Le muezzin (arabe مؤذّن muʾaḏḏin) est le membre de la mosquée chargé de lancer l'appel à la prière, au moins cinq fois par jour, souvent depuis le sommet d'un des minarets de ladite mosquée.
MUEZZIN, subst. masc. Fonctionnaire musulman attaché à une mosquée, ayant pour principale fonction l'appel des fidèles à la prière, cinq fois par jour, depuis le haut du minaret.
(Il n'y a de vraie divinité sauf Dieu). » Mahomet, qui avait remarqué la magnifique voix de Bilâl, le chargea de lever l'adhân. Flatté de l'honneur qu'il lui faisait, Bilâl s'exécuta avec empressement. Il grimpa sur le toit de la mosquée et lança le tout premier appel à la prière de sa plus belle voix.
Bonjour,Un muezzin est une personne de la mosquée qui est le lanceur des prières ,il est en charge de faire l'appel plusieurs par jour . En revanche un Imam est un religieux avec une instruction du Coran,lui dirige les fidèles pendant leurs prières il se trouve toujours en position devant eux.
L'adhan est un appel spécifique à la tradition musulmane pour faire la salat (ou prière). Le muezzin fait l'appel à la prière depuis le minaret de la mosquée pour annoncer les prières ou les célébrations.
Ici, l'appel du muezzin est présenté comme le braiment d'un âne, « horrible » dans sa forme et son contenu. Le fait que le muezzin se bouche les oreilles quand il proclame son « édit criminel » suggère qu'il en a honte.
Sumayyah bint Khayyat (arabe : سمية بنت خياط) est la mère d'Ammar ibn Yasir, un des compagnons de Mahomet, et la femme de Yasir ibn Amir. Esclave elle est considérée comme le premier membre de la communauté musulmane primitive mort en martyr, lors des persécutions dont celle-ci fut l'objet à La Mecque.
En 1923, le gouvernement de la République de Turquie, avec à sa tête Atatürk, lance une série de réformes et promulgue la laïcité du pays. Ce programme inclut le projet de psalmodie de l'adhan en turc, et non plus en arabe.
Les cinq prières canoniques ont lieu à l'aube (Fajr), au milieu de la journée, lorsque le soleil est à son zénith (Dhuhr), au milieu de l'après-midi ('Asr), au crépuscule (Maghreb) et au soir ('Ichâ').
Avant de commencer à prier, il est important que vous ressentiez votre intention sincère de le faire dans votre cœur. Levez les mains. Placez-les à côté de vos épaules et de vos oreilles et dites « Allahu akbar » (الله أَكْبَر). Cela signifie « Allah est plus grand ».
En général, la personne qui récite l'adhan récite également l'iqama. Habituellement, c'est le muezzin dans la mosquée.
Mon Dieu, je vous offre mon cœur, mon esprit, mes pensées, mes paroles, mes actions, tout moi-même, pour ne servir que votre gloire. Je renouvelle les promesses de mon baptême. Mon Ange gardien, je vous remercie de m'avoir gardé pendant ce jour ; offrez à Dieu tous les battements de mon cœur pendant que je dormirai.
Les prières surérogatoires : ce sont des prières non obligatoires mais fortement recommandées, que le musulman peut effectuer en supplément de ses 5 prières obligatoires quotidiennes.
Vêpres : au début de soirée (vers 17 heures) Complies : le soir, après le coucher du soleil.
L'Iqama est le deuxième appel à la prière des musulmans. Quand le premier appel à la prière (l'Adhan) est terminé, les musulmans commencent à faire cette deuxième prière. Ils prononcent un ensemble de textes au nom de Dieu Allah. L'Iqama se fait toujours avant de réciter la Fatiha et les 5 prières quotidiennes.
C'est la prière la plus simple. Elle consiste à répéter longuement le Nom de Jésus, une phrase de psaume ou une invocation : « Seigneur, Fils du Dieu vivant, prends pitié de moi pécheur », « Seigneur, ne t'éloigne pas de moi », « Seigneur, montre-moi ton visage », « Seigneur, tu sais bien que je t'aime ».
Les paroles dites par le muezzin à la demande de l'imam sont les mêmes que celles de l'adhan, à la différence qu'on ajoute deux fois « Levez-vous pour la prière » (ou « Faites la prière ») juste avant les deux dernières phrases, et qu'on ne dit qu'une seule fois "Venez à la prière" et "Venez à la félicité".
"Soumaya" ou Sumayyah"ou"Suemaya“ (en arabe : سمية) est un prénom féminin arabe signifiant « noble, élevée ».
Les compagnons les plus illustres sont Abou Bakr As-Siddiq, Omar ibn al-Khattab, Uthman ben Affan, Ali ibn Abi Talib, les quatre premiers califes dits "biens guidés". D'autres, comme Talhah ibn Ubaydullah, Abd ar-Rahman ibn Awf, Sa`d ibn Abi Waqqas, Said ibn Zayd.
En arabe, on trouve deux mots pour désigner une mosquée : à côté de masjid (مسجد), on a aussi jâmi' (جَامِع) ou masjîd al-jâmi' (مسجد الجَامِع) de la racine Jîm - Mîm - 'ayn qui véhicule l'idée de rassembler, mais avec aussi celle de grande capacité.
L'islam distingue trois types d'ablutions : les grandes ablutions (ghusl, غسل, bain rituel), les petites ablutions (wodzūʾ, وضوء, ablution) et les ablutions sèches. Ces ablutions visent à se mettre dans un état de pureté rituelle.
Dans les pays islamiques le muezzin (en arabe mu'adhdhin) est « celui qui récite l'adhān », c'est-à-dire l'appel à la célébration cultuelle du vendredi et aux cinq prières rituelles quotidiennes (ṣalāt).
Le prophète (bénédiction et salut soient sur lui) parle du même sujet dans ce hadith rapporté par Abou Hourayra (P.A.a) : {Donnez à vos enfants l'ordre d'observer la prière dès l'âge de sept ans et frappez-les pour sa non observance à l'âge de dix ans et faites-en sorte qu'ils ne partagent plus les mêmes lits.}
Prière du matin de saint François d'Assise :
Ferme mes oreilles à toute calomnie, garde ma langue de toute malveillance et que seules les pensées qui bénissent demeurent en mon esprit. Que je sois si bienveillant et si joyeux que tous ceux qui m'approchent sentent ta puissance et ta présence.