Si elle ne présente aucune trace de moisissure, si l'air n'est pas trop humide et que les occupants ne développent aucune allergie ou problème de santé dus au développement de l'humidité, alors la ventilation du logement est correctement effectuée.
La seule façon de tester le monoxyde de carbone consiste à installer des détecteurs de monoxyde de carbone dans chaque pièce. C'est le seul moyen de s'assurer que ce gaz dangereux n'est pas présent dans votre maison.
Un test de qualité de l'air consiste en un prélèvement d'un échantillon de l'air ou des poussières se trouvant dans votre maison ou logement pour le faire analyser par un laboratoire spécialisé.
Guettez les coulures, les traces de remontées d'humidité par le sol, les champignons et moisissures, le salpêtre, la condensation ou encore les éventuelles fuites dans les murs. Ces aspects participent à la salubrité du logement.
L'hygrométrie étant l'une des caractéristiques principales d'un air vicié, lorsque votre logement ne présente pas de fuites, de remontées capillaires d'humidité ou encore d'infiltrations, il peut être suffisant d'assécher l'air de la pièce pour le rendre plus respirable.
Un hygromètre vous permettra de mesurer le taux d'humidité de votre maison. En hiver, le taux d'humidité devrait se situer autour de 30%, 50% durant l'été. Le risque le plus souvent encouru est celui d'en avoir trop, ce qui contribue notamment au développement des moisissures.
Les moisissures : premier signe d'une maison mal ventilée
Lorsqu'une maison est mal ventilée, la vapeur d'eau ne s'évacue pas correctement puisque l'air se renouvelle peu. Or, rien que le fait de respirer crée entre 1 et 5 litres de vapeur d'eau par personne et par jour, selon les activités pratiquées.
D'une part, il existe des solutions pour mesurer la qualité de l'air intérieur vous-même. Sur le marché, on trouve des kits d'analyse de l'air qui permettent notamment d'avoir une idée de la concentration de formaldéhyde. Après le test, la couleur de la bandelette vous indique le taux de pollution intérieure.
La solution la plus simple et la plus précise est d'utiliser un hygromètre. C'est un petit appareil électronique qui permet de mesurer précisément l'humidité relative. Un hygromètre vous indique si l'air de votre logement est trop humide, trop sec ou juste comme il faut.
Il est possible d'agir pour réduire la pollution de l'air intérieur d'un logement notamment en aérant son logement, par ouverture en grand des fenêtres dans toutes les pièces, au moins 10 minutes par jour et lors d'activités telles que le ménage, le bricolage, la cuisine, etc.
Une habitation entretenue se caractérise par l'absence de poussière visible, d'odeurs désagréables, de moisissures, et par des surfaces brillantes et bien entretenues. Si vous ne voyez pas de saleté évidente et que votre maison sent bon, vous êtes sur la bonne voie.
Humidifiez votre chambre
Utiliser un humidificateur permet de maintenir un taux d'humidité ambiante idéale et peut vous aider à mieux respirer, et donc mieux dormir. Vous pouvez aussi tout simplement déposer un bol d'eau sur votre table de nuit.
La toux sèche est due à une irritation des muqueuses, qu'elle soit d'origine bactérienne, virale ou simplement topique (due à l'environnement : pollution, pollen, air sec…)
Placez 2-3 glaçons dans un verre avec de l'eau. Laissez reposer 4-5 minutes. Observez le résultat : si les glaçons fondent et que de la condensation se forme sur la surface du verre, cela indique que le taux d'humidité est élevé.
Recherchez des spores de moisissures noires ou vertes, des taches ou des décolorations, ainsi que des textures poilues ou visqueuses sur les murs et les surfaces. Les moisissures ne sont pas toujours faciles à détecter.
Ainsi, vous pouvez vous procurer un kit d'analyse à adresser en laboratoire qui vous indiquera le taux de pollution de votre air intérieur. Vous pouvez encore trouver dans le commerce des appareils de mesure de la qualité de l'air intérieur.
la ventilation par ouvertures : il s'agit de créer des flux d'air en ouvrant les fenêtres et les portes. Cette méthode est simple et accessible à tous, mais elle dépend des conditions climatiques extérieures et peut être limitée en cas de mauvais temps.
En ouvrant vos fenêtres, portes-fenêtres et portes, vous contribuez au renouvellement d'air de votre intérieur par ventilation naturelle. Geste essentiel chaque matin, ouvrez vos fenêtres en grand de 5 à 10 minutes pour ventiler efficacement votre intérieur.
Si votre logement est particulièrement humide, vous pouvez investir dans un déshumidificateur ou une VMC (ventilation mécanique contrôlée) qui se charge d'extraire l'air de la pièce et d'en faire rentrer de l'extérieur. La présence d'une VMC est d'ailleurs obligatoire dans les logements récents.
À savoir. Un bon moyen de s'assurer que le système de ventilation fonctionne est de faire le test de la feuille de papier : placez une feuille de papier très fine devant la bouche d'extraction. Si elle reste collée, c'est que la ventilation fonctionne.
Placer un bol d'eau chaude sur un meuble ou une bassine d'eau près d'un radiateur permet par exemple d'humidifier l'air ambiant par évaporation. Il est également conseillé d'aérer la chambre au moins 5 minutes par jour afin de laisser entrer l'humidité en provenance de l'extérieur.
Déposer un bol ou bassine d'eau sous le lit, sur un meuble ou sur le radiateur. Attention toutefois à changer l'eau chaque jour pour prévenir la prolifération des bactéries et l'apparition de champignons. 3. Déposer une serviette mouillée à proximité du lit.
Ouvrir les fenêtres de son intérieur pendant au moins 10 minutes, hiver comme été, est un geste simple et efficace à répéter sans cesse pour atteindre un taux d'humidité optimal.
Les toilettes arrivent en première position, car c'est le lieu le plus chargé en bactéries et microbes de la maison.