La « Coffin Dance » a inspiré les forces de l'ordre de Cuddalore (une autre ville indienne) mais aussi les polices colombienne, péruvienne ou encore espagnole.
Le Dancing Pallbearers, également connu sous le nom de Dancing Coffin ou de Coffin Dance, est un groupe ghanéen de porteur de cercueil, basé dans la ville côtière de Prampram dans la région du Grand Accra au sud du Ghana. Il se produit dans toute l'Afrique et dans le monde entier.
Un cercueil se porte toujours à l'épaule. La main gauche ou droite est placée sous le cercueil, et l'autre bras dans le dos, le poing fermé. Cette technique garantit à la bière une stabilité et offre aux familles une vision plus solennelle du transport du défunt durant les obsèques.
Il est cependant possible de porter des vêtements de couleur, comme le gris, le marron ou le bleu sombre, mais à la condition d'éviter les teintes vives que sont le rouge, le orange, le rose, le vert ou le jaune. Le blanc est plutôt réservé à la chemise si celle-ci est couverte d'une veste plus sombre et aux bijoux.
Aux yeux de la loi, elles sont assimilées à une exhumation et la demande doit donc être faite 5 ans minimum après le décès. Dans la pratique il faut attendre au minimum une dizaine d'année pour être sûr que la dégradation du corps soit suffisante et que la réduction ou réunion peut bien avoir lieu.
Le chauffeur funéraire conduit le corbillard qui mène le cercueil jusqu'au cimetière ou au crématorium en passant le cas échéant par un lieu de culte religieux.
Le mot cénotaphe vient du grec “kenos” qui signifie le vide et “taphos” qui signifie le tombeau. Ainsi, le cénotaphe est un monument funéraire vide, sans corps, destiné souvent à des fins de commémoration.
L'origine du terme
Selon quelques sources à une période où il était difficile de prouver la mort biologique d'un individu, les croque-morts vérifiaient, avant la mise en bière, si un défunt l'était vraiment en lui croquant le gros orteil. L'origine du terme croque-mort remonterait aux grandes épidémies de peste.
La mise en bière consiste à déposer le corps d'un défunt dans son cercueil. La « bière » étant l'autre mot qui désigne le cercueil, et plus précisément selon sa définition « une caisse plus longue que large où l'on enferme un mort ».
L'éloge funèbre, appelé aussi oraison funèbre, est un discours généralement prononcé pendant la cérémonie ou juste après les obsèques par les proches du défunt. C'est un moment particulièrement difficile pour les personnes qui prennent la parole.
Concentrez-vous sur les choses positives
Un enterrement est toujours douloureux. Les souvenirs remontent à la surface au moment de dire adieu au proche disparu. Pour éviter de pleurer, pensez uniquement aux souvenirs joyeux que vous avez eus avec lui. Remémorez-vous les bons moments que vous avez passés ensemble.
Comment lire un discours à un enterrement sans pleurer ? Les pleurs surviennent parce que vous vous sentez submergé par une émotion, qui est la tristesse. Le meilleur moyen de ne pas se laisser submerger par une émotion, est d'essayer de se concentrer sur le moment présent.
Commencez par parler de ce que vous avez ressenti lors de l'annonce du décès, en guise d'introduction. Ensuite, évoquez les personnes présentes lors de la cérémonie ou de l'enterrement, puis allez droit au but : parler de la personne disparue, de sorte à lui rendre un dernier hommage.
Ce que tu as souffert, en d'autres revivra. Celui qui perd sa vie, un jour la trouvera. Il restera de toi une larme tombée, Un sourire germé sur les yeux de ton cœur.
« Cher [Prénom], Ta famille, tes proches, tes collègues et tous ceux qui t'ont aimé sont ici aujourd'hui, pour te rendre hommage. Nous sommes là, réunis en ce lieu, pour te dire au revoir. Tu es parti avant nous, bien trop tôt, et tu nous rappelles qu'ici-bas, notre vie est peu de chose.
Trois délais sont en réalité à prendre en compte : le délai pour transporter le corps (48h), le délai pour organiser les obsèques (6 jours ouvrés) et le délai psychologique, essentiel pour se préparer au dernier hommage.
Il y a bien des deuils plus « difficiles » à vivre que d'autres. La perte d'un enfant reste la souffrance et la perte la plus terrible qu'on rencontre dans notre existence car elle va à l'encontre du sens même de la vie. Cette épreuve est le deuil à vivre le plus difficile où il faut redoubler de vigilance.
Ne pas assister aux obsèques d'un proche peut bloquer notre processus de deuil, il est donc souvent recommandé aux gens d'assister aux funérailles d'un être cher lorsqu'il leur est possible de le faire. Cela permet à de nombreuses personnes d'éviter d'éprouver du regret quant au fait de ne pas lui avoir dit au revoir.
« Je dois aujourd'hui te dire au revoir. Cela ne se fait pas facilement. J'ai dû rassembler tout mon courage pour exprimer ce que je ressens depuis que tu es parti. Les mots ne suffisent pas pour expliquer à quel point les moments que nous avons passés ensemble ont créé qui je suis aujourd'hui.
Adieu maman, je t'aimais, je t'aime et je t'aimerai... Le signet, écris par moi aussi, ce même soir, c'est lui qui a été donné : Sois certaine maman que tu resteras gravée dans nos cœurs. Ta grandeur, ta bonté et ta générosité sont désormais pour nous une façon de vivre.
Je partage ta douleur et suis là pour te soutenir dans cette période difficile. Ton papa était une personne merveilleuse, aimante et dévouée, et il manquera énormément à tous ceux qui l'ont connu. Je garde de précieux souvenirs de moments passés avec lui et je sais qu'il restera dans nos cœurs pour toujours.
Car, au 8e siècle, les Francs utilisaient 'une béra'. 'Une béra' était une civière sur laquelle on plaçait les blessés ou les morts. Au 12e siècle, le mot est resté : lorsqu'on a commencé à placer les défunts dans un cercueil, 'béra' est devenu 'bière'. On était donc 'mis en bière.
La mise en bière est le fait de mettre en cercueil le corps du défunt. Sous l'ère du peuple germanique et de l'époque des grandes invasions en VIIIe siècle, les personnes blessées et les morts ont été transportées sur une planche appelée la « Bera » ou « la bière ».