La barrière de capillarité : le but de cette manœuvre est de stopper la capillarité pour empêcher l'eau de remonter dans le mur. Pour cela le professionnel utilise une méthode chimique ou mécanique, en créant une barrière au-dessus du sol sur toute la longueur du mur.
Un sol humide est un sol où l'eau stagne. Le sol humide retient donc l'eau, car les pluies s'écoulent très difficilement. Par exemple, les terres argileuses sont des terres humides qui conservent l'eau après une averse. Un sol humide se situe souvent en point bas, au fond d'une vallée.
Le professionnel habilité à réaliser un diagnostic humidité va tout d'abord utiliser un hygromètre, qui mesure le taux d'hygrométrie dans l'air ambiant. Ceci lui donnera un premier indice sur la présence excessive ou non d'humidité.
En pratique, les sols ont, pour la plupart, un pH compris entre 5 et 9. La valeur neutre étant un pH de 7. Le sol est d'autant plus acide que son pH est inférieur à cette valeur, et d'autant plus alcalin, on dit aussi « calcaire », qu'il est supérieur. Une bonne terre de jardin a un pH compris entre 6,5 et 7.
– N'oubliez pas la ventilation pour faire sécher le sol
Et pour cause, leur mise en marche peut aider à réchauffer le sol et par conséquent le faire sécher bien plus rapidement que d'habitude. Sachez également que vous pouvez préparer votre propre détergent naturel pour sol afin de dégraisser et nettoyer les joints.
Pour savoir si votre terre est calcaire ou acide, versez dessus un peu de vinaigre blanc. Selon la réaction vous pourrez identifier votre type de sol : Plus la réaction est effervescente, plus le sol est calcaire. Si la réaction est faible, le sol est neutre.
Une isolation en liège (type liège expansé noir, imputrescible et plus durable) ou en polystyrène est préconisée. Il faut cependant prévoir un pare-vapeur pour éviter les remontées d'humidité puisque le sous-sol n'en est pas exempt.
Le phénomène de remontées capillaires, ou humidité ascensionnelle, fait partie des causes principales d'apport d'humidité dans les parois d'un bâtiment ancien. En effet, de nombreuses maisons anciennes sont bâties avec des murs posés sur le sol, sans barrière pour éviter les remontées d'humidité.
Les revêtements de sol PVC: la solution parfaite pour les ambiances humides. Grâce à leur composition en pvc, encore appelé vinyle, ces revêtements trouvent leur place dans toutes les pièces de la maison. Ils forment un revêtement idéal pour la salle de bain ou la cuisine.
3 paramètres importants qui définissent un sol
Une terre équilibrée, que l'on nomme communément terre franche, se compose de 50 à 70 % de sable et de 15 à 20% d'argile ; elle possède un bon drainage mais également une capacité de rétention d'eau satisfaisante, ainsi qu'une fertilité élevée.
Mais qu'est-ce qu'un sol pauvre ? Généralement, on met sous cette étiquette des terres superficielles (peu profondes), caillouteuses ou sableuses, sèches, peu humifères et peu fertiles. Le pH peut être fortement acide ou basique.
Le sol argileux : il a la particularité d'être lourd à travailler, il colle après la pluie et il devient dure en séchant. Le pH de ce sol est entre 6 et 7,4.
Sécher le sol après lavage
Pour un séchage rapide, vous pouvez utiliser une serpillère en microfibre blanche, laquelle est très absorbante et prévue à cet effet.
Le balayage humide a pour objectif de dépoussiérer le sol sans utiliser d'aspirateur. La poussière est récupérée en utilisant un balai équipé d'une gaze humide. La gaze reste au contact du sol pour récupérer les poussières. On peut pousser le balai ou bien effectuer des S sur le sol.
Dans certains cas, un déshumidificateur avec chauffage incorporé, muni de gaines, tel que CDT 30 S et CDT 40 S vous permettra se sécher les planchers sans avoir l'inconvénient de déposer le parquet, vous faisant ainsi réaliser une économie importante.
Quels sont les signes d'une bonne terre :
Sa couleur est foncée car elle contient de l'humus. Le sous-sol est grouillant de vie et il est aéré par de nombreux vers de terre qui creusent leurs galeries. Sèche ou humide, la bonne terre retient juste ce qu'il faut d'air et d'eau car sa structure est meuble et grumeleuse.
Si le « bon sol », celui qui supportera le poids de la maison, se situe en dessous d'une couche instable (remblais), on utilisera des fondations sur puits.
Aérer et ventiler : un des points les plus importants pour lutter contre l'humidité est de renouveler l'air et d'éliminer les excès d'humidité. Vous pouvez donc aérer tous les jours durant 5 à 10 minutes, notamment les pièces les plus humides de votre logement comme la cuisine ou la salle de bains.
Ainsi, si vous dormez dans une pièce humide ou moisie, vous passez un tiers de votre temps à inhaler des particules ou des spores de moisissure. Ces spores sont dangereuses et entraînent des problèmes de santé comme des infections des voies respiratoires, de la toux, de l'asthme et des allergies.
« Les normes européennes préconisent un taux d'humidité compris entre 30 et 70 %, mais l'idéal est de se situer entre 40 et 60 %. Au-delà de 60 %, on peut déjà considérer qu'il y a un problème d'humidité », estime Laurent Héritier, conseiller habitat et santé.
Les éléments jointifs à la construction tels que les garages, terrasses ou encore perrons peuvent aussi se détacher. Ces tassements peuvent également entraîner une distorsion des portes et fenêtres, une dislocation des dallages et des cloisons et, parfois, la rupture de canalisations enterrées.