bouffées de chaleur, fièvre. sensations de malaise, maux de tête, maux de ventre, nausées, vomissements. tête qui tourne, vertiges, pertes d'équilibre. trous noirs, troubles de la mémoire, hallucinations, amnésie.
Une piqûre de seringue se présente comme un petit orifice, généralement entouré par un hématome. En d'autres termes, un tout petit trou cerné de rouge ou de bleu. "Mais la difficulté réside dans le fait que la réaction dépend de chacun. Certains ne vont absolument pas bleuir, par exemple", précise Amine Ayari.
Plusieurs données restent encore floues, notamment la cause des symptômes évoqués par les victimes. Les enquêteurs tentent d'établir si les piqûres sont liées à des injections de drogues comme le GHB, dite "drogue du violeur".
Avec l'usage du GHB à des fins criminelles dans les boîtes de nuit, c'est le phénomène des piqûres mystérieuses qui prend de l'ampleur dans ces mêmes établissements. Et un peu partout en France.
En France, du GHB - aussi appelé la drogue du violeur - a été retrouvé dans le sang de quelques victimes début mai à Roanne (Loire). Plusieurs femmes avaient subi des piqûres dans une boîte de nuit de la ville.
Le fait de se piquer par accident avec une aiguille contaminée peut permettre à des liquides dangereux de pénétrer dans l'organisme par la peau. Le risque d'injection de médicaments dangereux existe, mais le risque posé par les liquides infectieux, en particulier le sang, est de loin le plus préoccupant.
L'aiguille perce les 3 couches de ta peau : l'épiderme (insensible), le derme, puis l'hypoderme. En s'enfonçant la pointe de l'aiguille touche quelques terminaisons nerveuses, ce qui produit la première petite sensation de douleur.
En cas de piqûre accidentelle avec une seringue usagée dans la communauté, il est recommandé de : ― Examiner et nettoyer soigneusement la plaie à l'eau et au savon, le plus rapidement possible. Éviter de pincer la chair autour de la plaie. Éviter l'application d'alcool ou d'un autre désinfectant.
Les AES exposent au risque de transmission d'agents infectieux, dont le VIH et les virus des hépatites B (VHB) et C (VHC).
CONTRACTER DES INFECTIONS COMME LE VIH (virus de l'immunodéficience humaine), l'hépatite B et l'hépatite C si vous entrez en contact avec le sang ou les fluides corporels d'une personne infectée (la personne source).
On définit comme accident avec exposition au sang tout contact percutané (piqûre, coupure) ou muqueux (œil, bouche) ou sur peau lésée (eczéma, plaie) avec du sang ou un produit biologique contenant du sang pour lesquels le risque viral est prouvé.
La douleur n'est pas forcément immédiate : une piqûre de moustique est indolore, c'est la salive de la femelle moustique, injectée sous la peau, qui démange. En revanche, une piqûre de frelon, de guêpe ou d'abeille provoque de suite une vive douleur.
Tenez la tige de la seringue comme on le fait une fléchette. Tenez le muscle autour de cette région afin qu'elle soit stable et sécuritaire. Insérez l'aiguille directement à travers la peau à l'angle droit (angle de 90°) dans le muscle. Essayez d'exécuter cette action rapidement.
Alors, pourquoi aller en boîte de nuit ? Vous êtes fatigué de la routine et du stress du travail et vous avez besoin de sortir pour vous changer les idées. Une boîte de nuit vous permet d'écouter de la bonne musique et de danser pour arrêter de penser au travail et à toutes les sources de stress autour de vous.
Pour cette raison, le rythme agit comme un anti-stress. Il est notamment utilisé en danse-thérapie pour soigner de nombreuses pathologies. Pour se faire du bien, il ne reste donc qu'une chose à faire : aller danser !
Une piqûre au niveau du visage (paupières, lèvres…) ou du cou, dans la bouche ou dans la gorge peut rapidement entraîner un œdème volumineux. Ce gonflement peut provoquer une difficulté respiratoire. Dans les cas les plus graves, il existe un risque vital.
Un coût financier et mental
La principale : ces générations sont beaucoup moins enclines à consommer de l'alcool ou de la drogue en excès. Aller en boîte a aussi un coût non négligeable et pas mal de jeunes n'ont pas envie de dépenser le peu d'argent perçu dans des verres en soirée.
Selon une récente étude, sortir en boîte de nuit serait en effet aussi efficace qu'une séance de fitness... Que vous le vouliez ou non, aller en boîte de nuit c'est finir la soirée en nage tellement vous vous êtes déchaînés sur le dancefloor !
Elle agit positivement sur le corps, le cerveau, l'humeur et le lien social. Cette activité qui épanouit les enfants, soude les couples et rajeunit les retraités est plus bénéfique à l'homme que n'importe quel sport, assure la neurobiologiste Lucy Vincent dans Faites danser votre cerveau!.
de la difficulté à parler; des vomissements; des battements de cœur lents, irréguliers ou rapides; une perte de conscience.
Prenez un verre.
S'amuser en boite de nuit n'est pas forcément synonyme de se souler, mais pensez à commander un verre au bar et à le siroter pendant que vous discutez avec vos amis. Cela vous aidera à vous détendre, à vous adapter au club et peut-être même à rencontrer des inconnus ! Buvez de façon responsable.