La fatigue cognitive, un signal qui avertit votre cerveau d'un risque de surchauffe. Après un effort intellectuel intense et prolongé, une molécule – le glutamate –, accumulée dans certaines zones de notre cerveau, perturbe le raisonnement et la prise de décision.
Souvent associée au stress, la fatigue intellectuelle est corrélée à une forte pression qu'on peut ressentir avant un examen important. On oublie des connaissances, on a la sensation de ne plus rien savoir et il est très difficile de nous concentrer sur une tâche précise.
Pour vous libérer de toute cette fatigue mentale, commencez par vous éloigner des environnements bruyants au profit du calme et de la sérénité. Télévision, appareils électroménagers… Tenez-les à distance quelque temps et profitez-en pour vous essayer à des activités plus zen comme le yoga ou la méditation.
Le test de Folstein permet de vérifier que votre cerveau est toujours en forme. Il est très utile, car il arrive, quand on atteint un certain âge, que l'on ait des trous de mémoire ou des troubles de l'attention.
On parle également de surcharge cognitive ou d'épuisement par saturation. La saturation, ou surcharge cognitive, s'installe lorsque le cerveau doit faire face à plus d'informations qu'il ne peut en traiter. Il se trouve tout simplement dépassé par le volume de sollicitations qui se présentent à lui.
des vertiges, des maux de tête ou des palpitations liées à l'anxiété des tensions musculaires, voire des douleurs dorsales. des troubles alimentaires liés au stress (perte de poids importante, anorexie, boulimie, etc.) des douleurs gastriques (ulcères à l'estomac, troubles digestifs, etc)
SE CONCENTRER SUR SA RESPIRATION
Prendre le temps de s'asseoir, le dos droit, d'inspirer et d'expirer par le nez. Écoutez votre respiration et remarquez comme elle change votre corps : la chaleur aux narines, la poitrine et le ventre qui se gonflent et dégonflent.
Organiser sa semaine et anticiper son quotidien peut être une source de relaxation car elle permet d'apaiser notre envie de contrôle et nous libère du stress lié à l'incertitude. En planifiant, nous pouvons nous ressourcer, même si nous n'avons pas la « fibre » de l'organisation.
Si vous sentez que vous êtes épuisé psychologiquement, c'est probablement que cela fait un long moment que vous assumez trop de tâches et que le vase est sur le point de déborder. Si vous le pouvez, commencez par vous délester de tâches quotidiennes pour vous gagner de la place dans votre emploi du temps.
Pensez à vous aérer, marchez à l'extérieur, ou reprenez une activité sportive que vous aimez. N'oubliez pas votre corps est votre ami, il a besoin de vous et vous de lui. Relaxez-vous, pratiquez la relaxation ou sophrologie qui peuvent vous aider à alléger votre fatigue mentale.
La fatigue émotionnelle au niveau de l'individu
Intérieurement, le sujet fatigué émotionnellement ressent une fatigue chronique au travail, physique et mentale, un sentiment d'être vidé et d'une difficulté à être en relation avec les émotions des autres, ce qui rend le travail de plus en plus difficile.
Si cet interrogatoire et l'auscultation ne peuvent expliquer l'origine de votre fatigue, votre médecin pourra vous prescrire un bilan biologique comprenant en général : une numération formule sanguine (NFS) à la recherche d'une anémie (diminution du taux d'hémoglobine dans le sang) ou d'une éventuelle infection.
Le ginseng est traditionnellement utilisé en médecine chinoise pour lutter contre le stress et la fatigue. Par ailleurs, les oligoéléments sont également utilisés comme modificateurs de terrain en cas de fatigue passagère.
Une sensation de ne pas être là, des maux de tête récurrents, des douleurs articulaires, une fatigue permanente, des émotions qui s'emballent, des tremblements, une sensation de froid, une incapacité à prendre des décisions.
Le burn out se traduit d'abord par des signes physiques : fatigue permanente, mal de dos, insomnies, migraine, maux de ventre, infections fréquentes, etc.
Le stress provoque très souvent des douleurs musculaires et articulaires. Les maux de ventre sont aussi très fréquents. Le stress peut également entraîner des symptômes neurologiques ou, autrement dit, des maux de tête (migraines, céphalées de tension).
Du côté du cortex préfrontal, le stress chronique ralentit l'activité et vient altérer la prise de décision, la résolution de problèmes, la concentration et la planification. L'activité dans l'amygdale quant à elle, augmente en conséquence au stress. La régulation des émotions s'en trouve alors affectée.
Comme la plupart des cellules, les neurones peuvent mourir de deux manières différentes : par nécrose ou par apoptose. La nécrose est produite par un traumatisme aigu, chimique ou mécanique. La cellule gonfle puis se détruit (lyse) et son contenu se disperse dans le milieu extracellulaire.
Ces troubles peuvent survenir à cause d'une maladie affectant la mémoire. Ils peuvent également être d'origine émotionnelle. Stress, fatigue, anxiété peuvent altérer la capacité à mémoriser, de même qu'une alimentation carencée, un problème d'alcoolisme, un excès de médicaments ou une fatigue excessive.
Il recommande une consommation accrue de 10 composants sains, parmi lesquels les légumes à feuilles vertes, le poisson, les baies, les noix… et la limitation de 5 composants néfastes comme le fromage, les viandes rouges, les beurre et margarine, les aliments frits, les pâtisseries et sucreries.
A titre indicatif : Les principales sources d'oméga-3 et d'acides gras polyinsaturés sont les poissons gras (le thon, la sardine, le maquereau, le saumon, le hareng) et les huiles de noix et de soja.