Il peut arriver qu'un soir en sortant de la douche vous palpiez votre aisselle et trouviez une protubérance anormale. Il s'agit en fait d'un ganglion, normalement présent sous les aisselles, mais dont le volume a augmenté, entraînant parfois avec lui des douleurs ou des démangeaisons.
Les ganglions lymphatiques sont normalement invisibles, et petits noeuds sont également non palpable. Cependant, plus gros nœuds (> 1 cm) dans le cou, aisselles et les régions inguinales sont souvent comme des masses en forme de haricot, douces, lisses, mobiliers, non-appel d'offres ancrées dans le tissu sous-cutané.
niveau I (région axillaire inférieure) – située dans la partie inférieure de l'aisselle; niveau II (région axillaire centrale) – située dans la partie centrale de l'aisselle; niveau III (région axillaire supérieure) – située dans la partie supérieure de l'aisselle, près du sternum.
Les ganglions : dans la majorité des cas, leur gonflement ne dure pas plus d'une semaine. S'ils persistent davantage ou s'ils s'accompagnent de douleur, il faut consulter. « Seul un médecin pourra faire la différence entre un ganglion gonflé, douloureux mais bénin, d'un ganglion tumoral », souligne le Dr Bensoussan.
Comment les identifier ? Les ganglions enflammés sont des boules plus ou moins douloureuses situées de part et d'autre du cou, sous la mâchoire ou les aisselles. Leur taille ne dépasse en général pas 1 cm de diamètre. Dans les cas les plus graves, ils peuvent devenir très durs.
L'artère axillaire peut également se dilater et entraîner un anévrisme, conduisant à une compression du plexus brachial. Cette compression peut se manifester par des douleurs au niveau de l'aisselle et du bras ou par une perte de sensibilité.
C'est une inflammation aigue ou chronique des glandes sudoripares. Quand elle touche l'aisselle elle est connue comme « boule sous l'aisselle ». Ce n'est pas une infection et elle n'est pas con- tagieuse. Sa cause est inconnue, mais la prédisposition génétique et les facteurs externes favorisent son apparition.
Les symptômes d'un lymphome qui doivent pousser à consulter sont les suivants : un épuisement général, des transpirations nocturnes, une perte d'appétit ou de poids inexpliquée, des démangeaisons, un gonflement et/ou des douleurs au niveau des ganglions lymphatiques.
La localisation peut varier : sur les côtés, sous la mâchoire, sur la face antérieure du cou, ou dans le cou d'un côté ou de l'autre, etc. La boule peut être indolore ou sensible, molle ou dure, rouler sous les doigts ou non.
Vous avez palpé un ganglion au cou, à l'aisselle et cela vous inquiète ? C'est normal mais le plus souvent, cela veut juste dire que le corps se défend contre une infection locale.
Pour la palpation, le médecin fait progresser sa main gauche dans le creux axillaire droit de haut en bas, jusqu'au creux, profondément, puis fait des mouvements circulaires à la surface des côtes, puis descente dans le creux axillaire avec les doigts en position de crochet.
La découverte d'un ganglion sous la peau est facilement source d'inquiétude. Pas d'affolement toutefois. Il est normal de sentir à la palpation certains petits ganglions superficiels, notamment au niveau de l'aine, du cou et sous la mâchoire. C'est lorsqu'ils augmentent de volume, qu'il faut s'inquiéter.
Chaque ganglion atteint par le cancer ne mesure pas plus de 2 mm.
L'enflure des ganglions lymphatiques provoquée par une infection due à une bactérie comme celle responsable de l'angine streptococcique exige des antibiotiques. Donnez de l'acétaminophène ou de l'ibuprofène à votre enfant pour soulager la douleur ou la fièvre.
Adénopathie superficielle
Une adénopathie dure mais non douloureuse peut faire suspecter des maladies beaucoup plus graves comme un cancer du sein, une maladie du sang (lymphome, leucémie, maladie de Hodgkin), une sarcoïdose, une tuberculose, ou une maladie auto-immune par exemple.
L'hématologue ou l'onco-hématologue réalise à son tour un examen clinique à la recherche de ganglions volumineux au niveau du menton, du cou, des amygdales, de l'aine ou encore sous les aisselles. L'analyse du sang permet d'écarter l'hypothèse d'une infection.
La boule cancéreuse est souvent dure, non mobile, avec des contours irréguliers (tumeur solide et très compacte en échographie).
Le lymphome hodgkinien se manifeste souvent par la présence d'un ou plusieurs ganglions volumineux et asymétriques dans le cou (dit ganglion cervical ou susclaviculaire) et/ou plus rarement dans les aisselles ou l'aine.
Il faut absolument consulter un médecin sans tarder si : un ganglion reste gonflé ; le ganglion est dur au toucher ; l'adénopathie est généralisée.
L'apparition d'un ganglion sous l'aisselle peut être un signe d'alerte. Si on palpe une boule dure qui n'est pas douloureuse, il faut aller consulter son médecin traitant ou son gynécologue.
Les causes les plus fréquentes de gonflement des ganglions lymphatiques sont les suivantes : Infection des voies respiratoires supérieures (IVRS) Infections des tissus proches du ganglion lymphatique enflé
Un ganglion axillaire est un organe situé dans le creux de l'aisselle qui mesure en temps normal autour de 5 mm et qui est rempli de lymphocytes (les globules blancs) qui nous protègent contre les agressions de toutes sortes, notamment infectieuses (bactéries, virus, champignons).
le cancer du sein infiltrant aussi appelé carcinome infiltrant ; les cellules cancéreuses envahissent le tissu mammaire et peuvent s'étendre et affecter les tissus avoisinants. Elles peuvent aussi atteindre d'autres parties du corps pour former des métastases.