Les îlots de Langerhans sont des cellules du pancréas jouant un rôle essentiel pour l'organisme. Elles renferment en effet les cellules béta qui sécrètent l'insuline, hormone de régulation de la glycémie.
L'insuline est sécrétée par les cellules β des îlots pancréatiques. Les cellules α, également présentes dans les îlots, libèrent du glucagon et ont des effets opposés à ceux des cellules β sur la glycémie.
Les cellules-α synthétisent le glucagon, les cellules-β l'insuline, les deux hormones de régulation de la glycémie.
Ces 2 hormones sont l'insuline et le glucagon, et ce sont les seules hormones et donc le pancréas est le seul organe capable de réguler la glycémie, et donc l'apport d'énergie vitale à notre organisme. La sécrétion d'insuline fait baisser la glycémie et la sécrétion de glucagon l'augmente.
A1) L'insuline est une hormone produite par les cellules bêta du pancréas, qui la libèrent ensuite dans la circulation sanguine pour qu'elle fasse entrer le glucose dans les cellules aux fins d'énergie.
Le glucagon est une hormone hyperglycémiante (qui provoque une augmentation de la quantité de glucose dans le sang) sécrétée par les cellules α2 (ou cellules A) des îlots de Langerhans du pancréas, et qui agit principalement sur le foie en provoquant une glycogénolyse.
Les cellules entéro-endocrines gastriques se trouvent dans les glandes gastriques, principalement à leur base. Les cellules G sécrètent de la gastrine. Les fibres post-ganglionnaires du nerf vague peuvent libérer un peptide libérant de la gastrine lors d'une stimulation parasympathique afin de stimuler la sécrétion.
Les enzymes pancréatiques sont au nombre de trois : la lipase digère les graisses, la protéase les protéines et l'amylase les sucres complexes comme l'amidon. Les extraits pancréatiques sont disponibles à différentes concentrations.
Le glucagon est une hormone produite par le pancréas dont la fonction est d'augmenter la glycémie, c'est-à-dire le taux de sucre dans le sang.
Elle répond bien. Ce qui est en cause ici, en règle générale, c'est une résistance à l'insuline : l'insuline est bien sécrétée, mais elle n'est plus active. Le plus souvent, cette résistance à l'action de l'insuline est liée à une toxicité particulière du tissu adipeux chez des personnes en surpoids ou obèses.
Les cellules alpha appartiennent, au même titre que les cellules bêta, aux îlots de Langerhans, une partie endocrine du pancréas. Ces cellules alpha, placées à la périphérie de l'îlot, sont des « capteurs » de l'hypoglycémie, et produisent à cet effet du glucagon lorsque le taux de sucre sanguin est trop faible.
La sécrétine est une hormone intestinale (duodénum). C'est un médiateur entraînant la sécrétion par le pancréas de HCO3− en réponse à l'acidité dans la lumière duodénale et qui va neutraliser l'acidité gastrique et abaisse la glycémie.
Cette hormone est sécrétée par les cellules α des îlots de Langerhans pancréatiques sous forme d'une molé- cule de 12 kDa, la glycentine, molécule qui donnera naissance à plusieurs polypeptides, dont le proglucagon et le glucagon lui-même, forme active de l'hormone.
Cellules bêta : qu'est-ce que c'est ? Les cellules bêta des îlôts de Langerhans du pancréas sont celles qui produisent l'insuline. Elles sont situées au centre des îlôts de Langerhans.
Le pancréas a deux fonctions: sécrétions de suc digestifs pour la digestion et sécrétion de l'insuline pour la régulation de la glycémie. Le pancreas sécrète un suc pancréatiquequi est un liquide servant à la digestion. C'est la fonction exocrine du pancréas.
Antidote naturel de l'intoxication par l'insuline (le glucose est de loin préférable), le glucagon est un antidote parfois efficace de l'intoxication aiguë par les bêta-bloquants.
Fonction du glucagon
Le glucagon possède une fonction hormonale opposée à celle de l'insuline, puisqu'il entraîne une hausse de la glycémie (fonction hyperglycémiante). Pour cela, il possède une fonction d'hydrolyse du glycogène contenu dans le foie, ce qui provoque la libération de molécule de glucose dans le sang.
La transformation du sucre (glucose)
Le glycogène est stocké dans le foie et dans les muscles. Pour le bon fonctionnement de l'organisme, il est important que la glycémie (taux de sucre dans le sang) soit constante et modérée (entre 0,6 et 1 g par litre).
— Le pepsinogène est une enzyme inactive sécrétée par l'estomac et qui se transforme en pepsine sous l'action de l'acide chlorhydrique. La pepsine décompose alors les protéines en peptides. — Le suc pancréatique contient plusieurs enzymes digestives qui catalysent les glucides, les protides et les lipides.
Enzymes digestives de l'estomac
La pepsine (qui provient du pepsinogène) est une endoprotéase, elle clive donc les protéines en peptides en coupant les liaisons peptidiques impliquant des acides aminés aromatiques (tryptophane, phénylalanine, tyrosine).
La vésicule biliaire emmagasine et concentre la bile, un liquide vert jaunâtre produit par le foie. La bile aide le corps à digérer les matières grasses.
Les cellules de Paneth, qui sont situées au fond des cryptes et qui interagissent avec les cellules souches, renferment des substances antimicrobiennes, principalement les défensines, qui jouent un rôle dans l'immunité innée de la barrière intestinale [4, 5].
Cellules caliciformes,
cellules glandulaires qui, gonflées pendant l'acte sécrétoire, se rompent quand elles ont atteint un certain volume. (Le type de la cellule caliciforme est la cellule des glandes du gros intestin et du rectum.)
La gastrine est une hormone sécrétée par les cellules G de la muqueuse pylorique de l'estomac (le pylore est le sphincter situé dans la partie inférieure de l'estomac), le duodénum et le pancréas. Cette hormone stimule la sécrétion d'acide (HCl) dans le fundus gastrique.