La fibroscopie et l'analyse des prélèvements permettent de rechercher la présence de la bactérie H. pylori, et de détecter d'éventuelles lésions ulcéreuses ou précancéreuses qu'elle a pu causer.
Après éradication de Helicobacter pylori (EHP), le taux de récidive de l'infection varie de 2 à 25 % selon les séries d'origine géographique différente. Il persiste toujours un flou entre reprise de l'infection ancienne (fausse éradication) et récidive vraie avec une nouvelle souche de la bactérie.
"Actuellement on dispose de deux possibilités : soit un traitement avec un antisécrétoire plus deux antibiotiques, soit on a recours à un nouveau traitement comportant du bismuth. Il s'agit d'une quadrithérapie bismuthée qui permet d'avoir un meilleur taux d'éradication que celui avec les traitements habituels."
pylori doit être d'emblée conçu comme incluant une première et une éventuelle deuxième ligne d'éradication en cas d'échec du premier traitement. Le contrôle d'éradication doit donc être systématique après le premier traitement et doit être expliqué au patient dès la prescription du premier traitement.
Il est ainsi possible de rechercher des anticorps dirigés contre la bactérie par une prise de sang, de rechercher la bactérie dans les selles ou d'effectuer un test respiratoire, qui consiste à souffler simplement dans un tube après avoir ingéré un liquide « révélateur » ce qui permettra de détecter la présence de ...
Celui-ci puise alors dans les ressources de l'organisme pour lutter contre l'infection et tenter de maintenir la population de Helicobacter pylori au seuil le plus bas. Il est donc possible de ressentir une fatigue inhabituelle, pouvant devenir fatigue chronique, accompagnée d'éventuels épisodes de somnolence.
Helicobacter pylori est une bactérie, il faut donc la traiter avec une association d'antibiotiques,accompagnée d'un médicament pour lutter contre l'acidité gastrique pendant toute la durée du traitement (4). On effectue par la suite un test de contrôle pour vérifier que la bactérie a bien disparu de l'estomac.
Une alimentation riche en aliments de source végétale non transformés (fruits, légumes, grains entiers, noix, graines et légumineuses) est associée à une diminution du risque de H.
pylori provoque une inflammation chronique de la paroi de l'estomac, appelée gastrite. Celle-ci persiste tant que la bactérie est présente, et parfois toute la vie si l'infection n'est pas traitée. L'inflammation passe le plus souvent inaperçue mais il arrive qu'elle provoque des troubles digestifs (gêne, douleurs).
Dans certaines des études sur lesquelles ils se sont penchés, les chercheurs ont comparé la prise de poids chez des personnes traitées pour H. pylori à la prise de poids chez les personnes recevant un placébo; ils ont observé une prise de poids importante chez les patients lors du traitement contre H.
La majorité des personnes atteintes d'une infection à H. pylori ne présentent pas de symptômes ou de problèmes de santé liés à la bactérie. Certaines personnes dont l'infection est chronique éprouvent des symptômes, comme une douleur à l'estomac, des nausées ou des vomissements.
Le miel de Manuka, un puissant cicatrisant
Et d'ajouter : "Il permet également d'agir contre la bactérie Helicobacter pylori à l'origine des ulcères de l'estomac et d'empêcher le développement de staphylocoques dorés".
Est-ce que l'Helicobacter pylori est contagieux ? Oui, Helicobacter pylori est une bactérie contagieuse. Sa transmission se fait essentiellement par une transmission directe de personne à personne, par voie oro-orale, gastro-orale ou oro-fécale (contamination par la salive, les vomissements ou les selles).
Depuis plus de 10 ans, le traitement probabiliste recommandé pour l'éradication de l'infection à Helicobacter pylori est la trithérapie IPP double dose, amoxicilline 1 g 2 fois par jour, clarithromycine 500 mg 2 fois par jour pendant 7 à 10 jours ou, en cas d'allergie à la pénicilline, la trithérapie IPP, métronidazole ...
Le test de dépistage d'Helicobacter pylori par recherche d'antigènes dans les selles permet d'identifier rapidement et avec précision les patients chez lesquels le traitement d'éradication est un échec. Ceci est la conclusion d'une étude multicentrique (Europe et Etats Unis) menée sur 84 patients.
Ce test est effectué lorsqu'on désire confirmer la présence d'une bactérie, l'Helicobacter pylori (H. pylori), dans l'estomac ou l'intestin. Cette bactérie apparaît impliquée dans les mécanismes qui mènent à l'irritation gastrique et aux ulcères.
PYLERA contient du lactose qui est un type de sucre. Si votre médecin vous a informé(e) d'une intolérance à certains sucres, contactez-le avant de prendre ce médicament.
Les produits laitiers
Contrairement aux idées reçues, certains produits laitiers n'empêchent pas une bonne digestion et permettent alors d'éviter les brûlures d'estomac. Les yaourts et les fromages à pâte cuite (gruyère, emmental, cantal, …) sont généralement bien tolérés.
- Le riz nature est une bonne solution pour plâtrer l'estomac quand on a trop abusé. Les diététiciens sont unanimes, manger du riz reviendrait à manger moins de graisses saturées et moins de sucre. - De la menthe poivrée à boire en infusion est aussi recommandée pour contrer les maux d'estomac.
La candidose se traduit par de nombreux troubles digestifs tels que la diarrhée, la constipation, les ballonnements, les gaz intestinaux et les douleurs abdominales. Il peut également y avoir des démangeaisons et des irritations de l'anus.
14 gouttes de tea tree (Melaleuca alternifolia), 10 gouttes de thym à feuilles de sarriette (Thymus satureioides), 4 gouttes de laurier vrai (Laurus nobilis), 12 gouttes de romarin officinal à 1,8 cinéole (Rosmarinus officinalis).
Ne consommez pas de produits laitiers (ex. lait ou yaourt) et ne prenez pas de boissons enrichies en calcium en même temps que les gélules de PYLERA et ce, tout au long de votre traitement par PYLERA, car le mode d'action de PYLERA pourrait en être modifié.