Diagnostic de la maladie pelvienne inflammatoire. Une maladie pelvienne inflammatoire doit être suspectée quand les femmes en âge de procréer, en particulier celles qui présentent des facteurs de risque, ont des douleurs abdominales basses ou des pertes cervicales ou vaginales inexpliquées.
La maladie pelvienne inflammatoire est généralement due à des bactéries provenant du vagin. Le plus souvent, les bactéries sont transmises lors des rapports sexuels avec un partenaire atteint d'une infection sexuellement transmissible.
Où se situent les douleurs pelviennes ? Les douleurs pelviennes correspondent aux douleurs ressenties dans la région du pelvis, c'est-à-dire au niveau du bas du ventre et du haut des parties génitales. Elles peuvent être légères à très intenses. Elles sont chroniques chez 11 à 20% des femmes.
La douleur pelvienne peut être un symptôme gynécologique. En d'autres termes, elle peut être due à un problème affectant l'appareil génital féminin. Elles peuvent aussi être provoquées par des problèmes au niveau des appareils urinaire, digestif ou musculosquelettique.
Il faut consulter un médecin le jour même en cas de première apparition d'une douleur pelvienne et si la douleur est constante et s'aggrave. Il faut consulter un médecin dans un délai d'environ une semaine en cas de nouvelle douleur pelvienne qui disparaît, ou de douleur pelvienne accompagnée d'un saignement vaginal.
Qu'est-ce qu'une pesanteur pelvienne ? On parle de pesanteur pelvienne lorsque une femme éprouve une sensation de lourdeur dans le bas ventre. Cet inconfort se situe généralement au niveau inférieur de l'abdomen et peut apparaître à n'importe quel âge.
L'échographie pelvienne
L'examen se réalise en première partie du cycle, juste après les règles, idéalement entre J5 et J8 du cycle. Pour les échographies uniquement par voie abdominale, la vessie doit être au contraire pleine.
Pourquoi passer une échographe pelvienne ? L'échographie pelvienne est prescrite dans de nombreuses situations, lorsque le gynécologue ou l'urologue suspectent un problème au niveau des organes génitaux ou de la vessie. Elle peut aussi permettre de suivre l'évolution d'une maladie déjà diagnostiquée.
Les symptômes des infections utérines comprennent fréquemment une douleur dans le bas de l'abdomen ou du pelvis, de la fièvre (habituellement dans les 1 à 3 jours suivant l'accouchement), une pâleur, des frissons, une sensation générale de malaise ou d'inconfort, et souvent des céphalées et une perte de l'appétit.
Des données de qualité moyenne, issues d'une étude unique à faible risque de biais, ont suggéré qu'un macrolide (azithromycine, un type d'antibiotique) pourrait être plus efficace qu'une tétracycline (doxycycline, un autre type d'antibiotique) pour guérir les syndromes inflammatoires pelviens légers à modérés.
Les maladies inflammatoires pelviennes (MIP) touchent 4 à 12 % des femmes en âge de procréer. La principale intervention en cas de salpingite aiguë est l'administration d'antibiotiques à large spectre par voie intraveineuse, intramusculaire ou orale.
L'endométrite est l'inflammation de l'endomètre, une muqueuse qui tapisse la cavité de l'utérus. Elle est toujours causée par une infection. Les infections pouvant causer l'endométrite sont : Les infections sexuellement transmissibles (IST), telles que la chlamydia, mycoplasme et la gonorrhée.
La plupart du temps, l'inflammation du col est la conséquence d'une infection (généralement une infection à germes multiples). Il existe cependant d'autres causes : présence d'un corps étranger (dispositif intra-utérin, tampon oublié, etc.), traumatisme, irritants chimiques (gels ou crèmes).
La cervicite est une inflammation du col de l'utérus (la partie basse et étroite de l'utérus qui mène au vagin). Elle peut être provoquée par une infection ou une autre maladie. La cervicite est souvent causée par une infection sexuellement transmissible, mais peut être due à d'autres pathologies.
Certains cancers sont dits silencieux. Ils ne présentent aucun symptôme jusqu'à un stade avancé de la maladie. Le diagnostic est donc tardif, ce qui a un impact sur les chances de guérison. C'est le cas du cancer de l'ovaire et du cancer colorectal.
Les symptômes caractéristiques du cancer de l'ovaire
Les troubles gynécologiques : perturbation des règles, saignements ou pertes vaginales anormales, tensions dans les seins... ; Les perturbations locales liées à la masse tumorale : les douleurs pelviennes, abdominales, les lombalgies, les envies urgentes d'uriner...
La douleur à l'ovaire, aussi appelée douleur pelvienne, peut être ressentie en bas du ventre à droite, à gauche, ou encore des deux côtés. Cela peut se produire dans différents cas de figure, comme pendant les règles, ou après un rapport.
Espace situé dans la partie basse du ventre qui comprend notamment la vessie, le rectum et les organes internes de la reproduction (utérus et vagin chez la femme, prostate chez l'homme).
Pourquoi passer une IRM pelvienne ? Une IRM pelvienne est un examen de seconde intention prescrit à la suite d'une échographie pelvienne. Cet examen permet de dresser un bilan de santé plus complet sur la zone du petit bassin afin de détecter d'éventuelles pathologies localisées : Fibrome.
"L'échographie pelvienne n'entraîne généralement, généralement pas de saignement ni de douleur, il peut toutefois être un peu désagréable", explique le Dr Wautier.
De quoi s'agit-il ? Les douleurs dans le bas-ventre sont très fréquentes. Le plus souvent, elles sont provoquées par un problème au niveau de l'intestin. Chez la femme, elles peuvent aussi provenir d'une affection des organes génitaux internes (vagin, utérus, ovaires).
Ces douleurs sont causées par la contraction de l'utérus afin d'éliminer la muqueuse utérine. Ces maux dans le bas du ventre peuvent donc se présenter sous forme de crampes et être fréquemment accompagnées de maux de dos (lombalgie), de migraines, de fatigue ou encore de symptômes abdominaux comme des ballonnements.
Cette sensation de poids dans le bas du ventre peut correspondre à toute masse pelvienne (gros fibrome, kyste ovarien volumineux) mais aussi à un prolapsus. Un avis spécialisé est nécessaire.