lui un e-mail maximum deux ou trois jours après le refus, de façon à ce qu'« il se souvienne encore bien de vous et que sa réponse soit de qualité », préconise Sébastien Bompard, directeur au sein du cabinet de ...
Manque d'affinité avec le recruteur. Vous n'avez pas été convainquant ou quelqu'un d'autre l'a été plus que vous. L'entreprise avait déjà fait son choix. Votre personnalité ne correspondait pas à la culture d'entreprise.
L'employeur peut vous demander une attestation écrite certifiant que vous respectez les dispositions relatives à la durée du travail. Si vous refusez de communiquer ces informations, vous pouvez être licencié pour faute grave. Si vous cumulez plusieurs emplois, vous devez respecter une obligation dite de loyauté.
Après un entretien
Madame/Monsieur, Merci pour votre réponse rapide. Malgré ma déception de ne pas avoir été retenu/retenue pour le poste proposé, je tenais à vous remercier de m'avoir donné l'opportunité d'échanger avec vous et de rencontrer plusieurs membres de l'équipe [si c'est le cas].
Le refus du salarié n'entraîne pas, à lui seul, la rupture du contrat mais constitue une faute professionnelle que l'employeur peut sanctionner, au besoin par le licenciement. L'employeur peut éventuellement prononcer un licenciement pour faute grave, sans préavis ni indemnités.
Selon les circonstances, la sanction peut se traduire par un simple blâme ou avertissement. Mais le refus par un salarié d'exécuter des travaux relevant de ses attributions peut aussi être considéré comme une cause réelle de sérieuse de licenciement, et même constituer une faute grave.
« Bonjour, Je me permets de vous contacter suite à ma candidature que je vous ai transmise par mail le XXX. Je suis actuellement en école d'ingénieur à XXX et suis extrêmement intéressé par un poste de XXX dans votre entreprise. J'espère que mon CV et ma lettre de motivation vous sont bien parvenus.
Bonjour [Nom du contact ou fonction occupée dans l'entreprise], Je me permets de vous écrire pour faire suite à mon précédent message, envoyé le [date], concernant […] Il ne me semble pas avoir eu de retour de votre part. Si vous le souhaitez toujours, je vous propose de continuer nos échanges.
Ainsi, si votre salarié refuse, de façon réitéré, de rejoindre son nouveau poste alors qu'il ne s'agit que d'un simple changement de ses conditions de travail, et qu'il a en plus, déjà été sanctionné auparavant pour des actes d'insubordination, vous pouvez prendre la décision de le licencier pour faute grave.
Ne vous laissez pas embourber dans les détails et ne critiquez pas l'entreprise. Dites simplement que vous avez réfléchi et que vous ne pensez pas que cet emploi n'est pas la bonne chose pour vous à ce moment-ci. Essentiellement, vous voulez imiter le style d'une lettre standard de refus de l'employeur.
Vous pouvez refuser un candidat s'il n'est pas à la hauteur de vos attentes en termes de compétences, d'expériences, de motivation ou de soft-skills. Les demandes des candidats en termes de salaires peuvent aussi être trop élevées et donc incompatibles avec le budget alloué au recrutement.
Le salarié refuse le CDI (pour la deuxième fois au cours des 12 mois précédents) : l'entreprise informe Pôle emploi de ce refus : le salarié ne bénéficie plus des allocations chômage.
Un refus écrit sera certainement demandé au salarié
Tout simplement pour avoir la preuve de ce refus et s'en servir en cas de litige pour justifier sa décision de ne pas verser l'indemnité de précarité. Un écrit daté permettra aussi de démontrer que la proposition de CDI a bien été faite avant la fin du CDD.
Le salarié qui refuse d'exécuter la clause de mobilité s'expose à un licenciement. Toutefois, il ne s'agira pas d'un licenciement pour faute grave. Le salarié recevra donc son préavis et son indemnité légale ou conventionnelle de licenciement.
Vous renouvelant mon grand intérêt et ma profonde motivation pour rejoindre votre équipe, je reste à votre disposition pour un échange téléphonique ou un entretien afin de vous présenter mon parcours professionnel. Je vous prie d'agréer, Madame/Monsieur [nom du recruteur], mes salutations distinguées.
J'ai passé un excellent moment lors de notre entretien et je tenais à vous remercier. Sincèrement. Merci beaucoup du temps que vous m'avez accordé et encore merci pour la qualité de nos échanges. Je reste bien sûr disponible pour toute autre question de votre part !
Madame / Monsieur, Je vous remercie une nouvelle fois de la considération que vous avez apportée à ma candidature pour le poste de [intitulé du poste]. Je vous envoie ce mail pour vous informer que je ne pourrai malheureusement pas honorer notre rendez-vous qui était prévu le [date et heure].
Comme son contrat de travail n'est pas encore officiellement rompu, il ne peut percevoir ses indemnités de fin de contrat. L'impossibilité d'avoir un autre emploi : si vous vous demandiez s'il est possible de travailler pendant un abandon de poste, la réponse est non.
Le cumul des emplois n'est pas interdit tant qu'il n'y a pas de dépassement de la durée légale du travail. Un individu peut donc signer deux ou plusieurs contrats de travail sans frein législatif, ou encore se mettre à son compte.
L'employeur peut valablement exiger la communication des bulletins de paie du salarié afin de s'assurer du respect des durées maximales du travail : Conformément à l'article L.