- si : conjonction de subordination / adverbe d'intensité / adverbe qui équivaut à « oui ». - s'y : pronom « se » + « y ». - ci : adverbe. « s'y » précède toujours un verbe.
Comme pronom démonstratif (contraction familière de ceci), ci s'oppose à ça : comme ci comme ça ; fais ci, fais ça. Pas de trait d'union dans ce cas. si peut être une conjonction de subordination qui indique une condition. Si peut être aussi un adverbe de quantité, d'affirmation, d'interrogation ou d'exclamation.
- « c'est » remplace « cela est, ceci est ». Il s'utilise lorsqu'on annonce ou présente quelque chose. Exemple : C'est bien dommage. (Cela est bien dommage.)
C'est : Cette expression est formée de c' un pronom démonstratif et du verbe être à la troisième personne du singulier est. S'est : Cette expression se forme de s', la forme contractée de se, le pronom personnel réfléchi et de est, troisième personne du singulier du verbe être.
Quand et comment utiliser « c'est / ce sont » en français ? « C'est » se place devant un nom masculin ou féminin singulier et « ce sont » précède un nom masculin ou féminin pluriel.
soit la condition, soit l'interrogation, soit l'intensité, soit, encore, une comparaison à la place de 'aussi '.
Ellipse de 'si c'est possible'. S'emploie pour suggérer l'accomplissement futur et éventuel d'un fait ou d'une action, dans le cas où aucun élément contraire ne viendrait perturber son bon déroulement.
s'il s'avère que, s'il est vrai que, dans la mesure où ...
Si est une conjonction de subordination qui introduit deux types de subordonnées.
Deci delà est une variante orthographique de de-ci de-là, qui signifie "De côté et d'autre, par-ci par-là, par endroits". Exemple : Le petit insecte allait deci delà, au gré du vent, au gré des fleurs, dans une belle envolée, éphémère et lumineuse.
Mais : "Ce jour-là", "Ce mois-ci", "Ce mois-là", "Cette année-ci", "Cette année-là", "Cette fois-ci", "Cette fois-là", "Cette semaine-ci" et "Cette semaine-là" ! Avec un trait d'union. "Il suffit de s'y mettre" ou : Pour une limitation de l'emploi abusif ou inutile du verbe "Mettre".
(Familier) Il s'emploie seul, pour indiquer que l'on n'a pas entendu ou compris et que l'on invite l'interlocuteur à répéter.
Locution-phrase
(Familier) Si tu es d'humeur à faire cela; si tu en as envie.
Devant un mot commençant par une voyelle, "on" peut se confondre avec "on n'". Pour savoir si vous devez écrire on ou on n', il faut mettre le verbe à une autre personne pour voir s'il est à la forme négative ou affirmative.
Locution adverbiale
En faisant tout ce qui est possible (pour atteindre un objectif ou s'en approcher).
Formule de politesse généralement utilisée pour terminer l'écriture d'un e-mail, d'un message, d'une lettre. Exemple : Bien cordialement, très cordialement, cordialement vôtre, bien à vous, au plaisir de vous revoir.
On pourrait dire aussi est « est-ce possible » est strictement la forme interrogative de « c'est possible » (cela est possible) : [i]C'est possible de réserver aujourd'hui ; Est-ce possible de réserver aujourd'hui .»
IF A2 (25) est supérieur à 0, ET B2 (75) est inférieur à 100, retourner VRAI, sinon retourner FAUX. Dans ce cas, les deux conditions étant vraies, la valeur VRAI est retournée. Si A3 (« Bleu ») = « Rouge », ET B3 (« Vert ») est égal à « Vert », retourner VRAI, sinon retourner FAUX.
C'est est un pronom démonstratif (cela) accompagné du verbe être au présent de l'indicatif. Il est souvent placé en début de phrase.
L'astuce pour repérer s'il faut écrire « se » est simple, si dans le contexte précis, vous ne pouvez pas remplacer votre pronom personnel par « cela », donc vous ne pouvez pas utiliser le pronom « ce ». Astuces supplémentaires : Vous ne devez écrire « ce » que lorsque vous ne pouvez pas le remplacer par « me ».
La forme « ce sont » est composée du pronom démonstratif ce suivi du verbe être conjugué à la 3e personne du pluriel à l'indicatif présent : Ce sont mes enfants. « se sont » est suivi du participe passé du verbe à la forme pronominale : Elles se sont inscrites à la médiathèque.
souligne une remarque désagréable mais justifiée.
Les ch'tis n'utilisent pas une serpillière, ils appellent ça « une wassingue » (qu'ils prononcent « ouassingue »). D'ailleurs, en ch'timi, « wa » se dit toujours « oua » (un wagon est un ouagon).
Remplir les blancs par des « euh », c'est une manière de les « meubler » ou de vous donner un temps de réflexion avant de répondre à une question. Pour les éradiquer complètement, forcez-vous à utiliser des courts silences.