La montera est la
L'habit de lumières est le costume des toreros.
Le capote (mot espagnol qui se prononce à l'espagnole, le « e » final étant prononcé comme un « é ») est la cape du torero. On distingue le capote de paseo et le capote de brega. Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.
Le matador est le chef d'une équipe (la cuadrilla) qui va l'aider à affaiblir le taureau avant la mise à mort. Le torero (el diestro ou el espada), le matador de toro, qui va « jouer » le taureau et le tuer doit avoir reçu l'« alternative » (le droit de toréer).
Traditionnellement, le rose est associé à la bonne chance et le jaune à la mauvaise chance.
250 000 € pour les stars pour combattre deux toros à Madrid
Il faut déduire les frais, les cachets de sa cuadrilla (1 660 € pour chaque banderillero et picador, 718 € pour le mozo d'espada…) et on estime qu'il reste autour de 6 000 € pour le principal acteur.
Alors que les places taurines dévoilent peu à peu leurs cartels pour la saison qui débute, le matador de toros landais Thomas Dufau, originaire du Frêche, près de Villeneuve-de-Marsan, a annoncé dans un communiqué, vendredi 24 février, que cette temporada sera la dernière de sa carrière professionnelle, entamée en ...
La corrida avec mise à mort reste légale en Espagne, dans une partie de la France, au Mexique, en Colombie, au Pérou, au Venezuela et dans une partie de l'Equateur.
Le combat de l'arène est tout à la fois un sport, une science, une liturgie, un drame, un art, peut-être même… une résonance cosmique. D'effleurements en effleurements, les souffles sont binaires, mais la valse est toujours à trois temps.
Lidia : le combat. Il se compose en trois actes, les "tercios". Chaque action ou séquence de la "lidia" est appelée "suerte". Mano a mano : compétition entre deux toreros, combattant en alternance les six taureaux d'une corrida.
La pique a pour but de démontrer la bravoure du taureau (ou son absence de bravoure), de réduire sa force, le calmer et l'amener à baisser sa tête pour permettre le bon déroulement du troisième tercio. La bravoure du taureau se révèle en fonction de la manière dont il charge le picador.
Le 28 août 1947 , « Manolete » est grièvement blessé dans les arènes de Linares par le taureau « Islero » de la ganadería de Don Eduardo Miura. Lors de l'estocade, l'une des cornes pénètre dans l'artère fémorale et provoque une hémorragie qui lui sera fatale. « Manolete » décède le lendemain à cinq heures du matin.
Lorsque le matador offre son taureau au public, il va déposer sa montera au centre de l'arène. En ôtant sa montera et en se tournant vers la présidence, le matador demande la permission de mettre fin au tercio de piques. Il souhaite ainsi ne pas affaiblir le taureau.
Antonio Ordonez, un des plus grands matadors de l'histoire de la corrida, est mort à Séville samedi. Il avait 66 ans et souffrait d'un cancer du poumon.
Les banderilles sont pourvues, un peu au-dessus du harpon, d'un ressort destiné à faire fléchir celles-ci. Cet ingénieux dispositif évite au matador de se blesser et d'avoir des difficultés lorsqu'il viendra planter l'épée.
Est-ce que le taureau est manger après la corrida ? Non, le taureau n'est généralement pas mangé après la corrida. Le corps de l'animal est souvent envoyé à un établissement pour être incinéré ou enterré.
L'Encierro (Le lâcher des taureaux) est, sans aucun doute, la manifestation la plus connue des fêtes de San Fermín, et celle qui suscite le plus d'intérêt dans le monde entier.
Bonne question, pourquoi la petite cape utilisée lors des corridas est rouge si le taureau ne voit pas le rouge ? En fait, elle n'intervient qu'à la fin de la corrida, et cette couleur aide à masquer l'un des pires aspects de ces évènements : les éclaboussures de sang de l'animal.
Le taureau de corrida n'est le prédateur d'aucune espèce. C'est un herbivore paisible qui ne devient agressif que dans l'arène où les coups et les blessures l'obligent à se défendre.
Le poids adulte des taureaux oscille entre 1.100 et 1.250 kg avec une taille au garrot de l'ordre de 1m45 à 1m50. Il n'est pas rare cependant de rencontrer des sujets de plus de 1.300 kg.
Étymologie. De l'espagnol matador , littéralement « tueur ».
Il doit avoir alors 16 ans au moins. Dans l'année, qui suit, il affronte son premier taureau de trois ans avec la participation des picadors. Il est à ce moment un « novillo » à part entière, et se préparera par un nombre variable de ces novilladas piquées, à prendre l'alternative et devenir un « matador de toros ».
Sans oublier le prix des taureaux de combat, dont les meilleurs sont vendus aux alentours de 10.000 euros. « Sachant qu'un taureau de quatre ans coûte 3.500 euros à élever », insiste André Viard.