On double la consonne avec les mots ayant le préfixe « re » devant un mot commençant par un « s ». La règle veut que l'on double la consonne 's' entre deux voyelles pour donner le son [s]. Exemple : ressortir, ressaisir, ressembler, etc. L'usage tend cependant à imposer un seul « s ».
Pour commencer, il est important de connaître certaines bases. Les consonnes qui ne se doublent jamais sont : h, j, q, v, w et x. Celles qui se doublent rarement sont : b, d, g, k et z. Celles qui se doublent souvent sont : c, f, l, m, n, p, r, s et t.
Le n n'est généralement pas doublé dans les mots commençant par : an- : anagramme, analyse, animal, ... Exceptions : année, anneau, annexe, annihiler, annoncer, annoter, annuaire, annulaire et leurs dérivés. Exceptions : enneiger, ennemi, ennoblir, ennui et leurs dérivés.
I) Hiatus & euphonie : ? L'hiatus est la succession de deux voyelles prononcées dans deux syllabes différentes, soit à l'intérieur d'un mot (oasis, déhanché, coordination...), soit à la limite de deux mots, c'est-à-dire à la fin d'un mot et au début du suivant.
Dans plusieurs mots de la langue française, on double les consonnes soit par raison d'étymologie, comme opposer, offrir à cause d'opponere, offerre ; soit contre l'étymologie, comme donner, honneur, personne, homme, etc.
baccalauréat, raccroc, saccharose, succès, succinct, etc., mais bâcler, bactérie, raconter, sacoche, sucre, etc.
On double la consonne avec les mots ayant le préfixe « re » devant un mot commençant par un « s ». La règle veut que l'on double la consonne 's' entre deux voyelles pour donner le son [s]. Exemple : ressortir, ressaisir, ressembler, etc. L'usage tend cependant à imposer un seul « s ».
L'élision et l'introduction des lettres euphoniques permet d'éviter l'hiatus (ouverture de la bouche), bâillement qui se produit lorsqu'on prononce deux voyelles qui se suivent. L'Académie considère comme des cas d'euphonie la contraction de l'article défini et l'élision.
diphtongue
[En français moderne, il n'existe plus de diphtongues : les graphies eu, au, ou correspondent à des voyelles simples [ø], [o] et [u].]
Définition Consonne
Lettre qui n'a point de son par elle-même et ne se prononce qu'en s'appuyant sur une voyelle. Les consonnes et les voyelles. Il y a dix-neuf consonnes en français : b, c, d, f, g, h, j, k, l, m, n, p, q, r, s, t, v, x, z.
2) Lorsque la phrase est négative, le "n'" est accompagné d'un adverbe ou d'un mot indéfini, tel que "pas" : pas, plus, rien, jamais, aucun, personne... Qui peut bien venir à cette heure-ci ? On n'attend personne.
Il faut écrire : Des compliments, on n'en entend pas souvent dans sa bouche. En remplaçant « on » par « nous », on trouve « nous n'en entendons pas souvent », et non « nous en entendons pas souvent ». Il faut donc ajouter le « n' » de la négation et écrire « on n'en ».
On écrit ff
Le double f, pour sa part, se rencontre souvent à la limite entre un préfixe et un radical, même lorsque la fabrication du mot remonte au latin : diffusion, suffire, effeuiller, affolement, offensif, et cetera.
En règle générale, une consonne n'est jamais doublée avant ou après une autre consonne... Le n n'est généralement pas doublé dans les mots commençant par : an : animal, analyse,... Exceptions : année, anneau, annexe, annihiler, annoncer, annoter, annuaire, annulaire et leurs dérivés.
Règle. Pour obtenir le son [ s ] au lieu du son [ z ] entre 2 voyelles, on double le s (ss). Deux s qui se suivent entre deux voyelles font le son [ s ].
Hiatus (linguistique) — Wikipédia.
2. Manque de continuité, interruption posant problème, contradiction dans une œuvre, un discours, une suite logique, une suite d'événements : Un hiatus entre les discours tenus et les réalisations concrètes. 3. Tout orifice anatomique de forme étroite et allongée.
Si les deux voyelles doivent être prononcées d'une seule émission de voix, on dit qu'il y a synérèse ; si au contraire on les sépare, on dit qu'il y a diérèse. Ces divergences s'expliquent par le latin et par l'histoire de la langue.
Règle. Pour former leur féminin, on doit doubler la consonne finale de certains adjectifs se terminant par -as, -is, -os, -en, -on, -et, -ot,-el, -il, -eil, -ul. On doit aussi leur ajouter un -e.
Par exemple j'appelle prend deux « L » car lorsqu'on le prononce, le dernier « e » est muet. En pratique, lorsqu'on dit le mot on entend « j'appel »; le « L » est la dernière lettre du mot a être prononcée. C'est pour cela que « appeler » n'en prend qu'un: le dernier son entendu est « é » et pas « L ».
Devant une consonne double, la lettre e se prononce « è » et ne prend jamais d'accent. Exemples : la chouette, le dessin, la terre, l'antenne, la libellule.
Pour bien faire la différence entre tout et tous, que l'on parle d'un adverbe, d'un adjectif ou d'un nom, une règle simple permet de ne jamais se tromper. Il faut identifier dans quel cas suivant on se trouve : Tout : masculin singulier. - Tout le vin a été bu.
Gaëtane est partie pour Hambourg ce matin. → « ce » est placé devant un nom.
Dans la langue soignée, il y a une nuance à faire entre les prépositions voici et voilà. Voici s'emploie lorsqu'on renvoie à quelqu'un ou à quelque chose qui est relativement proche du locuteur, tandis que voilà s'emploie lorsqu'on renvoie à quelqu'un ou à quelque chose qui se trouve plus loin.