Nous vous suggérons de vous inscrire dans la logique de vous divertir, vous reposer, de bien vous restaurer et de ne pas rester seul dans la mesure du possible. N'excluez pas, non plus, l'éventualité de consulter un médecin si toutefois votre état venait à persister encore.
Lorsque le cannabis est ingéré ou consommé en association avec d'autres substances, ou lors d'humeur maussade, il peut parfois provoquer une « crise blanche », des angoisses, une attaque de panique, des vomissements, une perte d'équilibre (jambes molles…). Crise blanche ou Bad trip avec un joint ?
"Le cannabis est la drogue considérée par l'opinion comme "douce", parce qu'elle détend.
Si la personne a du mal à s'exprimer, il est important de ne pas forcer la communication verbale. Dans ce cas, rassurer la personne peut passer par des outils comme un verre d'eau, une couverture, une boisson chaude si elle a froid ou des mots rassurants. Cela permet d'aborder la réassurance plus efficacement.
les yeux dans le vague, les pupilles dilatées ; l'effet dure plusieurs heures ; un état somnolent, une lenteur dans ses mouvements ; dans le cas des fumeurs quotidiens, on peut observer le bout des doigts jaunis par la résine.
Sur le plan neuro-psychiatrique, la cocaïne est bien plus forte que les opiacés. Elle entraîne une altération de l'humeur et de la relation aux autres avec des comportements psychiatriques et sociaux impossibles à gérer. Elle rend les personnes paranoïaques et agressives.
Au niveau physique par des nausées, vomissements, des tremblements, des sueurs, une augmentation soudaine du rythme cardiaque, une pâleur, la salive extrêmement pâteuse, des palpitations, etc. Dans la plupart des cas, les symptômes s'estompent avec les effets du produit.
Le malaise cannabique, auquel on fait aussi référence sous les appellations de « blanchette beuh », « greening out » ou bien encore le « coma fumylique », fait tout simplement référence aux effets physiques secondaires ressentis après avoir consommé trop de THC en une fenêtre de temps trop courte.
Une crise se produit si de nombreux neurones déchargent en même temps dans un éclatement incontrôlé. Ces décharges entraînent une combinaison de facteurs qui interfèrent avec la façon normale de fonctionner du cerveau.
Concentrez-vous sur votre respiration : une respiration plus lente réduit le rythme cardiaque et atténue l'attaque de panique. Contactez un proche bienveillant : être rassuré. e par une personne compréhensive aide beaucoup à se rappeler qu'il n'y a pas de danger de mort.
Le tabac se situe quant à lui à des niveaux intermédiaires, et le cannabis fait partie des drogues les moins dangereuses.
La consommation de MDMA est souvent associée un effort physique prolongé comme la danse dans les milieux festifs. C'est pourquoi il est très important de bien penser à s'hydrater régulièrement en buvant de l'eau et en gardant une bouteille avec soi, même si la sensation de soif n'est pas présente.
Le protoxyde d'azote, aussi connu sous le nom de gaz hilarant, est un gaz d'usage courant stocké dans des cartouches pour siphon à chantilly, des aérosols d'air sec ou des bonbonnes utilisées en médecine et dans l'industrie.
Dépendance psychologique
Excepté les opiacés, famille de drogues dont fait partie l'héroïne, le sevrage de drogues est plus difficile sur le plan psychologique, puisque c'est à ce niveau que l'addiction se crée.
Le sentiment d'euphorie produit par l'héroïne peut être accompagné de rougeurs de la peau et de démangeaisons, ainsi que d'une bouche sèche, d'yeux larmoyants et d'une rhinorrhée. Les héroïnomanes ont souvent la peau sèche, facilement irritée et prurigineuse.
La dépendance à la cocaïne peut s'installer rapidement, seulement après quelques consommations. Elle ne dépend pas de la quantité ou de la qualité du produit, mais plutôt de l'état du consommateur, de son environnement et des effets qu'il ressent lorsqu'il consomme.
Le classement final (méfaits cumulés) est : 1) alcool ; 2) héroïne et 3) cocaïne crack. Le tabac se trouve à la sixième place, le cannabis à la huitième.
L'héroïne
L'étude de Nutt démontre que l'héroïne est la drogue la plus addictive de toutes, avec un score maximal de 3/3. Il s'agit d'un opiacé qui entraîne une augmentation de 200 % du niveau de dopamine dans le système de récompense du cerveau comme l'ont prouvé les expériences menées sur des animaux de laboratoire.
Le fentanyl, drogue la plus néfaste pour la santé
Depuis 2016, le fentanyl est la drogue la plus tueuse par overdose aux États-Unis. Au deuxième rang, l'héroïne obtient un score de 45/50. Elle est suivie de l'alcool (41/50), du crystal méthamphétamine ("crystal meth") et du tabac (14/50).
Fréquemment la crise d'angoisse ou crise de panique est associée à d'autres problèmes psychologiques : un syndrome de dépression, des phobies (phobie sociale, agoraphobie ou phobie des transports…)
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