L'anorexie atypique est un trouble alimentaire qui est plus fréquent chez les femmes et qui se caractérise par des comportements restrictifs et une peur de prendre du poids, mais où le critère d'amaigrissement, ou faible poids n'entre pas en compte, contrairement à l'anorexie mentale.
L'anorexie mentale est un trouble du comportement alimentaire essentiellement féminin qui apparait le plus souvent à l'adolescence.
Comme pour les autres troubles anxieux, les causes de la phobie de perdre du poids sont « multifactorielles » : des participations génétiques, congénitales, éducatives et sociales sont évoquées. Il peut y avoir des antécédents traumatiques : par exemple un proche décédé dans un état cachectique (très amaigri).
Outre l'influence qu'il a sur l'appétit, le stress peut également avoir un impact sur le métabolisme. Il peut l'accélérer, ce qui fait que chez une personne stressée, la brûlure de calories se fait plus rapidement que chez une personne normale. Plus vite les calories sont brûlées, plus la perte de poids est favorisée.
Pourquoi mincir ? On peut vouloir maigrir par exemple pour donner une meilleure image de soi, dans sa vie professionnelle ou sentimentale. La minceur est devenue synonyme dans notre société de maîtrise du corps et donc, de soi-même...
Inutile de dire que devenir plus mince ou plus musclé ont tous deux leurs avantages. Si vous devenez plus mince, vous deviendrez plus agile, moins enclin aux maladies comme les maladies cardiaques et la dépression et profiterez d'avoir une meilleure confiance en vous.
A partir de quand est-on considéré comme maigre ? La maigreur s'évalue au regard de l'indice de masse corporelle (IMC), que l'on obtient en divisant le poids par la taille au carré. On considère généralement que l'IMC ne doit pas être en dessous de 18,5.
Le stress chronique et l'anxiété peuvent avoir un impact sur l'appétit et entraîner une perte de poids inexpliquée. Les personnes soumises à un stress intense peuvent perdre l'appétit et ne pas consommer suffisamment de calories pour maintenir un poids corporel normal.
Le stress, s'il perdure, est susceptible de provoquer un trouble psychique et d'affecter la prise alimentaire et/ou l'appétit. Ainsi, il peut, chez certaines personnes, provoquer une perte de poids non désirée.
En effet, la personne déprimée, perdant tout intérêt pour la nourriture, toute relation de plaisir de faire à manger ou à manger, peut commencer à perdre du poids.
Autrement dit : la graisse s'évacue sous forme de dioxyde de carbone (par la respiration) et sous forme d'eau (par la transpiration et les urines). Pour donner des chiffres : pour perdre 10 kg de graisse, il faut respirer 29 kilos d'oxygène. La graisse s'évacue alors sous forme de 8,4 kg de CO2 et 1,6 kg d'eau.
Écouter son corps et prendre conscience de ce que l'on ressent est primordial. Cela permet de réduire ses apports alimentaires et d'arrêter de manger trop en réponse à un stress. Faire appel à un ou une sophrologue peut s'avérer utile pour se reconnecter à son corps et essayer de comprendre ses émotions.
Les représentations culturelles participent aussi à cette grossophobie, laquelle finit par être intériorisée par les personnes grosses : « À force de se faire dire que notre corps est dégoûtant, inacceptable, incorrect, dangereux, rebutant, on finit par le croire », résume l'autrice Gabrielle Lisa Collard.
Les phobies simples sont souvent liées à des événements traumatisants dans l'enfance, qu'ils soient réels ou fantasmés. Une phobie des chiens peut s'installer chez un enfant qui a vraiment été mordu, mais aussi chez un enfant qui a imaginé être attaqué par un chien.
L'origine des phobies repose probablement sur un aspect psychologique et sur une vulnérabilité biologique familiale, véritable propension à la phobie, que l'éducation et les expériences de vie vont renforcer ou au contraire permettre d'éviter.
Des affections telles qu'une maladie cœliaque, une maladie de Crohn, une colite ulcéreuse, une rectocolite hémorragique ou encore la pancréatite chronique peuvent provoquer une perte de poids due à une malabsorption des nutriments, à un trouble de l'appétit ou à l'inflammation chronique.
Une perte de poids involontaire, brutale ou continue peut être le signe d'une pathologie sérieuse. Maigrir à la suite d'un Covid ou d'une grippe n'est pas un problème. En revanche, une perte de poids non voulue, brutale ou continue est moins normale. Il faut en parler : elle peut être le signe d'une pathologie sérieuse ...
Souvent, les bruleurs de graisses misent sur l'action d'ingrédients naturels (plantes, fruits, légumes, etc.), sur leurs vitamines et les acides aminés qu'ils fournissent, pour améliorer les processus qui aideront une personne à maigrir.
De même, en état de stress ou d'anxiété, une poussée d'adrénaline peut avoir lieu et dirige le sang vers le cerveau, le cœur et les muscles en délaissant le système digestif, ce qui peut provoquer un manque d'appétit.
Face à l'anxiété, le corps a tendance à se mettre dans un mode de « combat ou fuite », grâce auquel une série de processus sont mis en place au sein de notre organisme pour survivre au danger. Le cerveau va notamment envoyer plus de sang vers les muscles, et moins vers les organes internes, dont l'estomac.
VOTRE IMC EST TROP FAIBLE : VOUS ÊTES EN SITUATION DE MAIGREUR. Si votre IMC est inférieur à 18,5, vous êtes maigre, au sens médical du terme.
Voici comment le calculer : Poids idéal (en Kg) d'un individu possédant une morphologie « normale » = (Taille (en cm) - 100 + Age (en années) / 10) * 0,9. Poids idéal (en Kg) d'un individu possédant une morphologie « gracile » = (Taille (en cm) - 100 + Age (en années) / 10) * 0,9 * 0,9.