Le test d'effort est un examen qui mesure la réaction du cœur pendant une activité physique soutenue. On le réalise généralement chez un cardiologue mais il est aussi possible de le faire chez soi pour avoir une indication sur la forme de son coeur et aller consulter en cas de doute.
Le Scanner cardiaque : il permet d'obtenir une image détaillée des artères coronaires en quelques minutes, pour détecter des plaques de cholestérol (athérome) qui peuvent rétrécir le calibre de l'artère ou l'obstruer totalement. Si cet examen est normal, le pronostic dans les 5 ans suivants est excellent.
"C'est le nombre de battements par minute, la vitesse à laquelle bat votre cœur. Il bat en général de 60 à 100 battements au repos. Pour mesurer correctement sa fréquence cardiaque, il faut être au repos, non stressé, à distance d'une consommation de cigarette, de café ou de tout autre excitant.
Un cœur en bonne santé se reconnaît à ses pulsations énergiques et régulières et à sa taille, équivalant au poing d'un adulte. Un cœur sain pompe le sang dans tout le corps, puis du corps vers le cœur et les poumons, et retour vers le cœur et le corps.
Votre fréquence cardiaque doit osciller autour de 70% de votre FC max (fréquence cardiaque maximale) . En théorie, on dit que celle-ci est égale à 220 moins votre âge (226 pour les femmes, qui ont le coeur légèrement plus rapide que les hommes).
Outre la fatigue, elles peuvent présenter des troubles du comportement, de la confusion, de la désorientation, des mains et des pieds froids, des chutes, voire une prise de poids rapide. Ces symptômes sont peu évocateurs d'un problème cardiaque, ce qui peut retarder le diagnostic d'insuffisance cardiaque.
Le premier symptôme ressenti lors de l'insuffisance cardiaque est l'essoufflement. Il est provoqué par un engorgement du sang dans les poumons. Autre symptôme évocateur, la fatigue provient d'un déficit d'irrigation des muscles, ainsi privés d'un apport suffisant en nutriments et en oxygène.
À plus long terme, le tabac abîme progressivement les artères. Le risque est la même, quel que soit le type de tabagisme (cigarettes avec ou sans filtre, pipe, cigare, narguilé, tabac à mâcher, etc.) Le risque cardiovasculaire (et particulièrement d'infarctus du myocarde) est augmenté en cas de tabagisme passif.
Beurre, margarine, crème fraîche et viennoiseries
"Le beurre cuit encrasse les artères", avertit Véronique Beck-Yvars, diététicienne et auteure de Manger sainement à petit budget*. Préférez donc pour la cuisson l'huile d'olive ou de colza.
On parle de tachycardie au-delà de 100 battements par minute. Le stress, l'anxiété, une consommation excessive d'excitants comme le café ou encore un accès de fièvre peuvent expliquer cette accélération du rythme cardiaque. Si le phénomène se produit trop souvent, il faut en parler à son médecin.
On estime que chez l'adulte, au repos, une fréquence cardiaque normale est comprise entre 60 et 100 battements par minute (bpm). Elle est légèrement plus élevée chez les femmes que chez les hommes. Le cœur des enfants bat plus rapidement : chez le nouveau-né, entre 120 et 160 fois par minute !
L'eau est la seule boisson indispensable ; il faudrait en boire au moins un litre et demi par jour, telle quelle ou sous forme de boissons chaudes. Limitez la consommation des graisses, surtout saturées (viennoiseries, pâtisseries, charcuteries, beurre, sauces, fromages, lait entier…).
Les aliments riches en gras saturés et en cholestérol
Privilégiez les viandes maigres, comme la volaille sans peau et le poisson, limitez également la consommation de viandes rouges et de viandes transformées.
Charcuterie et viande grasse
Ces graisses saturées ont un effet négatif sur les taux de lipides sanguins, elles augmentent le risque de dépôt dans les artères et d'athérosclérose.
Au moins 30 minutes d'exercice physique chaque jour et en continu sont donc indispensables pour entretenir votre cœur. Elles vous aideront aussi à éviter d'autres ennemis de votre cœur qui ont tendance à faire équipe, comme l'hypertension artérielle, l'excès de cholestérol ou le diabète !
Les battements s'intensifiant, le cœur se met à résonner au niveau de la gorge, des oreilles et du thorax. Elles s'accompagnent aussi d'une sensation de “gorge nouée”, de respiration courte et saccadée, de faiblesse, d'étourdissement, d'essoufflement, et parfois de vertiges.
Mais il s'agit en réalité d'une forme d'insuffisance cardiaque aigue. Le stress brutal déclenche une libération brutale de ces catécholamines, hormones du stress. Elles ont un effet paralysant sur le cœur, qui ne se contracte quasiment plus et n'arrive plus à envoyer le sang dans les artères de notre organisme.
Une douleur thoracique à l'effort qui s'aggrave progressivement en est le principal symptôme, avec l'apparition de douleurs au repos. La douleur se caractérise par un resserrement de la poitrine, parfois avec une sensation de brûlure.
Lorsque l'insuffisance cardiaque touche la moitié gauche du cœur, les symptômes comprennent essentiellement une forte toux et une dyspnée qui surviennent à l'effort. Pourquoi ? L'insuffisance cardiaque gauche et l'insuffisance mitrale (qui touche également la moitié gauche du cœur) affectent les capacités pulmonaires.
L'exercice physique contribue à renforcer le cœur pour qu'il travaille plus efficacement. Il permet d'augmenter le bien-être et l'autonomie. Lorsque l'insuffisance cardiaque est stable, il est recommandé de pratiquer une activité physique modérée comme la marche.
On parle d'insuffisance cardiaque lorsque le cœur perd une partie de sa force musculaire et sa capacité de contraction normale ; il ne pompe plus suffisamment de sang pour permettre aux organes de recevoir assez d'oxygène et d'éléments nutritifs, essentiels à leur bon fonctionnement.
L'insuffisance cardiaque chronique (ICC) est une complication grave de certaines maladies cardiovasculaires et respiratoires. Le plus souvent, elle est simplement appelée « insuffisance cardiaque ». D'apparition progressive, elle touche essentiellement les personnes âgées de plus de 75 ans.
Les analyses de sang sont utiles pour dépister l'insuffisance cardiaque et rechercher des causes ou facteurs déclenchants possibles. De hauts niveaux de BNP dans le sang ont été associés à l'insuffisance cardiaque et ce dosage est utile à la fois pour le diagnostic et la prise en charge thérapeutique.