Alzheimer, épilepsie, Parkinson, sclérose en plaques, sclérose latérale amyotrophique, Huntington… Un Français sur deux est touché directement ou indirectement par une maladie du cerveau.
La maladie d'Alzheimer.
Les affections touchant le cerveau, la moelle épinière et les nerfs sont appelées maladies neurologiques. .
Les maux de tête les plus fréquents sont les céphalées de tension et les migraines. En fonction de leur cause, les maux de tête peuvent être accompagnés par d'autres signes : fièvre, rhume, nausées, etc. Dans certains cas, les maux de tête peuvent être le signe d'une maladie grave.
1. Le stress. Le stress peut être utile ou nuisible pour le cerveau, cela dépend de son intensité et de sa durée. Il est bénéfique lorsque de courte durée et adapté, il stimule alors notre dynamisme et la prise de décision.
Une récente étude de l'université américaine de Rochester menée par le chercheur Maiken Nedergaard démontre que la position latérale serait la meilleure pour retrouver un cerveau tout neuf au saut du lit puisqu'elle permet une élimination plus efficace des déchets cérébraux.
La mort cérébrale correspond à l'arrêt des fonctions cérébrales, et donc de la respiration et du cœur, alors que ces fonctions peuvent être conservées dans le coma. La mort cérébrale est un stade, autrefois qualifié de « coma dépassé », dans lequel le cerveau ne fonctionne plus.
Le syndrome de Guillain-Barré est une affection rare dans laquelle le système immunitaire du patient attaque les nerfs périphériques. Bien qu'elle puisse toucher les personnes de tout âge, cette maladie est plus fréquente à l'âge adulte et chez les sujets de sexe masculin.
Faiblesse musculaire, maux de tête, troubles du sommeil, dérèglement des sens, tremblements, mauvaise coordination… Dès l'apparition des premiers symptômes, prenez rendez-vous chez votre médecin traitant qui saura interpréter les signaux d'alerte et vous orienter vers un neurologue si votre état le nécessite.
Les principaux médicaments que l'on administre dans le cas de crises épileptiques font partie d'une catégorie de médicaments appelés anticonvulsivants, dont le phénobarbital, la phénytoïne, le diazépam et le lorazépam. Pendant le traitement anticonvulsivant, on contrôle de près le degré de conscience du bébé.
Elle se manifeste généralement par une fièvre, des céphalées, une raideur de la nuque, une gêne à la lumière et une nécessité de rester allongé ; parfois les symptômes s'accompagnent de nausées et de vomissements.
Les engourdissements et les fourmillements ou picotements associés sont en général dus à la compression, l'irritation ou la lésion d'un ou plusieurs nerfs. La source du problème peut se situer sur les nerfs périphériques, et plus rarement au niveau de la moelle épinière ou du cerveau.
Les patients perdent progressivement la mémoire, le raisonnement et le sens critique, peuvent devenir amnésiques ou être désorientés. Les symptômes incluent la dégénérescence des mouvements comme les tremblements au repos ou la rigidité musculaire. Le malade peut avoir des difficultés dans l'exécution d'un mouvement.
Les fruits rouges
Or, dans les bleuets, canneberges, mûres ou framboises, se concentrent de fortes doses d'antioxydants, qui combattent les radicaux libres et boostent notre cerveau.
La lutéine qu'on trouve dans les légumes à feuilles vertes comme l'épinard, le brocoli, les différentes variétés de salade (laitue), la rucola, la roquette (Eruca sativa), le chou frisé (kale) ou les feuilles de moutarde contribuent à prévenir le déclin cognitif et à améliorer la mémoire.
L'hypermnésie (du grec huper, « avec excès », et "Μνήμης", « mémoire »), appelée également exaltation de la mémoire, se caractérise par une mémoire autobiographique extrêmement détaillée et un temps excessif consacré à se remémorer son passé pour certains et beaucoup de temps pour construire son futur pour d'autres.
Limitez donc les pâtisseries, les fritures et les aliments transformés. Les gras trans altèrent la mémoire et augmentent le risque d'Alzheimer.
La maladie d'Alzheimer et autres démences sont les plus fréquentes des maladies neurodégénératives. Elles représentent une cause majeure de perte d'autonomie.