Vous pouvez solliciter votre propriétaire ou votre syndicat de copropriété pour vous assurer du bon fonctionnement des installations de chauffage et d'eau chaude, via le contrat d'exploitation et de maintenance de la chaufferie.
Cette date peut être fixée dans le règlement de copropriété, prise par le conseil syndical ou définie à la suite d'un vote des copropriétaires en assemblée générale. La mise en route du chauffage collectif est pour autant souvent fixée au 15 octobre chaque année.
La loi Elan oblige désormais les copropriétés à installer un système d'individualisation. Les copropriétaires partagent les frais d'entretien. Cela permet également un gain d'espace, puisque les appareils sont installés dans la chaufferie centralisée de l'immeuble, et non dans chaque appartement.
Ce souci provient le plus souvent d'un mauvais équilibrage du réseau. Pour tenter de résoudre ce problème, il est conseillé de fermer tous vos radiateurs (ceux qui chauffent normalement) et de ne laisser ouvert que celui qui pose souci. Pensez à purger ce dernier avant.
Sous nos latitudes, tous les logements sont équipés d'un dispositif de chauffage. Il est dit "individuel", lorsque rien n'est prévu par le constructeur ou la copropriété et "collectif" lorsqu'il fait l'objet d'installations et de gestion, communautaires.
Bien que la loi ne prévoit pas de période légale pour allumer ou éteindre un chauffage collectif, le décret n°79-907 du 22 octobre 1979 a fixé à 19° C la température idéale suffisante.
Un locataire doit-il payer les dépenses de chauffage collectif ? Oui, le chauffage collectif est en effet pris en compte dans les charges locatives. La répartition des charges se divise. Le locataire prend ainsi en charge le coût de l'énergie et de l'entretien courant des infrastructures de chauffage collectif.
Mais comment fonctionne-t-il ? Le chauffage collectif repose sur une chaufferie, souvent située au sous-sol de l'immeuble. La chaufferie est constituée d'un ou plusieurs générateurs de chaleur (chaudière, pompe à chaleur, …). La chaleur est ensuite acheminée vers chaque habitation.
fuite d'eau sur le circuit ou sur l'un de vos radiateurs ; dégonflement du vase d'expansion de la chaudière ; panne de la pompe ; dégradation d'une des valves du vase d'expansion.
Comment est facturé le chauffage collectif ? Depuis mars 2017, tous les logements profitent d'une facture individuelle de chauffage en fonction de leur consommation réelle, avec la répartition suivante : 70 % de consommation individuelle et 30 % de consommation collective pour les parties communes.
Quelle est la température réglementaire d'un logement ? Dans un logement chauffé, la moyenne des températures mesurées au centre de chaque pièce est réglementairement limitée à 19°C.
Comment fonctionne le chauffage collectif ? Le chauffage collectif fonctionne grâce à des générateurs installés dans une chaufferie. Ces générateurs (majoritairement des chaudières) sont alimentés en combustible (gaz, fioul, bois, etc.)
Il est possible de passer du chauffage collectif au chauffage individuel si l'assemblée générale du collectif vote cette décision à l'unanimité.
Selon les recommandations de l'INRS, un environnement de travail est considéré comme froid lorsque la température de l'air est inférieure à 18°C. En dessous de cette température, chaque salarié doit être considéré comme étant dans son droit s'il exerce son droit de retrait.
On parle d'un allumage mi-octobre, mais grosso modo, nous vous recommandons d'allumer votre chauffage dès lors que la température extérieure ne vous permet plus de maintenir au moins 18 °C chez vous la journée. Et ce pendant plusieurs jours d'affilée.
Depuis le 18 octobre 2023, les chauffages sont rallumés sur l'ensemble des résidences concernées par le chauffage collectif. Nous vous rappelons que la température dans les logements collectifs chauffés est fixée réglementairement. Les consignes de température sont de 19°C.
L'occupant du logement doit donc ici aussi se référer à son syndic pour connaitre la date butoir applicable dans son immeuble. Le plus souvent, la date d'arrêt du chauffage collectif est fixée au 15 avril, mais ce jour peut naturellement varier selon les immeubles et les régions.
Le chauffage collectif est tout simplement un système unique qui permet de générer, par une ou plusieurs unités (chaudières au gaz naturel, fioul ou bois, pompes à chaleur), de la chaleur pour tous les logements d'un immeuble ou d'un ensemble d'immeubles.
Dès lors, la répartition des charges se fait selon la règle des 70/30. Cela signifie que 70 % des charges sont réparties en fonction de la consommation individuelle de chaque logement. Tandis que les 30 % restants sont répartis à partir des tantièmes de chauffage au niveau de chaque copropriété.
L'application Nest est une application mobile qui permet aux utilisateurs de contrôler et de gérer à distance leur thermostat Nest. Gratuite, l'application peut être téléchargée sur les appareils iOS et Android. Cette app permet aux utilisateurs de mesurer et régler la température de leur maison.
Pour votre intérieur, la température idéale de confort recommandée en hiver est de 19°C. Cela vaut pour les pièces principales. La chambre de bébé aussi et vous pouvez même plutôt descendre la nuit à 18°C pour l'aider à s'endormir et qu'il dorme bien. La salle de bains est une pièce unique où vous pouvez monter à 22°C.
Les températures pour chaque pièce sont adaptées selon différentes caractéristiques : pour les pièces à vivre (salon, salle à manger, cuisine) la température recommandée est de 19°C, alors que pour la chambre elle est de 16°C. Pour la salle de bain elle se situe entre 17°C (inoccupée) et 22°C (en cas d'utilisation).
Le compteur d'énergie thermique, historiquement appelé compteur de calories, permet de déterminer la consommation individuelle de chauffage d'un logement en copropriété. Il est posé directement sur la boucle de chauffage, et son relevé se fait à distance, sans pénétrer dans le logement.