La fosse. La fosse est l'endroit où l'on inhume le corps du défunt, grossièrement appelé « le trou ».
Le métier de fossoyeur est un travail dont on ne parle que très peu. Bien souvent, on le réduit au travail de creuser les fosses pour enterrer les morts, alors que la discipline va bien au-delà.
Le caveau est plus onéreux à construire qu'une « pleine terre », mais il permet également, dans la durée, de réduire les frais d'entretien, comparativement à une tombe pleine terre, qui « bouge » dans le temps. Certains monuments funéraires peuvent revêtir des formes diverses, parfois érigés sans limite de coût.
Tombale : élément horizontal recouvrant tout ou partie de la sépulture. De forme (plate à pentes, en chapeau de gendarme, débordante) et de dimensions variables, elle peut recevoir les mêmes ornements que la stèle et ouvre sur le caveau.
Sépulture enterrée destinée à accueillir les urnes des défunts, la cavurne est un monument cinéraire au statut particulier. En effet, puisque l'urne contenant les cendres du défunt est placée sous terre, il s'agit d'inhumation bien que le corps du défunt ait été crématisé.
Un cercueil de bonne qualité peut durer jusqu'à plus de 50 ans. D'un autre côté, les bois tendres comme le pin sont moins résistants et sélectionnés généralement pour une crémation.
Cela permet d'éviter l'effet « bouchon de liège » ou le caveau pourrait remonter à la surface si une inondation majeure venait à se produire dans le cimetière. L'eau pourrait « pousser » l'ensemble du caveau hors du sol, ce qui ferait mauvais genre.
Le mot cénotaphe vient du grec “kenos” qui signifie le vide et “taphos” qui signifie le tombeau. Ainsi, le cénotaphe est un monument funéraire vide, sans corps, destiné souvent à des fins de commémoration.
Aujourd'hui, on appelle « caveau » une simple fosse maçonnée dans le sol d'un cimetière, fermée en surface par une plaque de pierre recouverte d'une pierre tombale, d'une stèle, d'un prie-Dieu ou d'un soubassement, et destinée aux cercueils des membres d'une famille.
Une épitaphe (du grec ἐπιτάφος / epi, « sur » et taphos, « tombeau ») est une inscription funéraire, placée sur une pierre tombale ou un monument funéraire, afin de rappeler le souvenir de la personne morte. Elle peut présenter le nom et les dates de la personne défunte, ou un texte qui fait l'éloge de cette personne.
Pour une inhumation, la concession sera un caveau ou une tombe. Pour une crémation, elle sera une place dans un columbarium ou une cavurne.
Il s'agit habituellement d'un hommage rendu aux soldats tués dans les combats.
La principale tâche du fossoyeur est de creuser des fosses au sein du cimetière, afin d'y accueillir les cercueils des défunts. Le fossoyeur intervient également lors des exhumations.
Un fossoyeur gagne en moyenne 2 642 € bruts par mois en France.
fossoyeur n. Personne qui creuse les fosses pour enterrer les morts. fossoyeuse n.f.
Ce repas ou verre du souvenirs est une façon de prolonger l'hommage rendu au défunt de façon moins formelle et de remercier les proches de leur présence en ce moment éprouvant.
Comment évolue un corps dans un cercueil ? "Là encore, cela dépend de plusieurs facteurs, l'étanchéité du cercueil, l'hydrométrie, la profondeur à laquelle le cercueil est enterré notamment", répond le médecin légiste. Si le corps est enterré à faible profondeur, au soleil, la décomposition est accélérée.
Car, au 8e siècle, les Francs utilisaient 'une béra'. 'Une béra' était une civière sur laquelle on plaçait les blessés ou les morts. Au 12e siècle, le mot est resté : lorsqu'on a commencé à placer les défunts dans un cercueil, 'béra' est devenu 'bière'. On était donc 'mis en bière.
Dans le cas d'un caveau funéraire, il est possible d'inhumer 1 à 10 cercueils selon le modèle choisi et sa taille. Un caveau 1 place doit avoir une profondeur de 2 mètres.
Une tombe d'une place nécessite une fosse de 1 m 50 : 50 cm pour le cercueil et 1 mètre pour la terre au-dessus. Pour une tombe qui reçoit plusieurs cercueils, il faut prévoir un espace de 50cm entre chaque cercueil. Une tombe de 2 places doit avoir une profondeur de 2 mètres 50 environ.
Concernant l'inhumation, il faut en faire la demande auprès du maire de la commune où se situe la concession. C'est lui qui délivrera l'autorisation de rouvrir le tombeau et de procéder à la cérémonie. Le transfert devra être mené par un opérateur des pompes funèbres, en présence d'un représentant de la municipalité.
En effet, après la décomposition du corps, le lithium reste et se répand. Il en va du même pour les objets pouvant dégager des fumées toxiques comme certaines peluches et les chaussures. Les photos ou lettres sont quant à elles autorisées car elles ne ralentissent pas la décomposition naturelle du corps.
Les tissus sont entièrement brûlés, ce sont donc les os qui vont être réduits en cendres. Un pulvérisateur est utilisé pour réduire en cendres les parties calcaires des os qui ne brûlent pas.
Les corps, qu'ils soient exposés aux veillées funéraires, ou pris en photo, sont plus présentables. Ainsi, cette pratique combinée à une soigneuse mise en scène d'une personne décédée, permet de rendre la mort plus tolérable pour les proches de la victime.