Comment savoir si on a des polypes ? Les symptômes liés à la présence de polypes, lorsqu'ils existent, sont nombreux et variés : il peut s'agir de nausées, de vomissements ou de saignements, accompagnés de douleurs de l'abdomen, ou encore d'une anémie.
Des douleurs épigastriques (dans la région de l'estomac) et un amaigrissement progressif sont les signes les plus fréquents. Toutefois, ces symptômes ne sont pas spécifiques à cette maladie. Lorsqu'elle est plus évoluée, la tumeur peut engendrer d'autres signes : des vomissements, une hémorragie et donc une anémie …
Certains facteurs sont susceptibles de favoriser l'apparition de polypes à l'estomac : L'âge. La bactérie Helicobacter pylori, qui est aussi une cause fréquente de gastrite. La Polypose adénomateuse familiale – un risque héréditaire pour les polypes de l'estomac et le cancer du côlon.
Lorsque l'on évoque un cancer de l'estomac, on pratique, dans un premier temps, une prise de sang. Celle-ci permet de voir la présence d'une anémie par saignements chroniques, d'une élévation de la vitesse de sédimentation, signant la présence d'un syndrome inflammatoire.
Les symptômes pouvant révéler un cancer de l'estomac sont généralement tardifs et non spécifiques : douleurs à l'estomac, perte d'appétit, nausées, vomissements, fatigue, perte de poids, anémie. Les hémorragies digestives ne sont pas rares par saignement de la tumeur.
Si les troubles sont récents et qu'ils s'accompagnent d'une perte de poids, d'une perte d'énergie, d'une fièvre ou encore d'une fatigue importante, il faut consulter un médecin pour éliminer d'autres causes plus graves (et rares), comme la présence de parasites digestifs, une occlusion intestinale ou encore un cancer ...
L'importance du dépistage reste primordiale. En effet, plus un cancer est diagnostiqué tôt, plus il a de chance d'être guéri. La prise de sang est l'un des examens qui aident à diagnostiquer un cancer.
- Douleur dorsale: parfois l'estomac Une douleur dans la région des trapèzes et des omoplates peut être une douleur projetée à partir du cou. Mais elle peut aussi traduire un ulcère de l'estomac, sans même qu'il y ait brûlure, ou encore un problème de pancréas.
Un polype peut disparaître tout seul lors des règles notamment. Sinon, le traitement est essentiellement chirurgical. Cela consiste à retirer le polype. "Il est ensuite envoyé au laboratoire d'anatomopathologie pour analyses afin d'écarter le risque de cancer", explique le gynécologue.
Le polype colorectal est une tumeur bénigne, de taille variable, se développant sur la muqueuse du côlon ou du rectum. Il importe de les retirer pour prévenir l'apparition d'un cancer colorectal.
Calcium. Des essais cliniques ont suggéré que la prise de 1 200 à 2 000 mg par jour de suppléments de calcium pourrait contribuer à prévenir la récurrence des polypes intestinaux. Cet effet serait plus prononcé sur les polypes de grande taille1-5.
Qui consulter pour détecter des polypes ? Seule une coloscopie peut détecter la plupart des polypes. Elle est effectuée, surtout à partir de 50 ans, en présence de signes digestifs comme des ballonnements, des gaz coliques abondants, un petit saignement anal, des hémorroïdes internes.
La plupart des polypes demeurent longtemps asymptomatiques. L'émission de sang dans les selles, en provenance du rectum, constitue le symptôme le plus fréquent. Un polype volumineux peut provoquer des crampes, des douleurs abdominales, une occlusion ou une invagination.
L'échographie est très intéressante dans le cadre du cancer, car non seulement elle n'entraîne aucune douleur, mais en plus elle permet de détecter d'éventuelles tumeurs ou métastases, de les localiser avec précision et d'en évaluer le volume.
"On ne peut pas détecter un cancer par une prise de sang. La CRP est un marqueur de l'inflammation qui peut s'élever pour beaucoup de maladies, notamment des infections.
Les produits laitiers
Contrairement aux idées reçues, certains produits laitiers n'empêchent pas une bonne digestion et permettent alors d'éviter les brûlures d'estomac. Les yaourts et les fromages à pâte cuite (gruyère, emmental, cantal, …) sont généralement bien tolérés.
Cholécystite – Souvent liée à des calculs biliaires, la douleur se situe habituellement dans le quadrant supérieur droit, mais peut aussi irradier jusqu'aux épaules. De la fièvre et des nausées peuvent aussi se manifester.
Spasfon antispasmodique digestif (intestin et voies biliaires) et génito-urinaires (vessie et utérus) : Spasfon soulage les troubles intestinaux/du transit : douleur estomac, douleurs abdominales, ballonnement (ventre gonflé), diarrhée, constipation. Et en cas de règles douloureuses et/ou douleur urinaire.
Le cancer de l'estomac touche plus souvent les personnes âgées (65 ans et plus) et les hommes représentent 2/3 des nouveaux cas en 2012.
La majorité des personnes atteintes d'une infection à H. pylori ne présentent pas de symptômes ou de problèmes de santé liés à la bactérie. Certaines personnes dont l'infection est chronique éprouvent des symptômes, comme une douleur à l'estomac, des nausées ou des vomissements.
Un ulcère gastroduodénal peut causer une douleur au niveau de l'épigastre (haut et milieu de l' abdomen ). Localisée dans cette partie du corps, elle ressemble à une crampe ou à une sensation de faim douloureuse, et survient une à trois heures après un repas. Cette douleur épigastrique peut également survenir la nuit.