La coloscopie est l'examen de référence pour le diagnostic des maladies du côlon (polypes du colon, cancer colorectal, maladie de Crohn, rectocolite hémorragique...)
Les plus courants sont la gastroscopie et la coloscopie. Le premier nous permet de voir d'éventuelles lésions le long de l'oesophage, l'estomac, jusque dans le duodénum (première partie de l'intestin grêle). Grâce au deuxième, nous pouvons examiner le rectum, le colon et le début de l'intestin grêle.
La coloscopie est un examen généralement rapide de 30 minutes environ. Il est habituellement indolore, néanmoins parfois inconfortable. Pour ces raisons, il est réalisé dans 95 % des cas sous anesthésie générale.
La capsule colique, une alternative à la coloscopie virtuelle. La capsule colique est un dispositif d'imagerie médicale miniaturisé à usage unique pour l'exploration du côlon. Elle est destinée à être avalée après une préparation colique spécifique.
La coloscopie est généralement prescrite dans le cadre d'un bilan de santé en cas d'antécédents familiaux ou personnels de cancer colorectal. Elle est aussi indiquée lorsqu'un patient présente des diarrhées chroniques, des selles sanglantes, des douleurs abdominales inexpliquées, etc.
Habituellement, le cancer du côlon évolue silencieusement, parfois des années durant, avant de provoquer le moindre symptôme. Lorsque les symptômes apparaissent, il s'agit essentiellement de douleurs abdominales, d'une modification du transit intestinal et de la présence de sang dans les selles.
Scanner. Si le cancer colorectal est déjà à un stade avancé, il peut s'avérer nécessaire de procéder à un scanner (ou TDM pour tomodensitométrie) afin d'évaluer l'extension de la tumeur du côlon et de rechercher d'éventuelles métastases.
Certains patients redoutent la coloscopie, examen invasif de l'intestin. Dans certains cas, un scanner peut leur être proposé en solution alternative. Mais si une tumeur est détectée, la coloscopie demeure incontournable.
Les effets secondaires courants de la coloscopie sont entre autres ceux-ci: petite quantité de sang dans les selles pendant 1 à 2 jours si on a fait une biopsie ou si on a enlevé un polype. nausées, vomissements, ballonnements ou irritation du rectum.
La veille de l'examen, le patient ingère un liquide dont le but est de nettoyer le côlon. Le polyéthylèneglycol (PEG) : COLOPEG, FORTRANS, KLEAN PREP n'est pas réabsorbé par l'intestin ou le côlon, il garde l'eau à l'intérieur de la lumière colique et il est évacué par l'anus avec les selles.
Les malaises les plus fréquents après l'examen sont une sensation passagère de gonflement ou de crampes abdominales. Vous pouvez également être somnolent si vous avez reçu une sédation pour l'examen. Par conséquent, vous pourriez avoir de la difficulté à vous concentrer.
Le symptôme le plus fréquent de la prolifération bactérienne dans l'intestin grêle est le ballonnement. Parmi les autres symptômes, on peut citer une gêne abdominale, une diarrhée. (Voir aussi Diarrhée chez l'enfant) La seule fréquence des selles n'est pas une caractéristique suffisante...
radiologie digestive est une technique d'imagerie qui utilise la fluoroscopie et un produit de contraste pour obtenir des images dynamiques des organes de votre système digestif et observer votre fonction digestive. Notre radiologue peut visualiser les anomalies suivantes en temps réel : un ulcère.
L'intestin est propre lorsque le liquide qui en sort est clair, jaunâtre, sans matières solides. Si des matières solides sont encore visibles ou que le liquide est encore brunâtre, alors le nettoyage n'est pas encore achevé.
Cette dernière présente ainsi des lésions et a tendance à davantage saigner au contact d'aliments. Le sang dans les selles peut être rouge clair ou au contraire rouge très foncé. "La présence de sang dans les selles est un symptôme d'alerte et doit pousser à consulter un médecin, insiste l'experte.
L'importance du dépistage reste primordiale. En effet, plus un cancer est diagnostiqué tôt, plus il a de chance d'être guéri. La prise de sang est l'un des examens qui aident à diagnostiquer un cancer.
Les maladies inflammatoires chroniques de l'intestin (ou MICI) regroupent la maladie de Crohn (MC) et la rectocolite hémorragique (RCH). Toutes deux se caractérisent par une inflammation de la paroi d'une partie du tube digestif, due à une dérégulation du système immunitaire intestinal.
Le symptôme le plus généralement répandu est la douleur. Celle-ci peut irradier dans le dos ou à la racine des cuisses et occasionner une simple gêne ou une sensation très violente.
Dans la plupart des cas, bien que cela puisse être gênant, l'excès de gaz dans l'estomac est sans gravité. Cependant ce signe est parfois associé à certaines pathologies digestives (cancer, infection), hormonales (dysthyroïdie), métaboliques ou psychologiques.
L'ascite se manifeste le plus souvent en présence d'un cancer de l'ovaire, de l'utérus, du col de l'utérus, colorectal, de l'estomac, du pancréas, du sein ou du foie. Un cancer qui se propage au foie peut aussi causer l'ascite.
Il y a 3 facteurs de risque nutritionnels identifiés pour le cancer colorectal : la consommation d'alcool, le surpoids et la consommation excessive de viande (rouge) et surtout de charcuteries qui sont des aliments ultra transformés et dont la consommation doit être très limitée.
L'imagerie médicale
en première intention dans le dépistage systématique de certains cancers comme le cancer du sein par mammographie, pour confirmer ou infirmer un diagnostic, pour évaluer la sévérité de la maladie et affiner le diagnostic.