La réponse est très décevante pour tous les gourmands : non, selon le codex des bonnes manières, il ne convient pas de saucer son assiette avec son pain. Toutefois, s'il ne s'agit pas d'un dîner trop protocolaire, vous pouvez prendre un morceau de pain dans lequel vous planterez votre fourchette pour saucer.
» S'il est autorisé de saucer son assiette avec un morceau de pain, il faut éviter de "nettoyer" son assiette. Vous passeriez pour un gourmand ou pour quelqu'un qui n'a pas mangé à sa faim. Il en est de même pour l'assiette à soupe. Soulevez son assiette pour racler le fond n'est guère indiqué.
Selon les règles du savoir-vivre, saucer un morceau de pain dans son assiette va à l'encontre des règles élémentaires du «code de la table». Dans son livre, L'art de saucer (Editions de l'Epure), Mayalen Zubillaga constate clairement que ce «n'est pas une pratique socialement acceptable».
Dans notre culture catholique occidentale, il est considéré comme très impoli d'utiliser un couteau pour couper son pain à table car ce dernier est sacré. Cela vient de la culture catholique qui définit le pain comme le corps du Christ qu'il faut donc traiter spécialement.
On peut faire tourner une corbeille à pain ou placer des petits pains individuels à gauche de chaque convive. Le fait de mettre le pain à gauche dans une petite assiette se fait lorsque les repas sont importants et que la maitresse de maison a décidé de faire dresser une table dans la pure tradition du savoir vivre.
"S'essuyer ne veut pas dire se débarbouiller, insiste l'auteure. On se tamponne la bouche de manière discrète en tapotant furtivement sur ses lèvres.
- Ne vous penchez pas sur votre assiette, ni sur votre fourchette, mais approchez vos couverts jusqu'à votre bouche. - Mastiquez la bouche fermée et sans bruit. - Ne touchez jamais les aliments avec vos mains, excepté le pain. - Ne parlez pas la bouche pleine.
Pour chacun des services, la première personne qu'il faut servir est celle qui se trouve à la droite immédiate de l'hôte. Ensuite, on sert le convive à gauche de l'hôte et ainsi de suite jusqu'au bout de la table.
C'est l'homme qui sert les boissons, jamais la femme, également lorsqu'il s'agit d'ouvrir une bouteille de vin.
Si vous servez le vin, évitez de déposer la bouteille sur le bord du verre. C'est plus hygiénique. 15. Si l'on ne veut plus de vin, on en laisse un petit fond dans son verre au lieu de mettre la main sur le verre ou de « tirer dessus ».
Prendre la première assiette de la main gauche, le pouce placé sur le bord de l'assiette. Laisser l'auriculaire et l'annulaire totalement libres. Caler la deuxième assiette sous la première en la maintenant avec l'index, le majeur et l'annulaire.
La présentation: A côté de la serviette de table, en tranches ou en petits pains individuels. On peut également le mettre (préalabelement découpé à l'aide d'un couteau à pain, en biseaux ou droit) dans une corbeille à pain qu'on proposera plusieurs fois au cours du repas puis qu'on posera sur une desserte.
N'enfournez pas directement votre pain dans la bouche, rompez-le en petits morceaux avant de le manger. Ne coupez pas le pain avec votre couteau ou vos dents, mais avec les doigts. Ne "saucez" pas votre assiette, même si votre bout de pain est au bout de votre fourchette. Ne grignotez votre pain avant le premier plat.
Choisir minimum 3 repas par semaine sur lesquels on se fixe un objectif. Plus on expérimente, plus on par- vient à corriger son schema alimen- taire. Eviter de prendre une 2ème bouchée avant d'avoir avalé la première. On ne se ressert pas, même pour les aliments basses calories.
À cette époque, nombreuses étaient les personnes qui se réunissaient autour de la table pour partager le repas. On était donc plus serré, avec peu d'espace pour chacun. Alors, pour ne pas gêner ses voisins, il n'était pas convenable de poser les coudes sur la table.
Par exemple, le fait de laisser passer la porte aux femmes en premier viendrait du fait que les assassins profitaient que l'on ne puisse passer qu'un par un par les portes pour y attendre leurs victimes. Laisser passer la femme en premier était donc un moyen de se protéger.
En coupant les feuilles, la lame du couteau était ternie par la vinaigrette, acide, utilisée pour l'assaisonnement. Cela pouvait aussi provoquer l'apparition d'un «jus» grisâtre peu appétissant.
Certaines personnes superstitieuses considèrent que poser le pain à l'envers sur une table attire le diable et porte malheur. Cette croyance est née au Moyen Age. A cette époque, le bourreau était souvent peu apprécié dans les villes, car son métier lié à la mort.
L'on se souvient, quand on étaient enfants, nos parents nous exhortaient à embrasser le pain avant de le déposer délicatement dans un coin propre en attendant que les éleveurs de volailles viennent le récupérer.
Il y a d'abord la religion, ou faire le signe de croix sur le pain est une coutume de la religion catholique, comme pour bénir le pain avant de l'entamer, un peu comme Jésus a béni le pain juste avant de le rompre, la veille de sa mort, lors de la Cène.
Afin que le bourreau puisse l'identifier, le commerçant lui mettait alors sa miche à l'envers. Les clients, au courant de cette distinction, évitaient de toucher le pain en question par peur d'attraper le mauvais oeil. C'est ainsi que le pain retourné fut associé au malheur.
La superstition selon laquelle présenter le pain à l'envers sur une table attire le diable remonte au Moyen Age. A cette époque, la peine de mort est largement pratiquée. Elle est exécutée en public, souvent à l'heure du marché afin que le peuple puisse y assister.
Dans le cas ou la salade se mange après le plat principal, le couvert pour celle-ci, une fourchette donc, se place idéalement du côté gauche de l'assiette, à droite de la fourchette servant pour le plat principal.
Nous venons de voir qu'il faut toujours laisser la femme passer en premier. En revanche, lorsqu'un couple entre dans un lieu public (restaurant, cinéma etc.) l'homme doit toujours précéder la femme en entrant.