La phrase subordonnée introduite par la conjonction « si » se place librement où l'on veut dans une phrase.
Si + proposition exprimant une concession
Dans une proposition introduite par si qui exprime non pas une condition, mais une concession, le verbe peut être au conditionnel ou au futur. Il pourra donc se terminer par ‑rai, ‑ra, ‑ront, ‑rais, ‑raient, etc.
au cas où, dans l'hypothèse où, quand, etc., suivies du conditionnel ; à condition que, à moins que, à supposer que, pour peu que, pourvu que, que… (ou) que, soit que…
1. Marque l'intensité d'un adjectif ou d'un adverbe (suivi d'une subordonnée de conséquence) : Il est si grand qu'il ne peut passer par cette porte. 2. Marque une intensité affective : Cet homme est si généreux !
On utilise la structure "Si + verbe à imparfait, verbe au conditionnel présent" pour exprimer une hypothèse. Exemple : Si j'avais une baguette magique, je changerais beaucoup de choses. Le conditionnel présent est formé sur la base du futur simple mais avec les terminaisons de l'imparfait.
Si : conjonction de subordination, introduit une proposition subordonnée de condition (ou d'hypothèse).
Lorsqu'elle est de forme affirmative (en (1) et (2), « il est humain »), la réponse dépend de la polarité de la question. Si la question est de forme affirmative, on emploie oui (cf. (1Ba)). Si elle est de forme négative, on emploie si (cf.
Le conditionnel présent se construit à partir du radical du verbe au futur suivi des terminaisons de l'imparfait : j'aimerais, tu aimerais, il aimerait, nous aimerions, vous aimeriez, ils aimeraient.
À chacun des quatre actes de langage fondamentaux correspond un type de phrase. Il y a donc quatre types de phrases : la phrase déclarative (ou assertive), la phrase interrogative, la phrase impérative (ou injonctive) et la phrase exclamative.
Pour exprimer une hypothèse (incertain) : si + imparfait → verbe 2 au conditionnel présent. Remarque : On utilise souvent Si j'étais (imparfait) + conditionnel présent pour exprimer un conseil. Si j'étais vous, je ne fumerais pas. Si j'étais toi, je me reposerais.
par exemple, comme, ainsi, c'est ainsi que, c'est le cas de, notamment, entre autres, en particulier, à l'image de, comme l'illustre, comme le souligne, tel que... LIAISON alors, ainsi, aussi, d'ailleurs, en fait, en effet, de surcroît, de même, également, puis, ensuite, de plus, en outre...
« Ci » en tant que pronom démonstratif est la contraction familière de « ceci » et s'oppose à « ça ». Par exemple : « comme ci comme ça », « fais ci fais ça ». Excepté dans l'expression « comme ci comme ça », il faut généralement écrire « comme si », suivi d'une hypothèse.
À titre d'exemple, si, outre qu'il exprime une condition, peut aussi signifier chaque fois que,à l'instar de lorsque et quand, lorsqu'il y a une idée de répétition indéfinie. De même, le HANSE précise que lorsque peut avoir un sens conditionnel, celui de dans le cas où.
On utilise SI (et pas OUI) lorsque l'on répond à une question négative de manière affirmative.
Quand introduire l'interrogation indirecte par si ? L'interrogation totale (appelant la réponse oui ou non), c'est-à-dire une question sans mot interrogatif, est introduite par si.
Alors que, répondre « oui » à une question interro-négative confirmerait « la négation » de la question ce qui ne veut rien dire puisque la réponse est positive. Le « si » est donc là pour transformer une question négative en réponse positive.
Synonyme : en admettant que, au cas où, dans le cas où, en supposant que. – Littéraire : supposé que.
1. La conjonction Si introduit une proposition subordonnée conditionnelle, dont le verbe peut être conjugué à différents temps de l'indicatif ou du subjonctif, selon que l'hypothèse énoncée est considérée comme réalisable ou pas.
Définition de si conjonction et nom masculin invariable devient s' devant il, ils. Introduit soit une condition (à laquelle correspond une conséquence dans la principale), soit une simple supposition ou éventualité.
Adverbes et conjonctions exprimant l'opposition ou la concession. Les adverbes (et locutions adverbiales) "quand même", "pourtant", "cependant", "néanmoins", "toutefois", "au contraire" et les conjonctions de coordination "mais" et "or" introduisent l'expression de l'opposition et de la concession.
« Mais », « ou », « et », « donc », « or », « ni », « car » : voilà quelles sont, en langue française, les conjonctions de coordination.
→ L'opposition permet de confronter deux faits ou deux arguments indépendants, qui ne se contredisent pas ou dont l'un n'empêche pas l'autre. Exemple : Alors que tout le monde est levé, il dort encore. → La concession intervient entre deux idées étroitement liées et opposées, dont l'une devrait empêcher l'autre.