Fatigue, perte de poids, bouffées de chaleur, palpitations, ongles cassants… Tous ces signes peuvent indiquer un dérèglement thyroïdien (hyperthyroïdie ou hypothyroïdie). Un dysfonctionnement qui touche 10% de la population en France.
une carence en iode – la glande thyroïde a besoin d'iode pour produire ses hormones. Si votre régime alimentaire est pauvre en iode, la thyroïde augmente de volume pour produire assez d'hormones. une médication – certains médicaments, comme l'amiodarone, l'interféron alpha et le lithium, peuvent provoquer un goitre.
Comment diagnostique-t-on l'hypothyroïdie ? Devant un tableau clinique évoquant une hypothyroïdie, le médecin demande un bilan sanguin pour doser les hormones thyroïdiennes T3 et T4, ainsi que la TSH. Dans le cas d'une hypothyroïdie, les taux de T3/T4 sont anormalement bas et le taux de TSH est élevé.
Si celui-ci soupçonne un problème thyroïdien, il commencera par palper la glande suspecte pour en vérifier le volume et la régularité. Trop grosse, elle révèle un goitre. Une surface irrégulière et bosselée signifie, quant à elle, la présence de nodules, des excroissances qui sécrètent parfois des hormones.
Le soya, le café, de même que les suppléments de calcium et de fer peuvent interférer avec l'absorption des médicaments pour l'hypothyroïdie (Synthroid)4. Ainsi, il est recommandé de ne pas les consommer en même temps.
Pratiquez une activité physique régulière et adaptée
En cas d'hypothyroïdie, la dépense énergétique compense légèrement le dysfonctionnement de la glande thyroïde. En effet, les sports d'endurance (course à pied, marche, musculation, natation…)
Les états d'hypo et d'hyperthyroïdie peuvent s'accompagner de troubles psychiques. Dans l'hypothyroïdie, il s'agit souvent de manifestations dépressives avec fatigue, ralentissement, perte d'intérêt, repli sur soi et plaintes somatiques.
Le stress chronique a pour conséquence, un taux de cortisol élevé, une hormone qui peut causer certains dommages à la glande thyroïde et ralentir l'absorption des hormones thyroïdiennes.
C'est une inflammation de la thyroïde d'origine virale (virus coxsackie, ourlien ou adénovirus). Dans ce cas, la glande thyroïde est le plus souvent douloureuse. Douleur à la face antérieure du cou pouvant irradier vers les oreilles et augmentée par la déglutition, la toux ou les mouvements du cou.
Si votre thyroïde, une glande située à la base de votre cou, sécrète trop ou, au contraire, pas assez d'hormones, vous souffrez sans doute d'hyperthyroïdie ou d'hypothyroïdie.
L'hormone de synthèse la plus prescrite est la thyroxine (T4) sous forme de lévothyroxine sodique en comprimé (Levothyrox®, Novothyral®, Levothyroid® ou Synthroid®). La majorité des personnes devront en prendre quotidiennement durant toute leur vie.
Lors d'hypothyroïdie clinique, la perte pondérale peut être plus importante, avoisinant 3-6 kg, mais représente habituellement moins de 10% du poids corporel. Si elle est plus importante, une diminution de l'apport énergétique est probable et des troubles du comportement alimentaire devront être recherchés.
Une grande majorité de la population est carencée en vitamine D. Pourtant cette vitamine est indispensable au bon fonctionnement de la thyroïde en permettant aux hormones thyroïdiennes de pénétrer dans les cellules.
C'est difficile à dire, mais généralement, un problème de thyroïde n'entraîne pas de mal de gorge. Cela dit, si votre thyroïde est très gonflée et qu'elle exerce une pression en arrière, il est possible de ressentir une gêne.
Goitre. Le goitre désigne une thyroïde plus grosse que la normale ou dont la taille a augmenté, provoquant généralement une enflure ou une bosse dans le cou. Un goitre volumineux peut causer une toux, une voix enrouée ou de la difficulté à respirer.
Si la production d'hormones thyroïdiennes est trop importante, l'organisme « surchauffe »; : la personne souffre par exemple d'insomnie, devient irritable ou perd du poids.
Fatigue, perte de poids, bouffées de chaleur, palpitations, ongles cassants… Tous ces signes peuvent indiquer un dérèglement thyroïdien (hyperthyroïdie ou hypothyroïdie). Un dysfonctionnement qui touche 10% de la population en France.
La fatigue est l'un des symptômes de l'hypothyroïdie qui peut rendre la journée difficile. Elle peut vous amener à vous sentir trop fatigué pour travailler ou vous pouvez vous retrouver fréquemment en train de faire la sieste. Si vous souffrez de fatigue, cela peut indiquer une maladie de la thyroïde.
Les sudations de l'hyperthyroïdie s'accompagnent d'autres symptômes (perte de poids, tremblements, palpitations, anxiété). L'hypogonadisme chez l'homme (insuffisance testiculaire, castration pour cancer de la prostate…) peut causer des sudations et des bouffées de chaleur florides. Le syndrome carcinoïde est rare.
L'hypothyroïdie peut être : fruste : taux de thyréostimuline (TSH) > 4 mUI/L, sur au moins 2 prélèvements à 2-3 mois d'intervalle, sans anomalie de la concentration de thyroxine libre (T4L) ; avérée : présence de signes cliniques d'hypothyroïdie associée à une TSH > 4 mUI/L et une T4L basse.
Alors, en résumé, si vous ne consommez pas beaucoup d'aliments CRUS de la famille goitrigène à chaque jour, les jus verts et les limonades vertes demeurent des choix très santé pour vous!
Les niveaux d'hormones thyroïdiennes étaient légèrement élevés, mais restaient dans la fourchette des valeurs normales. Enfin, les sujets anxieux présentaient des anticorps dirigés contre la thyroïde. De tels résultats semblent indiquer que la fonction thyroïdienne serait impliquée dans le développement de l'anxiété.
Dans les premiers stades de l'hypothyroïdie, la voie cutanée est suffisante par simples massages de la base du cou. Pour les cas plus anciens, une voie sublinguale de la même synergie (voir formule ci-dessus) doit être ajoutée. Le rééquilibrage sera ainsi plus fort.