VISIONS - Connaissez-vous la paréidolie ? C'est une sorte d'illusion d'optique qui vous donne l'impression de voir un visage au beau milieu des nuages ou sur un objet de la vie quotidienne. C'est donc que vous êtes plus névrosé que la moyenne, selon des scientifiques japonais.
Une paréidolie (aussi écrit pareidolie, du grec ancien para-, « à côté de », et eidôlon, diminutif d'eidos, « apparence, forme ») est une sorte d'illusion d'optique qui consiste à associer un stimulus visuel informe et ambigu à un élément clair et identifiable, souvent une forme humaine ou animale.
Le cerveau humain semble câblé pour voir des visages humains là où il n'y en a pas, que ce soit dans les nuages, la lune ou encore les troncs d'arbres. Dans le cerveau, la reconnaissance faciale va très vite et se produit en quelques centaines de millisecondes.
Ce phénomène d'illusion d'optique est connu sous le nom savant de paréidolie.
Bien qu'elle puisse apparaitre à la suite d'un dysfonctionnement cérébral, la paréidolie est généralement causée par la tendance naturelle à assimiler des perceptions nouvelles à celles déjà connues et répertoriées.
Le phénomène s'appelle en fait «paréidolie». Voir des visages, même là où il n'y en a pas, c'est une opération qu'accomplit notre cerveau: une faculté, une tendance – une compulsion, si on veut. On se tourne donc vers un spécialiste de cet organe. «Pour le cerveau humain, les visages sont des objets particuliers.
Les hallucinations nocturnes se produisent typiquement au cours de la première ou de la dernière phase du sommeil. Les hallucinations hypnagogiques ont lieu au moment où la personne s'apprête à s'endormir.
L'Homme dans la Lune fait référence à l'une des nombreuses paréidolie d'un visage, d'une tête ou d'un corps humain que certaines traditions reconnaissent sur la Lune. Les images sont composées des zones sombres de la maria lunaire, ou «mers», et des hautes terres plus claires de la surface.
Le stratus donne au ciel un aspect gris uniforme et lourd, style nuage-déprime ! Le stratocumulus se présente en bancs ou nappes grises ou blanchâtres avec des parties sombres. Le pire est le nimbostratus : épais, gris et sombre. Prévision : nuages bas = mauvaise pioche (brouillard, brume, pluie, neige).
Pas de panique, c'est parfaitement normal ! La paréidolie (c'est le nom de ce phénomène) est un mécanisme très courant chez les êtres humains. Il s'agit d'une manière qu'a notre cerveau de voir une image construite, réaliste, reconnaissable, alors même que ce qu'on observe n'est qu'une forme abstraite.
Nous pouvons tous voir dans certaines circonstances des choses inexistantes. Nous avons parfois ces visions, appelées hallucinations, d'une façon naturelle en nous endormant ou en nous réveillant, comme lors de rêves éveillés.
C'est une expérience normale, où l'on entre et d'où l'on sort, et dont il est possible de faire quelque chose, parce que, face à elle, on demeure un sujet. Il peut donc exister des hallucinations positives ou négatives, et des « visions » positives ou négatives.
Qu'est-ce que le phosphène ? Le phosphène se caractérise par l'apparition soudaine d'une lumière ou l'irruption de taches lumineuses dans le champ visuel d'un individu. Décrit comme un flash, un éclair ou une étincelle, le phénomène est parfois perceptible même si le sujet a les yeux fermés.
La raison est simple : la Lune met autant de temps à tourner sur elle-même (rotation) qu'elle met à tourner autour de la Terre (révolution), un peu plus de 27 jours. On parle de rotation synchrone. A mesure qu'elle se déplace dans le ciel, la Lune pivote pour dérober à notre regard sa face mystérieuse.
CUMULONIMBUS. Ce sont des cumulus de pluie, d'averses, de grêle... Ils forment d'énormes volutes au sommet en panache ou en forme d'enclume, ils peuvent déchaîner des intempéries trés violentes. Le cumulonimbus est le seul nuage qui peut provoquer des orages.
La vapeur se condense alors en gouttelettes ou en cristaux de glace qui réfractent la lumière et font apparaître le nuage. En l'absence de vent, l'air forme des strates où la température est constante sur une vaste superficie ; c'est pourquoi les nuages dont la base est plate sont souvent de beaux cumulonimbus.
NIMBOSTRATUS (Ns) Couche nuageuse grise et sombre dont l'aspect est rendu flou par des chutes de pluie ou de neige atteignant le sol. L'épaisseur de cette couche est partout suffisante pour masquer complètement le soleil. Ce nuage est constitué de gouttelettes d'eau, de cristaux de glace ou de flocons de neige.
Dans cette configuration, elle ne reçoit plus la lumière directe du Soleil, mais celle qui est filtrée par l'atmosphère terrestre. Les couleurs froides (bleu, violet, etc.) de la lumière blanche sont alors dispersées.
Les taches sombres qui semblent former les yeux, la bouche et le nez de celui qu'on appelle « l'homme dans la Lune » sont de vastes plaines poussiéreuses.
Un visage gouverné par la Lune
Tout en rondeur, le visage lunaire est un visage bien plein, presque poupon, qui ramène de l'enfance des yeux ronds et écarquillés, des pommettes arrondies, un peu saillantes.
Même une fois nos paupières closes, les neurones de la rétine qui transportent l'information visuelle au cerveau gardent une activité spontanée de base. Il est donc possible de voir apparaître des formes lumineuses, blanches ou colorées appelées phosphènes.
La paralysie du sommeil est un phénomène encore assez mal connu bien que relativement répandu. Ceux qui en sont les victimes se réveillent en pleine nuit incapables de bouger et avec une sensation d'étouffement parfois accompagnée d'hallucinations visuelles ou auditives.
Les hallucinations peuvent aussi être kinesthésiques, c'est-à-dire qu'elles sont relatives au mouvement et à la perception du corps dans l'espace, et qu'elles peuvent donner à la victime l'impression qu'elle bouge, que la pièce bouge, qu'on la touche, etc. Il arrive que les hallucinations soient mixtes.
Perte complète, transitoire ou définitive, de la vision, due à une atteinte neurosensorielle de la rétine et des voies optiques.
Désigne une anomalie de la perception visuelle qui se traduit par des déformations des objets observés. Par exemple, le test de la Grille d'Amsler peut révéler des déformations ondulatoires des lignes droites observées quand la personne est atteinte de DMLA.