Les légionnaires sont employés selon leur âge et leur expérience et valeur militaires. La légion comprend 4 200 hommes. Les légionnaires proprement dits sont équipés complètement. Ils sont répartis entre 30 manipules de 60 à 120 hommes.
Chaque légion est composée, à l'époque médio-républicaine, de 4 200 à 5 000 fantassins, et de 300 cavaliers, tandis que les unités alliées étaient composées d'un nombre à peu près égal de soldats, avec cependant un effectif monté plus important (environ 600 à 900 cavaliers par unité).
Les légions étaient composées de nombreux soldats qui étaient répartis en dix cohortes. Parmi ces dix cohortes, il y en avait une qui était plus prestigieuse que les autres : la première. Chaque légion se composait de 6 000 soldats, donc chaque cohorte comportait 600 soldats.
Une armée en mutation
Cette métamorphose de l'armée fait apparaître une nouvelle classe de soldats, les veterani, qui ont servi dans l'armée plusieurs années durant. Leur démobilisation, après plus de quinze ans de service, pose un problème à la République puis à l'Empire2.
Durant l'époque républicaine, le commandement de l'armée romaine est confié généralement à un consul, le plus haut magistrat de la ville de Rome. Des duces (généraux ; dux au singulier) pouvaient commander plusieurs légions dans une région donnée. Les généraux victorieux d'une campagne étaient proclamés imperator.
TRIBUN, subst. masc. 1. Représentant élu de la plèbe chargé de la défense des droits et des intérêts des plébéiens contre les patriciens et les consuls et dont le pouvoir, très important, était limité à Rome et à sa banlieue.
Le centurion (en latin : centurio ; en grec : εκατονταρχος, hekatontarchos) était un des degrés de la chaîne de commandement de l'armée romaine. Il s'agit d'un officier qui peut (mais pas forcément) commander une centurie dans la légion romaine. Il y en avait 60 dans chaque légion.
Le légionnaire qui s'est distingué au combat accède à la première classe, ce qui le dispense des corvées. Le légionnaire ne peut espérer dépasser le grade de centurion. Il portait 35 kg de bagages. Mais attention il n'y a pas que les légionnaires.
Réponse : On nomme chaque groupe de citoyens à Rome une centurie.
Les revenus du soldat. Le stipendium ((Stipendium, ii, n. : ce terme désigne aussi bien la solde militaire que l'année de campagne.)), la solde, représente l'essentiel de la fortune du légionnaire flavien.
Alaric Ier, le roi des Wisigoths, après avoir envahi l'Italie, s'empare de Rome et la livre au pillage, avant de partir s'installer en Gaule méridionale. Le dernier empereur, Romulus Augustule sera détrôné par le roi barbare Odoacre en 476. Ce sera la fin de l'Empire romain d'Occident.
La traduction la plus communément retenue est « Fortitudo et Honor » pour la dimension « phénoménale » et moins nuancée de la force qui, arborée, permet d «'impressionner » l'adversaire. Mais « Virtus et Honor » correspond plus aux valeurs aristocratiques de la Rome antique.
Une cohorte auxiliaire est dirigée par un préfet, ou s'il s'agit d'une cohorte milliaire par un tribun. Après la réforme de Claude ces officiers sont des membres de l'ordre équestre, la préfecture de cohorte étant le premier poste de la carrière équestre.
Les légionnaires sont employés selon leur âge et leur expérience et valeur militaires. La légion comprend 4 200 hommes. Les légionnaires proprement dits sont équipés complètement. Ils sont répartis entre 30 manipules de 60 à 120 hommes.
légionnaire n.m. Soldat d'une légion romaine. légionnaire n. Membre de la Légion d'honneur.
Seuls les citoyens romains peuvent devenir légionnaires. Des troupes d'auxiliaires complètent les effectifs de l'armée : elles sont recrutées parmi les pérégrins, des hommes libres issus de territoires contrôlés par Rome. A la fin de leur service dans l'armée, ils obtiennent la citoyenneté romaine.
Les pérégrins (étrangers)
C'est pourquoi ils sont appelés "étrangers", puisqu'ils n'étaient pas Romains à la naissance. Ils doivent payer des impôts et n'ont aucun droit politique.
Étrangers : Pérégrins (peregrini) hommes libres, citoyens dans leur communauté (civitas), mais étrangers pour les Romains, et soumis à la capitation.
− HIST. ROM. Personne qui appartenait, de par sa naissance, à la classe sociale la plus élevée chez les citoyens romains, qui jouissait de nombreux privilèges et qui, à l'origine, pouvait seule prétendre à une haute magistrature.
Instituée le 19 mai 1802 par Napoléon Bonaparte, la Légion d'honneur récompense « les mérites éminents acquis au service de la nation à titre civil ou militaire » (art. R. 1). Elle regroupe trois grades, chevalier, officier et commandeur, et deux dignités, grand officier et grandcroix.
Parmi les conséquences économiques des conquêtes, celles-ci provoquèrent tout d'abord le développement des échanges de toute nature à travers tout le bassin méditerranéen.
En 70 après Jésus-Christ, sous le règne de l'empereur Vespasien, La Legio VIII Augusta comprend environ 5500 hommes répartis en 10 cohortes. Les neuf cohortes suivantes, numérotées de II à X ( de gauche à droite sur le panneau), se divisent chacune en 6 centuries de 80 légionnaires.
(Figuré) Orateur qui s'érige en défenseur des droits, des intérêts du peuple (pour une femme, on dit : tribunesse ).
Le Patriciat est donc cercle fermé aux autres se composant de groupes de familles assez puissantes pour dominer la religion romaine. Les plébéiens,eux, étaient des hommes libres non-privilégiés, ils formaient donc la plus grande partie de la population romaine.
Catégorie la plus nombreuse de la société romaine, qui s'opposait à celle des patriciens et formait avec elle le populus. 2. Littéraire et péjoratif. Le peuple, le bas peuple ; populace.