Le sujet borderline se consumme en essayant d'établir des relations exclusives où le risque d'abandon n'est pas envisageable, mais une fois l'intimité atteinte, la relation désirée, surgit l'angoisse de pouvoir être dévoré par l'autre.
Apprendre à aimer commence avec soi, c'est-à-dire apprendre à s'aimer. Il s'agit d'être assez bon pour vous. Il s'agit de s'accepter soi-même. Enfin, il est difficile pour une personne d'aimer si elle ne se sent pas aimée, car elle réduira probablement l'amour à quelque chose qu'elle seule peut générer.
La scopophobie est un trouble anxieux caractérisé par une peur morbide d'être vu ou observé par autrui.
Du grec “philo” qui signifie “amour” et phobos pour “peur”, la philophobie est littéralement, la peur de tomber amoureux. S'il peut s'agir d'une angoisse à l'idée d'aimer de manière globale, ce trouble anxieux est le plus souvent lié à une peur de l'engagement et des sentiments amoureux.
Nous ne nous sentons pas digne d'être aimé comme on le mérite, et d'une certaine manière nous repoussons et rejetons inconsciemment l'autre. Ce comportement est une forme d'auto-sabotage inconscient comme pour confirmer que nous ne sommes pas dignes d'amour, même si consciemment nous le recherchons éperdument.
La solitude n'est pas une maladie, mais plutôt le symptôme d'une difficulté à s'adapter à son environnement. Cela peut parfois résulter d'un problème de santé mentale préexistant. Dépression, anxiété, troubles du sommeil ou bipolarité, peuvent se manifester également par un sentiment profond de solitude.
Symptômes. La personne érotomane a la conviction délirante d'être aimé(e) par quelqu'un. Elle va s'imaginer que tous ses gestes, paroles, likes sur les réseaux sociaux, sont des preuves d'amour que l'autre lui envoie.
Dans une situation comme dans l'autre, ce sentiment de gâcher sa vie est concomitant d'une relation conflictuelle à soi-même. Il s'accompagne souvent d'une souffrance psychique qui peut rendre le quotidien très problématique, jusqu'à obstruer les perspectives d'avenir.
1. Elle a été blessée auparavant. L'une des principales raisons pour lesquelles cette femme ne croit pas en l'amour est le fait qu'elle a eu le cœur brisé plusieurs fois auparavant. Elle a enduré beaucoup de douleur et de chagrin et a maintenant du mal à s'ouvrir et à redevenir vulnérable.
Vous rencontrez ces symptômes de stress bien souvent à l'approche de la prise de parole en public ? Cette peur de s'exprimer en public a un nom : la glossophobie. En effet, ce n'est pas si facile de supporter le regard des autres braqué sur vous alors que vous devez exprimer avec aisance vos idées ou un projet.
La mégalophobie se caractérise par la peur irrationnelle de tout ce qui paraît de grande taille. Les personnes qui en souffrent peuvent être prises de panique à l'idée de se retrouver face à de grands - ou d'anormalement grands - objets.
Peur maladive, démesurée et irraisonnée des microbes, de la crasse, et des germes. Exemple : Marie se lave les mains 20 fois par jour, et porte des gants protecteurs en été comme hiver, car elle est atteinte de mysophobie.
Des blessures mal guéries ou d'anciennes expériences négatives peuvent faire que nous n'ayons pas confiance d'ouvrir notre cœur à une nouvelle personne. Et par la suite, nous pouvons aussi nous éloigner de l'intimité car elle suscite des sentiments de douleur, de perte, de colère ou de rejet.
La fuite en avant peut également conduire à agir par anticipation. Autrement dit, à "prendre les devants" pour éviter la situation angoissante. Exemple classique : systématiquement rompre la première, par peur d'être abandonnée par son conjoint.
L'abandonnique présente des troubles caractériels; il a un sentiment de dévalorisation qui le pousse à des attitudes masochistes, alors même que son besoin d'amour est immense. Toute menace de frustration a pour conséquence de le faire régresser au stade archaïque de la toute-puissance. L'abandon est innommable.
Le manque de communication
Il faut parler de ce qui va et de ce qui ne va pas, il faut s'exprimer sur ses désirs, ses envies, ses ressentis, écouter et prendre en compte les avis, désirs, envies et ressentis de l'autre. De toute façon, lorsqu'on garde pour soi ce qu'on a sur le cœur, cela finit toujours par ressortir !
Vous ne vous aimez pas assez (parfois jusqu'à être en dépendance affective) Vous ne vous respectez pas. Vous n'avez pas confiance en vos capacités à être célibataire (vous avez donc peur d'être seul) Vous n'arrivez pas à vous affirmer et à exprimer ce que vous ressentez.
Le manque de confiance peut venir parasiter beaucoup d'aspects de notre vie, et les relations n'en sont pas exemptées. Lorsque l'on manque de confiance en soi, on a du mal à voir les bons côtés de notre personne... Si bien qu'on se demande toujours comment quelqu'un peut s'intéresser à nous.
Harcèlement émotionnel : les signes qui doivent alerter
On se sent en état de stress, de fébrilité (amoureux, amical) quasi permanent, dans le cadre d'une relation amoureuse ou d'une relation amicale. On observe que les moments de détente avec l'autre sont de plus en plus rares, ou ne durent jamais.
Qui est misanthrope, qui éprouve de l'hostilité, voire de la haine envers le genre humain.
Lorsque la carence affective se prolonge ou se répète, des signes plus spécifiques apparaissent. Balancements, stéréotypies, automutilations, tous ces comportements ont pour objectif une autostimulation de l'enfant qui cherche ainsi à se sentir vivant.
Le manque d'estime de soi est souvent à l'origine de la dépendance affective. Il peut se traduire par un sentiment d'inutilité, d'échec, par un manque de confiance en soi et par des relations déséquilibrées. Les états anxieux, le repli sur soi, la dévalorisation sont alors symptomatiques du manque d'estime de soi.