À la genèse de cette célébration : la fête irlandaise de Samain, ou Samhain, "aux origines celtes, qui célèbre le passage de la saison estivale claire à la sombre saison de l'hiver", explique le site Bretagne.com, précisant qu'elle était "célébrée 3 jours avant le 31 octobre et 3 jours après, du 29 octobre au 4 ...
Quelles sont les origines celtes d'Halloween ? « Samain » est réputé pour être l'ancien nom celte de la fête d'Halloween.
La fête de Samain, l'ancêtre d'Halloween
Le Samain est alors une fête païenne qui célèbre la fin de l'année celtique, correspondant au 31 octobre, jour qui acte la fin de la saison des moissons et le début de l'hiver. Cette fête était aussi l'occasion pour les vivants de renouer avec les morts.
Chaque année, le 31 octobre au soir, la tradition d'Halloween veut que les enfants et adultes déambulent dans les rues vêtus de déguisements parfois terrifiants. Cette fête païenne est célébrée la veille de la Toussaint et ses rituels varient d'un pays à l'autre.
Son nom actuel est une altération de All Hallows' Eve, qui signifie littéralement « la veille de tous les saints », c'est-à-dire la veille de la fête chrétienne de la Toussaint. Hallow est une forme archaïque du mot anglais holy et signifie « saint », even est une forme usuelle qui a formé evening, le soir.
Pour certains croyants musulmans ou chrétiens, l'Halloween est une fête païenne. Certains l'associent même au satanisme. En raison de leur conviction, ils s'opposent à ces célébrations et évitent de laisser leurs enfants faire du porte-à-porte.
Halloween, fête païenne, est proche de deux célébrations catholiques: la Toussaint (le 1er novembre) et le jour des Morts (le 2 novembre).
Dès les années 50, il y a des traces d'Halloween mais c'était dû à des Américains qui vivaient en France. Ce mouvement que nous connaissons a été marketé pour donner quelque chose à vendre ou une occasion de se réjouir entre la rentrée des classes et Noël.
Comme beaucoup de rites et fêtes chrétiens et musulmans, Halloween est à l'origine une fête païenne, en l'occurence, une fête celte.
Elles n'ont été importées en France qu'à la fin des années 1990, et pour l'essentiel portées par des marques. L'une d'entre elles, France Telecom, avait largement contribué à la popularisation de cette fête en lançant son téléphone "Olaween". C'était... en 1999.
Les Chinois suivent un autre calendrier que le nôtre. La fête d'Halloween n'y est donc pas célébrée.
Dans la tradition de Samain, les celtes avaient une peur bleue des fantômes. C'est pourquoi une fois par an, ils se réunissaient vêtus de terrifiants déguisements puis déposaient des gâteaux et des pommes à l'entrée du village. Ces offrandes leurs assuraient une certaine sécurité.
Sémantiquement, le mot est une contraction de l'anglais "All Hallows'Eve". Une locution que l'on pourrait traduire en français par la "veille de tous les saints" ou "la veillée de la Toussaint".
Halloween en France
Si ce sont les Irlandais qui ont amené avec eux la tradition d'Halloween aux Etats-Unis lors des grands mouvements de migration du 19e siècle, c'est France Télécom qui l'a amené en France.
La véritable origine d'Halloween remonte à la fête païenne celtique de Samhain. Les Celtes, vivant dans l'actuelle Irlande et au nord de la France, célébraient cette fête pour marquer la fin de l'été et le début de l'hiver, une période souvent associée à la mort dans de nombreuses cultures.
C'est une fête de transition — le passage d'une année à l'autre — et d'ouverture vers l'Autre Monde, celui des dieux et des mânes. Elle est mentionnée dans de nombreux récits épiques irlandais car, par définition, elle est propice aux événements magiques et mythiques.
Si on peut traduire sa signification par « la veille de tous les saints », le sens d'Halloween n'est en aucun cas religieux. Elle est plutôt l'héritage de la fête païenne de la Samain, très populaire en Grande-Bretagne, célébrée historiquement au début de l'automne par les Celtes.
Royaume-Uni. Londres... La ville brumeuse, avec son histoire parfois mouvementée, ses donjons terrifiants, ses petites rues troublantes et la légende du plus célèbre tueur en série au monde, Jack l'Éventreur, est la candidate idéale pour Halloween.
Les musulmans du monde entier doivent célébrer, mercredi 28 juin, l'Aïd-el-Kébir, littéralement la « grande fête », également appelée « Aïd el-Adha » (fête du sacrifice) ou « Tabaski », qui correspond aussi au pèlerinage à La Mecque, le hadj.
La coanimatrice raconte que selon l'histoire, les gens allaient chez les autres pour commettre un «Trick», en d'autres mots un coup pendable. Le «treat», la friandise offerte à la suite du mauvais coup, devait conjurer le sort.
ce mot ne se trouve pas dans la Bible. Cette fête n'est pas biblique. le mot qui se trouve dans la Bible, et qui est proche de halloween est hallow et hallowed. C'est la première requête dans la prière que le Seigneur Jésus-Christ a enseigné à ses disciples.
Halloween est fêtée la veille de la Toussaint chrétienne par les Irlandais et les Américains entre autres… Les couleurs du décor de cette fête sont l'orange et le noir. L'orange pour le symbole du feu, le noir pour celui de la nuit.
Les gens portaient des costumes sombres pour que ces mauvais esprits les considèrent comme leurs pairs et les épargnent. On retrouve ces caractéristiques de Samain dans les coutumes modernes d'Halloween ainsi que dans l'actuelle fête chrétienne de la Toussaint, dont nous parlerons ensuite.
Halloween est une fête du négatif : la peur, la frayeur, la mort anonyme. La Toussaint, elle, est une fête positive : les saints ou la mémoire des autres. Les saints sont des personnes qui, soucieuses de suivre l'évangile, ont aimé les autres, se sont dévoués pour servir les plus faibles.
«Mettre l'horreur à l'honneur», surtout pour les évangéliques, c'est prendre le risque d'habituer les enfants à l'horreur et à la laideur, dans un monde où la peur et la violence sont de plus en plus présentes. «En tant que chrétien, on n'a pas besoin d'Halloween.