Pour déterminer s'il s'agit d'un polynôme, nous devons d'abord vérifier si chacun des cinq termes est monôme. Cela signifie qu'elles doivent être le produit de constantes et de variables et que les variables doivent avoir des exposants positifs.
Une fonction polynôme de degré 2 f est définie sur ℝ par f (x) = ax2 + bx + c, où a, b et c sont des nombres réels donnés et a ≠ 0.
Un polynôme, en algèbre générale, à une indéterminée sur un anneau unitaire est une expression de la forme : où X est un symbole appelé « indéterminée du polynôme », supposé être distinct de tout élément de l'anneau, les coefficients ai sont dans l'anneau et n est un entier naturel.
Les exposants dans les monômes, les binômes, les trinômes et les polynômes sont toujours des nombres naturels. 3x1/2+2x−4 3 x 1 / 2 + 2 x − 4 n'est pas un polynôme puisque l'exposant de la variable x n'est pas un nombre naturel.
Définition: fonctions polynomiales
Un polynôme est une expression qui est une somme de monômes. Une fonction dont l'expression est un polynôme est appelée fonction polynomiale. Par exemple, on a vu que 𝑥 + 1 n'est pas un monôme, mais c'est un polynôme car c'est la somme de deux monômes.
Soient P ( x ) = a x 2 + b x + c P(x) = ax^2+bx+c P(x)=ax2+bx+c polynôme du second degré et Δ \Delta Δ son discriminant. Si Δ < 0 \Delta < 0 Δ<0, alors P P P est de signe constant égal au signe de a a a sur R R R.
Une fonction polynôme est la somme de fonctions monômes.
Par abus de langage, on parle souvent de polynôme au lieu de fonction polynôme. Un polynôme de degré deux est aussi appelé trinôme du second degré. -ax² + bx + c est un trinôme du second degré.
Comme toute valeur constante, la valeur 0 peut être considérée comme un polynôme (constant), appelé le polynôme nul. Il n'a aucun terme non nul et ainsi, de façon rigoureuse, il n'a pas de degré non plus.
De la même façon, on dit que polynômes P 1 , P 2 , . . . , P n sont premiers entre eux dans leur ensemble si leur PGCD est égal à 1.
– Si tous les coefficients ai sont nuls, P est appelé le polynôme nul, il est noté 0. – On appelle le degré de P le plus grand entier i tel que ai = 0 ; on le note degP. Pour le degré du polynôme nul on pose par convention deg(0) = −∞. – Un polynôme de la forme P = a0 avec a0 ∈ K est appelé un polynôme constant.
Pour déterminer le PGCD de deux polynômes on applique l'algorithme d'Euclide, utilisant les divisions euclidiennes successives des polynômes et les résultats suivants : dans la division euclidienne de F par G , si F = G Q + R , alors P G C D ( F , G ) = P G C D ( G , R ) = P G C D ( G , λ R ) où λ est un scalaire non ...
Diviseurs et divisibilité dans l'ensemble des polynômes
Soient les polynômes , et . Si P = Q × R , alors et sont des diviseurs de . Par exemple, 2 x ( x + 3 ) = 2 x 2 + 6 x . Donc et sont des diviseurs de 2 x 2 + 6 x .
Deux nombres entiers sont dits premiers entre eux lorsqu'il n'admette aucun diviseur commun, sinon l'unité. Par exemple 5 et 12 sont premiers entre eux, mais pas 12 et 15 qui admettent 3 comme diviseur commun.
Définition de binôme nom masculin
Mathématiques Polynôme composé de deux termes (somme algébrique de deux monômes*). Le binôme 5x3– 2x.
Pour P(x) = ax + b,a 0, P est un polynôme du premier degré et pour P(x) = ax2 + bx + c,a 0, P est un polynôme du seconde degré. Pour k allant de 0 à n, les réels ak sont appelés coefficients de degré k du polynôme P. ! Par convention, le degré du polynôme nul, P(x) = 0 est égal à −∞.
Somme d'expressions algébriques formées par des termes où figurent une ou plusieurs variables. Exemple : 3X3 + 56X2 + 2 est un polynôme de la variable X.
Pour additionner un polynôme à un autre, il faut additionner chacun des termes semblables du second polynôme à ceux du premier et réduire l'expression algébrique obtenue.
Une fonction polynôme du second degré est une fonction définie sur R par , avec a un réel non nul, b et c deux réels. Sa représentation graphique est une parabole dont les branches sont tournées vers le haut lorsque et vers le bas lorsque . Le sommet S de la parabole est le point de la parabole d'abscisse .
On calcule le discriminant Δ = b2 – 4ac de la fonction polynôme f définie par f(x) = ax2 + bx + c. Étudier le signe du discriminant Δ. Si Δ < 0, alors cette équation n'admet pas de solutions réelles. Si Δ = 0, alors cette équation admet une solution unique .
C'est donc une équation du second degré. Le nombre de solutions de l'équation ax^2+bx+c=0 (avec a\neq 0), dépend du signe du discriminant \Delta : Si \Delta<0, l'équation n'admet aucune solution réelle. Si \Delta=0, l'équation admet une unique solution (dite « double ») : x_0=\dfrac{-b}{2a}.
Pour factoriser une somme, il faut repérer le facteur commun aux différents termes de la somme. A : le facteur commun est x ; si l'on développe x(x − 5), on retrouve bien x2 − 5x. B : le facteur commun est 2x ; si l'on développe 2x(x − 3 + y), on retrouve bien 2x2− 6x + 2xy.
Nombres premiers
Un nombre entier naturel (supérieur ou égal à 2) est un nombre premier s'il admet exactement 2 diviseurs : 1 et lui-même. Exemple : 2, 3, 5, 7, 11, 13, 17, 19 … sont des nombres premiers.
135 et 120 ne sont pas premiers entre eux car ils ont en plus comme diviseur commun que le 1 au moins le 5. Ils ne sont pas premiers entre eux car tous les deux sont pairs, c'est-à-dire divisible par 2. Ils ne sont pas premiers entre eux car tous les deux sont divisibles par 3.
Grâce au crible ou tout autre moyen, listons les nombres premiers plus petits que 200 : 2, 3, 5, 7, 11, 13, 17, 19, 23, 29, 31, 37, 41, 43, 47, 53, 59, 61, 67, 71, 73, 79, 83, 89, 97, 101, 103, 107, 109, 113, 127, 131, 137, 139, 149, 151, 157, 163, 167, 173, 179, 181, 191, 193, 197 et 199.
Pourvu que A soit un anneau intègre, c'est-à-dire si le produit de deux éléments non nuls de A n'est jamais nul, alors on dit qu'un polynôme P∈A[x] est irréductible s'il est de degré au moins 1 et si la seule façon d'avoir P=QR avec Q,R∈A[x] est que l'un des deux polynômes Q et R soit une constante (c'est-à-dire de ...