S'exprimer à l'oral demande avant tout de savoir placer des mots variés pour que votre cible puisse vous comprendre en une seule phrase. Oubliez le superflu et travaillez votre expression orale : diction, expression, comparaison, métaphore, etc. Tout est bon pour que vous puissiez faire la différence.
Poussez volontairement la voix, sans crier, forcez vous à parler à la limite du supportable pour vous. C'est à ce moment là que vous atteindrez le niveau sonore optimal pour que vos interlocuteurs puissent vous entendre correctement. Une conversation normale tourne autour de 60 décibels.
Tout d'abord, pour apprendre à parler, il est bien de commencer par l'écriture des textes. Mettre nos pensées sur la feuille nous discipline énormément. Autres choses, nous pouvons mettre un cadre concernant le volume de notre travail, ce qui nous aide à apprendre à parler plus court et plus clairement.
Respiration. Plus vous vous laisserez embarqué par le stress, plus ce sera compliqué. Terminez votre phrase dès que possible ou assumez que vous avez perdu le fil et prenez une bonne respiration. ...
Préparation. Profitez de ce temps pour vous remettre dans vos notes.
Le titre de mon exposé est ... Aujourd'hui, nous sommes réuni(e)s ici pour parler de… / aborder la question / débattre de … Aujourd'hui, nous allons parler de … Présentation du titre Dans mon exposé, je vais parler de / je vais vous présenter/montrer..
Parler avec constance, même si vous êtes avec beaucoup de gens, est un signe de classe, car cela signifie que vous avez suffisamment confiance en vous pour n'avoir pas besoin de crier pour attirer l'attention des gens.
l'aphasie est un trouble du langage est assez fréquent. Bien souvent, il s'agit d'une séquelle d'accident vasculaire cérébral, de traumatisme crânien ou encore de tumeur cérébrale. L'aphasie correspond à la perte partielle ou totale du langage.
Il peut s'agir de l'aphasie mais ça peut aussi provenir d'une toute autre cause. Une cause par exemple motrice, une maladie musculaire, une maladie des nerfs moteurs qui empêche la prononciation des consonnes. Il faut donc un diagnostic neurologique.
Ce blocage viendrait d'un défaut de transmission entre les zones du cerveau. Entre celles qui stockent le sens du mot et celles qui conservent sa forme phonologique et graphique. Un contexte trop éloigné, un peu de fatigue, du stress, et les connexions neuronales ne se font pas. C'est le « couac ».
Des facteurs psychologiques comme l'anxiété ou l'hyperémotivité peuvent également être à l'origine du bégaiement. Un climat tendu ou un choc émotionnel peuvent provoquer un bégaiement. Des adultes peuvent ainsi en souffrir après un accident ou un évènement traumatisant, alors qu'ils n'avaient jamais bégayés auparavant.
L'alexithymie est un trouble de la régulation émotionnelle, largement observée dans les maladies psychosomatiques. Elle se concrétise par de grandes difficultés à identifier et à décrire ses sentiments et ceux des autres.
Pourquoi je n'arrive pas à exprimer ce que je ressens ?
Incapacité à ressentir certaines émotions ou grande difficulté à mettre un mot sur un ressenti, l'alexithymie, sorte d'anorexie des sentiments, handicape les personnes qui en sont atteintes. "Je ne sais pas ce que je ressens." Voilà ce que pourrait dire un alexithymique.
Regardez la personne qui parle dans les yeux et prêtez attention à ce qu'elle dit. Réagissez de manière appropriée à ce qui se dit. Souriez quand vous entendez quelque chose d'amusant, froncez les sourcils quand vous entendez quelque chose de triste et faites un signe de tête poli pour montrer que vous êtes à l'écoute.
La dysphonie est due à une altération de la vibration des cordes vocales. Elle survient généralement lorsque le larynx (organe du système respiratoire situé au niveau de la gorge) ou les cordes vocales présentent une lésion, une inflammation ou une gêne.
Outre le fait d'engager une respiration basse, le meilleur moyen d'avoir une voix qui porte consiste à se relaxer. Vous pouvez intervenir sur plusieurs leviers tels que : Les muscles du cou, qu'il est possible de détendre par une légère pression sur le haut du crâne, tête rentrée vers le bas.