Pour cela vous devez mettre les mains jointe au niveau du nez ! Pour un « wai » à l'attention de moines ou de la famille royale, vous devez joindre vos mains au niveau du front. Vous remarquerez que les Thaï l'utilisent également pour saluer Bouddha ou toutes représentations religieuse.
Namasté ou namaskar ou namaskaram (नमस्ते ou नमस्कार) est un mot translittéré du sanskrit et communément employé pour saluer, pour dire bonjour et au revoir en Inde (sauf au Tamil Nadu) et au Népal.
Récitez une prière simple pour honorer les trois joyaux.
C'est une prière courte qui peut être récitée à plusieurs reprises comme un mantra. N'oubliez pas de réfléchir sur vous-même et sur le développement de votre propre spiritualité et non prier simplement le Bouddha pour qu'il vous l'octroie.
COMMENT PRIE-T-ON ? De quatre façons interdépendantes : 1-De façon extérieure : Comme dans beaucoup de religions et traditions, en joignant les mains au niveau du cœur(siège de l'esprit) et en chantant ou récitant un texte. 2-De façon intérieure : nous prions avec concentration, dévotion et avec un regard pur.
पद्म Padma, le lotus ; पद्मे Padmé, est le locatif du même mot. Enfin हूं ou हूम् Hoûm, est une particule qui équivaut à notre Amen. Le sens de la phrase est très-clair. Lue Om maṇi padma hoûm, elle signifie Oh !
En récitant des prières bouddhistes avant de dormir (ou dans un autre moment de votre journée), vous allez pouvoir cultiver la paix et l'amour. La récitation de mantras vous aidera également à apaiser votre esprit et atteindre la paix intérieure.
TRADUIT LITTÉRALEMENT : LE TERME "NAMASTÉ"
Comme tous les mots qu'un yogi expérimenté a dans son vocabulaire de yoga, "namasté" vient du sanskrit indien. Le terme est composé des syllabes nama (s'incliner), as (je) et té (tu). Namasté peut donc être traduit par "s'incliner devant vous" ou "je m'incline devant vous".
Pour se saluer en Thaîlande, on utilise le geste traditionnel le « wai » ( prononcé wouaye). Pour le faire, il suffit de joindre ses paumes de main, doigts tendus, à la hauteur de la poitrine, et d'incliner légèrement la tête selon la situation ou la personne en face de vous !
Le salut traditionnel indien (le namaste) consiste à joindre les deux mains sous le menton en inclinant légèrement la tête. Il est à utiliser avec précaution toutefois car la jeune génération indienne tend à utiliser de plus en plus la poignée de main en affaires.
Par exemple, tourner le dos à une statue de Bouddha, c'est considéré comme étant particulièrement irrespectueux. En conséquence : pas de selfie devant l'Éveillé, ni même de photo de vous tout sourire devant la statue prise par votre ami, sinon il peut y avoir sanction.
On ne pose jamais pour une photo devant une statue ou une peinture du Bouddha. Lui tourner le dos est est en effet considéré comme un manque de respect.
Quelles que soient les religions, les statues à l'effigie des divinités sont souvent réputées pour porter bonheur. Le bouddhisme ne déroge pas à cette règle. Pour les pratiquants de cette religion et de cette philosophie de vie, il est évident qu'une statue Bouddha délivre des ondes positives et apporte de la chance.
Pour attirer la bonne fortune dans une maison, le feng shui recommande de placer cette statue de Bouddha plutôt dans le salon, face à la porte d'entrée. Dans une entreprise ou une boutique, c'est sur le comptoir, face à l'entrée, que le porte-bonheur doit être placé.
Yashodhara (glorieuse) est la cousine et l'épouse principale de Gautama, mère de son fils Rahula. Connue par les Jatakas (légendes de la vie du Bouddha), elle serait devenue du vivant de Gautama une ascète, une nonne prééminente et l'un des quatre arahants de son entourage possédant l'intuition absolue.
On conseille de répéter le chant «sa ta na ma» pendant deux minutes à voix haute, en le murmurant pendant deux autres minutes, en silence (dans votre tête) pendant deux minutes puis reprendre en murmurant pendant deux minutes et terminer par deux minutes à voix haute.
Des offrandes plus importantes, les banten tegeh, sont confectionnées à l'occasion d'une odalan, cérémonie anniversaire d'un temple et acheminées en procession dans les rues par les femmes, qui transportent des tours de fruits, œufs et gâteaux sur la tête.
Bien que le blanc soit la couleur de deuil pour la famille, les amis portent souvent du noir. Les amis peuvent rendre visite à la famille à la maison après les funérailles, mais non avant.
Offrir un bouddha pour son pouvoir porte-bonheur
Elle est considérée comme un porte-bonheur. Chez les bouddhistes, c'est aussi le cas. Cette représentation pour eux constitue la statue de bouddha. C'est en effet un symbole aussi bien de plénitude, de paix intérieure que de sagesse.
Dans la liturgie juive
En revanche, le Juif ne doit pas dire « Amen » à la fin d'une prière que quelqu'un fait pour lui-même. Il existe d'autres règles encore. Le mot Amen est quelquefois précédé de vè'Imrou (judéo-araméen : ואמרו « et disons »), souvent dans la prière du Kaddish.
La prière bouddhiste peut se décliner en différentes sortes, à savoir: Prière de refuge et de génération de l'esprit d'éveil. Prière à la lignée de tous les maîtres accomplis. Prières typiques aux Ydams de méditation.
C'est la prière la plus simple. Elle consiste à répéter longuement le Nom de Jésus, une phrase de psaume ou une invocation : « Seigneur, Fils du Dieu vivant, prends pitié de moi pécheur », « Seigneur, ne t'éloigne pas de moi », « Seigneur, montre-moi ton visage », « Seigneur, tu sais bien que je t'aime ».