Elle est déclenchée par l'ignorance de ce qui pourrait arriver dans un environnement sombre, puisque la vue devient inefficace, par une peur d'être aveugle, ou encore la peur du néant après la mort. La plupart des enfants en bas âge sont nyctophobes, mais cela disparaît, généralement, au fil des années.
Définition. La blemmophobie n'est pas une simple timidité, mais une peur viscérale du regard d'autrui sur le corps.
Phobie d'avoir peur et des manifestations physiques de la peur telles que tremblements, palpitations ou sueurs.
Vous rencontrez ces symptômes de stress bien souvent à l'approche de la prise de parole en public ? Cette peur de s'exprimer en public a un nom : la glossophobie. En effet, ce n'est pas si facile de supporter le regard des autres braqué sur vous alors que vous devez exprimer avec aisance vos idées ou un projet.
La mégalophobie se caractérise par la peur irrationnelle de tout ce qui paraît de grande taille. Les personnes qui en souffrent peuvent être prises de panique à l'idée de se retrouver face à de grands - ou d'anormalement grands - objets.
Peur pathologique des chiens. La cynophobie fait partie des zoophobies, les phobies animales, et touche plus les femmes que les hommes.
Pendant un entretien : Se focaliser sur son rythme et son débit de parole, penser à sa position : Ouvrir le thorax et mettre les épaules en arrière, se tenir droit, respirer lentement. Porter son attention sur le contact avec le sol dans ses chaussures.
"La claustrophobie est une phobie, qui fait partie des troubles anxieux. C'est la peur d'être dans un espace clos, définit le Dr Jean-Christophe Seznec, psychiatre à Paris.
hippopotomonstrosesquippedaliophobie est une variante orthographique de "hippopotomonstrosesuipédaliophobie", mais incorrecte. Le terme s'utilise par plaisanterie pour désigner la peur des mots trop longs, qui contiennent trop de syllabes.
Une peur des bruits du quotidien
Caractérisée comme une intolérance à certains sons et bruits, la phonophobie est d'origine psychologique, et résulte souvent d'un traumatisme sonore.
La brontophobie, c'est la peur du tonnerre, une phobie qui ne touche pas seulement les enfants.
L'athazagoraphobie est caractérisé par un manque de confiance en soi et évolue généralement vers une dépendance affective. Ainsi, si vous souffrez de cette phobie de l'oubli, le meilleur moyen de la transformer en quelque chose de positif est en premier lieu de réapprendre à développer une indépendance affective.
Pédophobie – Peur des enfants.
Poussez volontairement la voix, sans crier, forcez vous à parler à la limite du supportable pour vous. C'est à ce moment là que vous atteindrez le niveau sonore optimal pour que vos interlocuteurs puissent vous entendre correctement. Une conversation normale tourne autour de 60 décibels.
La timidité est la réaction qu'on ressent face au regard de l'autre, quand on a peur de ne pas faire bonne impression, de donner une bonne image de soi. La timidité est liée au regard de l'autre dans des situations nouvelles, ou avec un enjeu nouveau.
Répétez votre texte à voix haute, d'abord seul(e), puis éventuellement devant votre famille. Vous pouvez même le faire face à un miroir, ou bien vous filmer. C'est un bon moyen de s'évaluer, de repérer ce qui ne va pas, et de prendre confiance. Une bonne maitrise du sujet aidera aussi à se sentir plus à l'aise.
« Arrivez la tête haute, avec le sourire et regardez l'assemblée pour capter son attention », explique Philippe Janiaux. Et si vous ne vous sentez pas à l'aise, mieux vaut le dire. « Il faut éviter de masquer son émotion à tout prix, soyez honnête et dites à votre auditoire que cet exercice n'est pas évident pour vous.
La phobie des clowns a pour nom scientifique la coulrophobie. Le préfixe "coulro" vient du grec ancien "kôlobathristes" signifiant "acrobate qui est sur des échasses".
À l'origine de cette (curieuse) phobie, il y a le plus souvent un traumatisme : " peut-être un mauvais souvenir de la petite enfance concernant les bananes, par exemple une indigestion sévère qui se transforme en une aversion traumatique " avance le spécialiste.
C'est un signe de maturité psychologique : on quitte l'enfance, on accède à l'âge adulte lorsqu'on réalise que la mort fait partie de la vie. L'angoisse de mort existentielle est donc normale tant qu'elle ne perturbe pas la vie quotidienne.