L'hostie, dans les rites liturgiques chrétiens, est du pain sans levain que l'officiant consacre pendant la célébration de l'Eucharistie pour le partager avec les fidèles au cours de la communion. Hosties dans le rite catholique.
À l'Eucharistie on donne divers noms, par exemple « le repas du Seigneur, la fraction du pain, la Sainte-Cène, la Cène, la Divine Liturgie.
Pain eucharistique après la consécration. (Le mot latin [hostia] désigne la victime sacrifiée, en particulier le Christ dans le sacrifice eucharistique.) 2. Pain destiné au sacrifice eucharistique.
L'hostie est donnée aux fidèles lors de la célébration de la Messe, pour commémorer la Cène, le dernier repas du Christ. En effet, à l'occasion de la Cène, Jésus-Christ a béni un morceau de pain et a décidé de l'offrir aux disciples en le présentant comme étant son propre corps.
Les hosties sont tout simplement du pain. Mais elles n'ont pas vraiment le goût du pain dont tu as l'habitude. Comme les baguettes du boulanger, elles sont faites avec de la farine et de l'eau. Mais le boulanger ajoute un ingrédient : le levain, qui fait gonfler la pâte et donne une mie moelleuse.
Qui peut communier ? L'eucharistie étant le centre de la vie chrétienne, tout adulte baptisé peut faire sa première communion et ensuite communier à chaque eucharistie. Pour les enfants, ils font généralement leur première communion après deux années de catéchèse.
Le pain destiné à la consécration a gardé ce nom de « hostie ». Il s'agit d'abord d'un pain ordinaire dont les fidèles font l'oblation volontaire, offrande qui devient obligatoire au VI e siècle après le deuxième concile de Mâcon. La totalité du pain apporté par les fidèles n'est pas utilisée pour la consécration.
Les dispositions pour recevoir la Communion Eucharistique
En outre, l'Église rappelle que pour accéder au Repas du Seigneur, il faut être : baptisé catholique. en état de grâce, c'est à dire ne pas avoir de péchés graves sur la conscience.
Pendant l'Agneau de Dieu, le prêtre met un morceau d'hostie dans le calice : Ce geste symbolique rappelle l'unité au sein de l'Église, mais aussi le lien spirituel qui unit les célébrations entre elles. – L'ÉLÉVATION : Par trois fois, le prêtre élève l'hostie et le calice.
Un gout de pain sans levain,ceci pour la langue. Pour l'ame par contre c'est un miel paradisiaque.
Le ciboire est une coupe munie d'un couvercle où l'on conserve les hosties consacrées que l'on distribue aux fidèles au moment de la communion.
Vraiment, je veux croire que la majorité des personnes savent comment recevoir l'Eucharistie. En fait, c'est la chose la plus facile du monde : mettre la main droite en dessous de la gauche et, devant le prêtre ou le ministre extraordinaire, le regarder quand il présente « le Corps du Christ » et lui répondre « Amen ».
Quand l'hostie est dans votre main, avec votre main droite vous prenez l'hostie.
Ne pas être empêché par le droit.
Ainsi, « les excommuniés[5] et les interdits, après l'infliction ou la déclaration de la peine, et ceux qui persistent avec obstination dans un péché grave et manifeste, ne seront pas admis à la sainte communion » (Canon 915).
Du côté protestant, les Églises luthérienne et réformée notamment, qui constituent désormais en France une Église protestante unie, ont au contraire pris l'habitude, lorsqu'elles célèbrent la sainte Cène, d'inviter à participer toutes les personnes présentes qui croient en Jésus Christ.
Il est prévu aussi que l'on soit à genoux, à la messe, au moment de la consécration, de même que devant le Saint-Sacrement exposé, et lors de la réception du sacrement de la Pénitence (au moins pour l'absolution).
Déplié sur l'autel au moment de l'offertoire il forme comme une petite nappe où seront déposés le calice, la patène et les coupes eucharistiques contenant les hosties qui deviendront le Corps du Christ, d'où son nom.
Ainsi donc, quand on consacre le calice du Seigneur, on ne peut pas plus offrir l'eau toute seule que le vin tout seul ; si on n'offre que le vin, le sang du Christ se sépare de nous, s'il n'y a que de l'eau c'est le peuple qui se sépare du Christ », explique-t-il.
La différence entre un calice et un ciboire se situe dans l'usage différent attribué à chaque objet. Ils sont tous deux destinés à conserver les espèces consacrées, mais alors que le calice est destiné à conserver le sang, le ciboire conserve le corps.
Les autres personnes non-baptisés
Cette célébration sera « sans eucharistie et ne comportera aucun des rites réservés à la célébration des funérailles (rite de la lumière, de la croix, de la bénédiction du corps, de l'encensement). »
Le déroulement est le même qu'une messe d'enterrement, mais il n'y a pas d'eucharistie. La cérémonie est donc plus courte, mais cela ne retire rien à la solennité ou à l'importance de la célébration.
L'eucharistie est avant tout le sacrifice du Christ qui donne son corps et son sang. Dès lors, y participer sans aller communier peut interroger. Cela rappelle avant tout qu'accueillir Jésus en soi n'a rien d'une évidence et appelle une préparation du cœur.
3.2 Si une Hostie tombe à terre ou sur des vêtements
[21] Si cela se produit durant la distribution de la Sainte Communion, il appartient au ministre de ramasser l'Hostie, non au communiant ; toutefois, si elle tombe sur les vêtements d'une femme, elle-même prendra l'Hostie et la consommera.
La fraction du pain (latin : fractio panis, « rompre le pain ») est mentionnée dans le Nouveau Testament comme un geste fondamental du mémorial de la mort de Christ en rémission des péchés. Dans ce texte, le rite de la fraction du pain, inspiré du judaïsme, est institué par le Jésus-Christ lors de la Cène.
Or, Jésus lui-même, pour maintenir sa présence offerte au-delà de sa vie terrestre et de sa mort, a remplacé l'agneau par ce qui l'entourait, dans le repas pascal, à savoir la galette de pain et le vin. Jésus remplace l'agneau partagé par le pain rompu, et le sang versé par le vin consacré.