Troubles qualitatif de l'interaction sociale. Comportements, intérêts et activités limités, répétitifs, stéréotypés. Troubles qualitatifs de la communication verbale ou non-verbale. Troubles de l'imagination.
Les autistes Asperger ou de haut niveau n'ont simplement pas de retard mental, leur QI est compris entre 70 et 160.
La neuroatypie ne se diagnostique pas comme une maladie. L'autisme même reste un sujet sensible.
De nombreuses femmes autistes, sans déficience intellectuelle associée, atteignent souvent l'âge adulte sans être diagnostiquées.
Oui, les personnes autistes peuvent ressentir des émotions et aimer ou s'attacher à d'autres personnes et avoir une relation amoureuse. Elles pourront par contre ne pas toujours reconnaître les signaux sociaux envoyés par une autre personne. Elle peuvent aussi ne pas toujours reconnaître leurs propres émotions.
Un homme ou une femme atypique, c'est avant tout une personnalité, une façon de vivre. Ce sont souvent des gens en décalage avec leur environnement, qui peuvent se différencier par leur look, leur sensibilité, leur façon de travailler, de réfléchir… Ils se sentent souvent comme le petit canard noir de la famille.
Chez les personnes avec un Haut Potentiel Emotionnel, le vécu de décalage vient du niveau très élevé de leur intelligence émotionnelle. Ce qui va souvent avec, c'est une empathie particulièrement développée, c'est-à-dire une compréhension des intentions, des pensées et des émotions des autres qui est très fine.
La personne à haut potentiel émotionnel est capable de bien mieux comprendre et recevoir les émotions que la moyenne. C'est un type de surdouance de la compréhension des sentiments, à la fois les siens et ceux des autres. L'intelligence émotionnelle est une intelligence au même titre que l'intelligence traditionnelle.
Un·e enfant ne devient pas autiste mais vient au monde avec ce trouble. L'éducation et la qualité des relations parents-enfants n'ont rien à voir dans la survenue de l'autisme. Le lien entre le vaccin ROR et l'apparition de l'autisme a été scientifiquement réfuté.
Les personnes dites neurotypiques sont les personnes au fonctionnement “typique”, autrement dit “standard”, généralement considéré comme “normal”. Dans notre jargon, nous utilisons souvent l'adjectif “neurotypique” pour qualifier les personnes non autistes, ou plus largement n'ayant aucun trouble neurodéveloppemental.
Difficulté à établir des relations avec les autres et à interagir avec leur milieu. Les jeunes qui ont un autisme léger peuvent s'intéresser aux autres, mais ne savent pas comment leur parler ou jouer avec eux. Il leur est très difficile d'engager une conversation et de l'entretenir.
Avec un QI moyen de 98 points, la France occupe la 24e place de ce classement. Avec 108 points, les habitants à Hong Kong atteignent le quotient intellectuel le plus élevé au monde.
Comme le rappelle le Monde, le QI standard tourne "autour de 100 et, pour appartenir aux 'génies', il faut dépasser la barre des 140. Ni Einstein (160), Copernic (130) ou Mozart (150) n'ont jamais atteint ce score."
Derrière le complexe d'infériorité d'origine psychologique ("Je suis nul") se cachent des problèmes d'estime de soi, avec surestimation des autres (vus comme plus beaux, plus intelligents, plus courageux...).
La solitude n'est pas une maladie, mais plutôt le symptôme d'une difficulté à s'adapter à son environnement. Cela peut parfois résulter d'un problème de santé mentale préexistant. Dépression, anxiété, troubles du sommeil ou bipolarité, peuvent se manifester également par un sentiment profond de solitude.
# Je suis nulle : les raisons du mal-être
Manque de confiance en soi, susceptibilité ou encore hypersensibilité peuvent être les raisons du mal-être qui vous fait dire à chaque fois « je suis nulle ». Pour que cela cesse définitivement, vous devez identifier la source du problème.
Toutefois, pour détecter "officiellement" un HPE, on peut mesurer le quotient d'intelligence émotionnelle (QE) qui regroupe différentes questions divisées en plusieurs catégories (perception de soi, expression individuelle, gestion du stress, prise de décision, relations humaines...).
Les caractéristiques de l'adulte zèbre. Le zèbre se caractérise par un QI supérieur ou égal à 130 et une sensibilité émotionnelle exacerbée. Le QI seul ne suffit pas (la sensibilité émotionnelle non plus) pour être zèbre ; ces deux facteurs sont indissociables l'un de l'autre.
Si les parents se posent la question, il n'y a qu'une seule façon d'avoir confirmation d'un possible "haut potentiel" : faire passer des tests auprès de psychologues qualifiés à son enfant. Il peut passer un test de QI (quotient intellectuel) ou test psychométrique.
Parmi tous ces troubles, le syndrome Asperger est certainement le mieux identifié par le grand public. On l'appelle aussi « autisme de haut niveau ». Il se susurre qu'Einstein était l'un d'entre eux, Bill Gates aussi, Mozart peut-être.
Le syndrome d'Asperger confère parfois un manque de souplesse intellectuelle, c'est-à-dire « n'avoir qu'une idée en tête ». La rigidité de la pensée rend l'adaptation au changement ou à l'échec difficile. Elle peut affecter le comportement de l'enfant en classe qui s'est fixé sur une idée et refuse d'en changer.
Parmi celles-ci, on retrouve Bill Gates (le créateur de Microsoft), Mark Zuckerberg (le créateur de Facebook), la chercheuses Marie Curie, les physiciens Isaac Newton et Albert Einstein, les inventeurs Alexander Graham Bell (téléphone) et Thomas Edison (pionnier de l'électricité), les peintres Vincent Van Gogh et Andy ...