Le Parti national fasciste après la nomination de Mussolini chef du gouvernement : vers le parti-État. Dès décembre 1922 , Mussolini réunit le Grand Conseil fasciste, auquel prennent part le gouvernement et les dirigeants du PNF.
Les Faisceaux italiens de combat (Fasci italiani di combattimento) sont un mouvement politique créé, entre autres, par Benito Mussolini, à Milan le 23 mars 1919. Première incarnation du mouvement fasciste, cette organisation constitue par la suite le noyau du Parti national fasciste, créé en 1921 autour de Mussolini.
Le fascisme est d'abord le nom que le mouvement et le régime de Mussolini se sont donné. Le terme provient de la fondation après la Première Guerre mondiale, par Mussolini, du mouvement « Fasci italiani di combattimento » (« faisceaux italiens de combat »), à l'origine des termes « fasciste » et « fascisme ».
En 1924, après la victoire contestée des élections et l'assassinat du député socialiste Giacomo Matteotti, Mussolini assume l'entière responsabilité de la situation. La série de lois fascistissimes lui attribue, à partir de 1925, des pouvoirs dictatoriaux et fait de l'Italie un régime fasciste à parti unique.
La marche sur Rome (italien : marcia su Roma) est la marche paramilitaire menée par les faisceaux italiens de Mussolini vers la capitale de l'Italie le 28 octobre 1922 , ayant pour but en premier lieu d'impressionner le gouvernement libéral alors encore en place et de faire pression sur la classe politique.
L'histoire de l'Italie fasciste, couramment désignée en Italie sous le terme de double décennie fasciste (ventennio fascista) ou simplement double décennie (ventennio), comprend la période de l'histoire du royaume d'Italie qui va de la prise du pouvoir par Benito Mussolini en 1922 jusqu'à la fin de sa dictature le 25 ...
Les chemises noires (en italien : camicie nere ou squadristi) sont les adhérents à la milice du régime fasciste de Benito Mussolini, organisés depuis le 23 mars 1919 en Faisceaux italiens de combat (Fasci Italiani di Combattimento) (allusion au symbole d'autorité des consuls dans la Rome antique).
Le suffrage universel à scrutin de listes régionales, avec une représentation proportionnelle, et le droit de vote pour les femmes. L'âge minimum pour les électeurs abaissé à 18 ans, celui des députés abaissé à 25 ans. La suppression du Sénat.
Dispute et altercation, sont des mots synonymes.
Selon une tradition sémantique propre à l'extrême gauche italienne, Mussolini était le Duce, le « guide », l'incarnation d'un socialisme intransigeant porteur des espoirs du prolétariat.
autocrate, despote, oppresseur, tyran.
➙ fondamentaliste, intégriste.
Synonyme : absolutisme, autocratie, caporalisme, césarisme, despotisme, totalitarisme, tyrannie.
Dispute et altercation, sont des mots synonymes.
oppresseur n.m. Personne qui opprime, tyran.
Régime politique dans lequel un seul homme gouverne de façon arbitraire et autoritaire. 2. Volonté, autorité exercée d'une façon tyrannique ; tyrannie.
Elle regroupe donc un ensemble de mouvements de gauche comme le communisme, le marxisme, le léninisme (dont le trotskisme) ou encore l'internationalisme et l'anarchisme.
Partie ou limite extrême, le bout, la fin de quelque chose, d'une ligne, d'une surface : L'extrémité d'un bâton. 2. Littéraire. Degré extrême : L'extrémité de la misère.
ou adv.] Pronom, adverbe relatif désignant le lieu au propre ou au figuré et secondairement le temps. 1. a) [L'antécédent désigne un lieu, au propre ou au fig.]
Idi Amin Dada Oumee, né Idi Awo-Ongo Angoo vers 1925 à Koboko et mort le 16 août 2003 à Djeddah, est un militaire et homme d'État ougandais, exerçant un pouvoir absolu sur le pays entre le 25 janvier 1971 et le 11 avril 1979 , en tant que président à vie. Il laisse l'image d'un dictateur violent et sanguinaire.
1. Qui a peu d'argent. Synonyme : à court, démuni, à fond de cale, gêné, indigent, malheureux, miséreux, nécessiteux, pouilleux, ruiné.