S'il est trop humide (taux d'humidité supérieur à 20 %), votre bois va non seulement accélérer le noircissement de la vitre, mais il va en plus encrasser votre installation (appareil et conduit).
Bien au au contraire : il est impératif d'éviter que le bois soit constamment mouillé par la pluie. Le risque est alors non seulement de rallonger la durée de séchage, mais aussi de voir de la moisissure apparaître sur les bûches, rendant leur combustion quasiment impossible.
Cela est dû à la silice contenue dans la terre où ils ont grandi. Si vous avez un foyer ouvert, (et même si c'est un foyer fermé), pensez à enlever tout ce qui pourrait brûler dans le rayon de projection des escarbilles, ou installez un pare feu.
Test d'impact – en frappant deux bûches l'une contre l'autre. Ce test permet d'évaluer plus ou moins si son bois est assez sec ou non, en frappant deux bûches l'une contre l'autre. Si le bois est dur et a un bruit qui résonne alors il est sec ; dans le cas contraire, si le bois est mouillé, il est très peu sonore.
En diminuant la distance qui sépare la face externe du cœur du bois on en accélère le processus de séchage. Ainsi une bûche de 20 cm de diamètre de bois de chêne mettra 10 ans pour sécher à cœur. La fendre en deux ramènera ce délai à 5 ans et la fendre en 4 à 2 ans et demi.
Nous vous conseillons d'éviter les bois tels que le châtaignier et le platane. Ils ont tendance à éclater et peuvent donc être dangereux.
chauffer le four à une température de 85 ° C (2 à 3 jours), reposer le bois hors du four. Ce repos est essentiel pour le bois sèche complètement. En effet, après le passage des bûches dans le four, seul l'extérieur de ces dernières est sec.
Combustible […] En règle générale, le temps de séchage du bois de chauffage va de 1,5 an à 3 ans. Cette durée varie en fonction de divers facteurs : l'essence, la densité, la taille du bois, l'agencement du bois dans la zone de stockage et la période d'achat ou de coupe de bois dans votre zone géographique.
Un bois trop humide
Au-delà, une partie de l'énergie thermique sera utilisée pour évaporer l'eau que contient le bois, sans produire de chaleur. Un bois complètement humide ne « brûlera » donc pas réellement. Il se consumera et se transformera en une sorte de charbon, sans vous fournir beaucoup de chaleur.
Le taux d'humidité à respecter lors de la mise en oeuvre est spécifié dans les DTU 31.1 et 31.2. Pour la construction de maisons et bâtiments ossatures bois et en charpente, l'humidité doit être inférieure à 18% en moyenne et ce taux ne doit pas dépasser les 22% ponctuellement.
Le bois est un matériau hygroscopique, c'est-à-dire qu'il absorbe et dégage naturellement de l'eau. S'il y a un fort taux d'humidité, le bois va gonfler puis se rétracter en séchant. Des fendillements vont donc apparaitre, et vont ainsi favoriser l'apparition de champignons et de moisissures.
Plusieurs causes sont possibles pour ce type de fléau : L'essence de bois que vous avez choisie est un feuillu tendre qui brule vite, privilégiez plutôt un feuillu dur ; L'arrivée d'air dans votre appareil est trop importante et cela accélère la combustion, les braises se consument alors trop vite.
Afin de garantir un séchage efficace, il est conseillé de ranger son bois de sorte à ce que le tas soit stable et aéré. Pour cela, vous pouvez empiler les bûches sur plusieurs rangées en les positionnant perpendiculairement à celles du dessous et du dessus.
Le bois séchera plus vite qu'en rondins. Ensuite, choisissez un abri bien ventilé et aéré pour le ranger et le faire sécher. Pour un séchage idéal, nous vous conseillons : Un abri couvert avec un toit en tôle par exemple : il protégera vos bûches des intempéries (pluie, neige, grêle, rosée) et donc de l'humidité.
L'huile de lin, additionnée d'un peu d'essence de térébenthine, à utiliser par temps chaud (car elle pénètre mieux), est une protection classique. Peu coûteuse et hydrofuge, elle retarde le grisaillement.
Le bois de chêne produit des braises qui durent longtemps, mais il demande un gros apport de température pour éviter la production d'acide tannique qui pourrait noyer le bois. Le bouleau est un bon bois : il se distingue par une belle flamme bleue mais brûle plus vite que le bois de hêtre.
Ainsi, la première étape de la combustion va consister à sécher les bûches jusqu'à ce que le taux descende à environ 10 % d'humidité. Plus simplement, il s'agit du moment où une fumée blanche se dégage, juste avant l'apparition des premières flammes. Ce phénomène de séchage intervient généralement entre 150°C et 250°C.
Les feuillus durs (chêne, hêtre, frêne, châtaignier, charme, noyer, fruitiers, etc.) fournissent un bois de chauffage qui brûle plus longtemps que les résineux. Les résineux fournissent plus de chaleur pendant moins longtemps.
Il existe plusieurs méthodes pour sécher le bois : la méthode naturelle à l'air libre et à l'abri des intempéries ou bien la méthode artificielle. Les séchoirs à bois peuvent utiliser plusieurs technologies : pompe à chaleur, air chaud climatisé ou sous vide.
Le noisetier est l'un des meilleurs bois de chauffage. Il doit bien sûr être sec, comme tous les autres types de bois de chauffage.
Bien que cela soit contre-intuitif, le séchage du bois, qui consiste à éliminer une grande partie de l'eau et de la sève qu'il contient, peut être accéléré par immersion dans l'eau.
Si jamais ce n'est pas possible pour vous et que vous désiriez le stocker en extérieur, pensez à le surélever du sol (avec une palette par exemple) et l'éloigner du mur afin que l'air puisse bien circuler et sécher le bois. Pensez également à bâcher votre bois pour éviter que la pluie tombe directement dessus.
La seule mesure vraiment fiable pour la mesure de l'humidité du bois de chauffage est l'utilisation d'une étuve : le bois est pesé puis séché à l'étuve à 105°C jusqu'à atteindre une masse constante (généralement entre 7 et 24 heures).