Humilie et dégrade les gens en présence d'autrui. A maltraité ou puni de manière particulièrement dure une personne qui était sous ses ordres (enfant, prisonnier...) s'amuse ou prend plaisir aux souffrances physiques ou psychologiques d'autrui (y compris les animaux)
Le sadisme sexuel correspond à un besoin de douleur dans la sexualité. "Le sadique sexuel a besoin de faire mal pour prendre du plaisir." Il trouve l'excitation et la jouissance sexuelle dans la douleur et/ou l'humiliation infligée à l'autre.
(Personne) qui a tendance à exercer sur autrui des violences morales ou physiques, qui prend plaisir à faire souffrir les autres, hors de toute satisfaction sexuelle.
Origine du terme
Le terme est issu du nom de l'écrivain français Donatien Alphonse François, marquis de Sade (1740-1814). La première définition apparait dans le Dictionnaire Universel de Boiste, huitième édition,1834, revu et augmenté par Charles Nodier, 20 ans à peine après la mort du Marquis de Sade.
Les personnes masochistes vivent constamment dans la peur, l'insécurité et sont très dépendantes des autres, dans le sens où elles ont besoin que quelqu'un soit témoin de leurs sacrifices. En réalité, ces personnes croient qu'elles doivent vivre leur vie comme un martyre.
Le soumis dévoile facilement ses complexes et ses points faibles, le dominant peut exercer des formes d'intimidation, de chantage, de prédation (symbolique ou réelle), et isoler sa proie. Le soumis peut avoir tendance à se soucier davantage des autres que de lui-même, à céder sa place à autrui ou à s'en croire indigne.
– Evitez la bonne humeur, la spontanéïté, l'impulsivité, faites des phrases courtes, utilisez le « on » et non plus le « je », parlez avec des phrases toutes faites, des proverbes etc… – N'entrez jamais dans les conflits de front. Faites des pirouettes si il le faut sur le ton de l'humour, ou bien jouez l'indifférence.
Krafft-Ebing considère le masochisme comme une forme de perversion qu'il définit comme une recherche du plaisir dans la douleur. De même, le sadisme désigne pour lui une perversion sexuelle dans laquelle la satisfaction est liée à la souffrance ou à l'humiliation infligée à autrui.
Qui montre un esprit cruel. Synonyme : cruel, diabolique, féroce, malfaisant, mauvais, méchant, odieux, pervers, sauvage, vicieux.
Le masochisme secondaire est souvent dû, dans un contexte régressif, à une pulsion sadique de destruction tournée vers l'extérieur, projetée, puis introjectée, et se tournant vers l'intérieur.
1. Déviation sexuelle, liée à une pulsion d'autodestruction, dans laquelle le sujet ne trouve le plaisir que dans la douleur physique et les humiliations qui lui sont infligées. 2. Comportement de quelqu'un qui semble rechercher les situations où il souffrira, sera mal, en difficulté, etc.
La cruauté pathologique peut apparaître chez l'enfant dès la marche. Elle est en partie la conséquence d'un échec du « travail de l'emprise » : le sujet ne rencontre pas un environnement qui se laisse transformer en double de soi tout en restant lui-même. Surtout, cet environnement se montre lui-même cruel.
Le trouble du sadisme apparaît dès l'adolescence et en grande majorité chez les garçons. Ce trouble s'accompagne souvent de traits de personnalité narcissique ou antisociale. Le sadisme sexuel est le fait d'infliger une souffrance physique ou psychologique (humiliation, terreur...)
le sourire sadique (il déborde notamment de jalousie) le sourire excédé (exprime notre agacement) le sourire endurant (il prend son mal en patience, c'est bientôt fini)
Définit de manière familière une personne masochiste, c'est à dire trouvant un certain plaisir dans des pratiques sexuelles incluant la douleur, l'humiliation, la domination. Par extension, désigne une personne trouvant du plaisir dans la souffrance.
Personne pervertie, détournée du bien, des dispositions morales considérées comme... dépraver v.t. Pervertir quelqu'un, le corrompre en faussant son sens moral ; pousser quelqu'un...
Origines du terme « masochisme »
Le masochisme a été identifié en tant que perversion sexuelle au XIX e siècle par le psychiatre Richard von Krafft-Ebing qui l'apparente au sadisme.
Le traitement des comportements autodestructifs passe par la prise de conscience du sentiment de culpabilité, la compréhension des désirs, et parfois des actes, qui l'ont créé, et la perlaboration de toute cette constellation.
En se référant à Sacha Nacht, Laplanche et Pontalis relèvent que « le rapport entre le masochisme et son contraire, le sadisme » n'a pas échappé à Krafft-Ebing.
Ils ne ressentent aucune empathie. Ils exigent toujours de l'attention. Ils ne sont jamais satisfaits, en veulent de plus en plus. Comme ce sont des gens assez compliqués, vivre avec un narcissique est souvent épuisant, surtout pour ceux qui sont émotionnellement dépendants ou qui ont des problèmes d'estime de soi.
Il arrive par exemple qu'il décide de dormir sur le canapé pour vous isoler davantage, vous « faire comprendre » à quel point vous n'êtes plus désirable et plus digne d'intérêt. C'est une technique de manipulation que le pn utilise sur vous afin de vous faire sentir coupable de la situation.
Concrètement, le dominant commence par repérer un soumis à quelques signes qui ne lui échappent pas : c'est une personne qui se culpabilise volontiers, se montre hésitante ou manifeste une attention extrême pour les autres.
Ils ont une façon caractéristique d'aller vers l'autre, un physique qui séduit ou impressionne, voire écrase. Les individus dominants, nous le verrons, occupent souvent des postes à responsabilité, ont plus de succès amoureux, et sans donner l'impression de faire des efforts particuliers pour y parvenir.