Boche est un terme péjoratif pour désigner un soldat allemand ou une personne d'origine allemande, mot qui a été utilisé pendant la guerre franco-allemande de 1870 puis plus largement par les Français, les Belges et les Luxembourgeois de la Première Guerre mondiale jusque bien après la Seconde Guerre mondiale.
Les soldats de la Wehrmacht ont un haut niveau de professionnalisme. Lors de leur entrée en guerre en 1939, ils sont persuadés d'être les meilleurs soldats au monde. Durant la plus grande partie de la guerre, les forces allemandes sont très combatives et agressives.
Les soldats allemands appelaient aussi les soldats français les « Franzmann » (hommes de France), alors que l'équivalent germanique de poilu est « Der Feldgraue » à cause de la couleur grise de l'uniforme.
Chleuh est un terme argotique notamment employé en France, autour de la Seconde Guerre mondiale, détournement du nom d'un peuple berbère du Maroc, les Chleuhs, pour désigner de manière péjorative les Allemands dont l'efficacité sur le champ de bataille était semblable à celle des Berbères qui composaient l'essentiel de ...
Les Français ont pendant longtemps donné des surnoms racistes aux Allemands : boche, chleuh, fritz, frisé, prussien, teuton, etc. L'origine de ces surnoms est diverse : "Boche" est un terme d'argot du 19ème siècle qui était utilisé dans l'expression "tête de boche" (synonyme de "tête de bois" ou "tête dure").
Terme utilisé par les Français pour désigner les Allemands pendant la période conflictuelle entre les deux pays qui a débuté en 1870 et s'est terminée en 1945. Les Belges et les Québécois ont repris par la suite ce terme.
dérivé de allemand , avec le suffixe -boche ; la déformation de altdeutsch (« vieux allemand ») selon une enquête et un article de L'Est républicain datant de 1914 ; altdeutsch était entendu par les Français comme Alldoche devenu Alboche.
fridolin
Familier, péjoratif, vieilli. Allemand, en particulier soldat allemand. (Surnom utilisé surtout pendant la Seconde Guerre mondiale.)
Ceci est à rapprocher de « bosch », bois en bas allemand et néerlandais : « 's-Hertogenbosch » aux Pays-Bas, se traduit en français par « Bois-le-Duc ». Donc, tête de « bosch » = tête de bois, et l'expression vient peut-être des Allemands eux-mêmes qui l'auraient employée en 1870.
Mein Engel : mon ange ; Mein Herz : mon cœur, mon amour ; Meine Maus : ma souris ; Mein Liebling : mon amour.
La Bundeswehr (traduit en français par « Force de Défense fédérale » mais littéralement « Défense fédérale ») est l'armée nationale de la République fédérale d'Allemagne depuis 1955. Les forces armées de la République fédérale sont contrôlées en temps de paix par le ministère de la Défense (Verteidigungsministerium).
L'opération Barbarossa est la plus grande invasion de l'histoire militaire en termes d'effectifs engagés et de pertes : près de quatre millions de soldats de l'Axe pénètrent en Union soviétique. En plus des troupes, l'opération Barbarossa a mobilisé 600 000 véhicules et 600 000 chevaux.
La Schutzstaffel, plus connue sous son sigle SS, fondée le 4 avril 1925 pour servir de garde personnelle à Adolf Hitler était une organisation autonome au sein du NSDAP directement subordonnée à Hitler de 1934 à 1945. À partir du 6 janvier 1929 , elle fut dirigée par Heinrich Himmler, Reichsführer-SS.
Ainsi, le manque de responsabilités de l'Allemagne se traduisent par son absence au Conseil Permanent de Sécurité de l'ONU, ainsi que son refus d'intervenir militairement à l'étranger unilatéralement.
Pendant les huit premiers mois de la Seconde Guerre mondiale, il n'y a quasiment aucun combat. C'est la "drôle de guerre". La "guerre-éclair" ou "Blitzkrieg" prend le relais à partir du 10 mai 1940, date à laquelle les forces allemandes entrent en Belgique, au Luxembourg et aux Pays-Bas.
Le casque à pointe (en allemand : Pickelhaube) est un modèle de casque militaire utilisé par les armées prussiennes, puis allemandes au XIX e siècle et au début du XX e siècle. Sa pointe devait protéger les fantassins des coups de sabre de la cavalerie.
du latin Alemannia (pays des Alamans), du vieux haut-allemand Alemanni (tous les hommes) ; du proto-germanique sakhsan (Saxons) ; du vieux-slave nemets (muet) ; du balte vāca, renvoyant peut-être aux Vikings.
un terme français argotique (au pluriel Les Fritz) plutôt péjoratif qui servait à désigner les Allemands durant la Première et la Seconde Guerre mondiale, venant probablement du fait qu'il s'agissait d'un prénom allemand assez courant.
Nom commun. (Péjoratif) Personne de nationalité allemande. (Par extension) (Lorraine) Mosellan ou Alsacien ; personne parlant un dialecte germanique. (Cinéma) Personne un peu simple d'esprit, idiot, fada.
La France se trouve coupée en deux par une ligne de démarcation qui sépare la zone occupée – le Nord et la façade atlantique – de la « zone libre » du Sud. L'armée est réduite, la flotte désarmée. Deux millions de Français sont envoyés comme prisonniers en Allemagne.
La Prusse n'a aujourd'hui plus aucune existence légale ou politique ; elle peut donc être considérée comme un État démantelé, puisque son ancien territoire est partagé entre les gouvernements de différents Länder allemands et pour la majeure partie de l'actuelle Pologne, sans oublier la région de Königsberg, devenue ...
Avec ce traité l'Allemagne perd des territoires en Europe et tout son empire colonial. Une partie du territoire allemand est occupée et il est coupé en deux parties (l'Allemagne proprement dite et la Prusse-Orientale) . L'armée allemande est réduite et en grande partie désarmée.