Pour satisfaire un besoin, il est nécessaire d'agir. L'individu et le temps étant étroitement liés dans l'action qui se vit au présent, le temps apparaît comme un objet d'étude incontournable pour envisager les moyens de les satisfaire autrement.
Organisez vos journées, restez en contact avec vos collègues, mettez en place des petits rituels, planifiez des réunions (de travail et de partage d'émotions si besoin), octroyez-vous des moments d'activité et des moments de repos. Pour les enfants, mettez en place des règles claires de fonctionnement.
Estime (confiance, respect des autres et par les autres, estime personnelle). Et dans le travail, on peut trouver une satisfaction des autres besoins, on peut penser à l'estime de soi que peut donner la réussite d'un ouvrage, l'exercice d'un talent, d'un savoir-faire.
Les groupes qui permettent de satisfaire ce besoin sont nombreux : une famille, une entreprise, une communauté religieuse, un parti politique, une association, un club, une bande de jeunes, etc…
Recherchant ce qui se cache derrière ces motivations, il met au jour cinq (groupes de) besoins fondamentaux : les besoins physiologiques, les besoins de sécurité, les besoins d'appartenance et d'amour, les besoins d'estime et le besoin d'accomplissement de soi.
Chacun doit apprendre à reconnaître ses propres besoins au risque de répondre à ceux des autres. Il s'agit également d'apprendre à dire non, à poser des limites, à se respecter inconditionnellement. Parfois, il est nécessaire de passer par une phase « égocentrique », au tout du moins par un « égoïsme altruiste ».
Nous pouvons identifier des besoins dans 3 domaines : physiques, psychologiques et existentiels.
Ils font l'amour pour renforcer leur intimité et se sentir plus proches de leur partenaire, beaucoup plus que pour se faire plaisir. Et c'est cet état d'esprit qui entretient leur désir l'un pour l'autre. »
Nous ne pouvons satisfaire la plupart de nos besoins qu'à la condition de nous donner une peine, laquelle peut être considérée comme une souffrance. Il en est de même de l'acte par lequel, exerçant un noble empire sur nos appétits, nous nous imposons une privation.
Le choix que l'individu fait doit lui permettre de maximiser sa satisfaction totale, tout en prenant en compte le budget dont il dispose et les prix relatifs des biens et services qu'il consomme.
Énoncer un besoin
On utilise pour cela un graphe parfois appelé “bête à corne”. Il suffit de répondre aux trois questions fondamentales : “À qui sert l'objet ?”, “Sur quoi agit l'objet ?” et “Dans quel(s) but(s) ?”. La dernière question “Dans quel(s) but(s) ?”, nous permet d'énoncer la fonction d'usage de l'objet.
L'expression de besoins doit être claire, concise et synthétique. Elle expose des faits et ne s'attarde pas sur la solution technique à apporter. Elle décrit simplement votre besoin. Pour ce qui est du contenu, il est recommandé d'écrire des phrases courtes et factuelles.
Ces adjectifs trahissent une interprétation par la tête, pas par le cœur. Quelques sentiments fondamentaux qui nous animent liés à des besoins non satisfaits : je me sens nerveux, en colère, anxieuse, impatient, tendue, triste, impuissante, perplexe, découragé, seule, mal à l'aise…
Les besoins systémiques de base sont l'échange systémique et l'équilibre entre donner et recevoir. Un autre besoin important est le respect mutuel. Enfin, un besoin d'honorer son sexe, virilité ou féminité, d'être accepté comme homme ou comme femme est primordial.
Vous pouvez aussi répondre avec humour (selon l'interlocuteur que vous avez en face de vous, bien sûr) : “Qu'es-tu allée faire à Paris hier ?” “Écoute, si l'on te pose la question, tu pourras toujours dire que tu ne sais pas !” ? L'humour est souvent une bonne façon de détourner l'attention sans blesser personne, vous ...
On peut les remplacer par d'autres: “En pleine forme!”, “Impeccable!”, “Nickel!”, etc. Retiens aussi cette autre expression familière qu'on entend souvent: “Ça roule!”, qui signifie que tout va bien. Dans le même genre, on peut dire “Je ne me plains pas.” ou “Tout va bien.”